Le responsable américain affiche son intention de «trouver une solution satisfaisante pour les deux parties» au conflit du Sahara occidental. Mssad Boulos, figure montante de la diplomatie américaine et homme d’affaires d’origine libanaise, n’a pas dévoilé de plan précis ni les contours de son initiative.
Bien que le dollar américain demeure la principale monnaie de réserve mondiale à court terme, sa suprématie à long terme n’est pas garantie. A court terme, le dollar reste dominant grâce à la profondeur des marchés financiers américains et à la confiance internationale. Toutefois, à long terme, sa position est fragilisée par plusieurs facteurs : la montée de la dette publique, les blocages politiques, les pressions inflationnistes, et une politique budgétaire jugée incertaine.
Le PDG du groupe Sonatrach, Rachid Hachichi, a multiplié, en marge de sa participation au Forum algéro-américain sur l’énergie 2025 aux Etats-Unis, les rencontres avec des dirigeants des multinationales et les visites au niveau des sites des partenaires du groupe.
L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) et l’Agence internationale de l’énergie (AIE) ont abaissé leurs prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2025 et 2026 dans leurs derniers rapports mensuels respectifs, invoquant l’impact des tarifs douaniers annoncés par les Etats-Unis.
Le groupe Sonatrach a signé deux mémorandums d’entente (MoU) avec l’américain Occidental Petroleum Corporation (Oxy), en vue de consolider et étendre leur coopération à travers de nouvelles opportunités de partenariat dans le domaine de l’exploration et la production des hydrocarbures en Algérie.
La guerre commerciale sino-américaine prend différentes tournures et touche à tous les liens commerciaux entre les deux puissances économiques. Les droits de douane réciproques imposés par les Etats-Unis, qui visaient à faire plier la Chine, n’ont pas eu les résultats escomptés.
Le PDG du groupe Sonatrach, Rachid Hachichi, accompagné d’une délégation de haut niveau, a pris part aux travaux du forum algéro-américain de l’Energie 2025, tenu à Houston (Etats-Unis), durant lequel il a réaffirmé l’engagement constant de Sonatrach à explorer de nouvelles perspectives d’investissement, a indiqué hier un communiqué du groupe.
Le président américain Donald Trump a évoqué, avant-hier, une possible nouvelle suspension des droits de douane sur les automobiles après l’imposition de droits de douane de 25% sur les importations de véhicules et de pièces automobiles plus tôt ce mois-ci.
L’Europe est «notre alliée» mais elle ne peut être un «vassal permanent» des Etats-Unis pour sa sécurité et son commerce. C’est ce qu’a déclaré hier le vice-président américain JD Vance, dans un entretien au site d’information UnHerd, relayé par l’AFP. «Nous considérons l’Europe comme notre alliée.
Dans un contexte de tensions géopolitiques et de guerre commerciale, l’Organisation des Nations unies, à travers l’Organisation maritime internationale (OMI), a décidé de franchir une étape décisive dans la tarification du carbone pour le transport maritime.
Le triomphalisme de Donald Trump a fini par céder face à la réalité économique des Etats-Unis. En une semaine, le locataire de la Maison Blanche est passé d’un discours de leader invincible à celui plus conciliant d’un président plus pragmatique qui se rend finalement compte que l’économie de son pays a aussi ses fragilités.
Par l’intermédiaire du sultanat d’Oman, des pourparlers sont tenus hier par les délégations américaine et iranienne sur le nucléaire de la République islamique. Il s’agit des discussions les plus importantes depuis le retrait américain en 2018, sous la présidence de Donald Trump, d’un accord conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances pour encadrer le programme nucléaire iranien en échange d’une levée des sanctions.
La forte hausse des droits de douane américains fragilise l’économie mondiale avec notamment un ralentissement de la croissance, une reprise de l’inflation, l’instabilité des marchés financiers et la remise en cause du système commercial multilatéral.
La guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine a franchi un nouveau palier, marquée par l’entrée en vigueur de surtaxes massives côté chinois, en riposte aux décisions protectionnistes de l’administration Trump.
La guerre commerciale entre les Etats-Unis et la Chine ne se limite plus aux tarifs douaniers qui ont défrayé récemment la chronique ou aux chaînes d’approvisionnement : elle s’étend désormais au cœur du monde numérique. TikTok, la célèbre application de partage de vidéos courtes détenue par le groupe chinois ByteDance, est devenue l’un des symboles les plus visibles de cette confrontation géopolitique, économique et technologique. Pour mieux comprendre les enjeux, citons deux chiffres.
L’économie mondiale est complètement chamboulée depuis l’offensive tous azimuts de Donald Trump sur des droits de douane qu’il cherche à imposer à tous les partenaires commerciaux des Etats-Unis, parfois même à des niveaux ahurissants, voire inimaginables jusque-là.
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald ne jure que par faire plier le géant asiatique. Selon la logique du magna de l’immobilier, il ne doit subsister que la suprématie de l’Amérique sur le monde et pour se faire le rival chinois doit céder.
Dépassant les règles et les bornes admises, Trump a d’abord choqué le monde entier par sa nouvelle politique douanière, qui a donné lieu à un brusque et bruyant cataclysme, essaimant partout, inattendu et bouleversant.
L’Algérie déplore la confirmation de la position américaine reconnaissant la «souveraineté marocaine sur le Sahara occidental» et appuyant le plan d’autonomie «comme seule solution» à ce conflit. «L’Algérie a pris connaissance de la réaffirmation par le Département d’Etat de la position des Etats-Unis d’Amérique considérant le plan d’autonomie dans le cadre de la souveraineté marocaine comme la seule solution au conflit du Sahara occidental», indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères, rendu public hier.
Les Etats-Unis ont continué de frapper, depuis hier, les produits venant de dizaines de pays d’une nouvelle vague de droits de douane, dont la plus importante est destinée à la Chine, son premier rival commercial, pour atteindre les 104%.