Je ne connais pas un pays au monde qui accorde des facilités déconcertantes pour les commerçants étrangers, lesquels (commerçants) sont devenus des relais pour les exportations de leur pays d’origine.
C’est une évaluation objective, factuelle des résultats de cette association et des évolutions sociétales, économiques, politiques et autres que préconise Dr Zoubir Benleulmi, professeur en management de l’innovation, assurant, par ailleurs, des formations pour les cadres dirigeants et les enseignants-chercheurs de l’université.
Face à la proposition jugée «délirant» par certains, «explosive» par d’autres du président américain Donald Trump autour de l’avenir de Ghaza, l’Egypte a annoncé la tenue d’un sommet d’urgence le 27 février au Caire.
Jugeant que le contexte actuel (nouvelle crise diplomatique entre Alger et Paris) est loin d’être favorable à la révision, «légitime» à ses yeux, de l’accord d’association, le Professeur Laurent Chalard, Docteur en géographie (Paris IV Sorbonne), ses travaux portant sur la géographie urbaine, la géographie de la population et la géographie politique, se dit toujours incapable de «comprendre pourquoi les dirigeants français et algériens sont constamment en conflit ?» Alors que, insiste-il, «c’est nullement dans les intérêts géostratégiques des deux pays, qui, au contraire, ont tout intérêt à coopérer».
Explosions nucléaires françaises en Algérie : un crime contre l’humanité et l’environnement», est le thème de la journée d’étude organisée jeudi au Centre international de conférences (CIC) à Alger, sous l’égide de la deuxième Chambre du Parlement.
C’est via un tweet posté sur son compte X officiel que Salah Goudjil, président du Conseil de la nation, a rappelé jeudi, à l’occasion du 65e anniversaire de la catastrophe des explosions nucléaires menées par le colonialisme français dans le désert algérien, que celles-ci constituent l’un des crimes d’extermination les plus atroces, car elles ont non seulement empoisonné la terre, mais aussi coûté des vies.
Le congé de maternité atténuerait de manière significative le risque de développer un problème d’anxiété de séparation pendant la petite enfance. C’est pourquoi, la nouvelle extension de celui-ci en Algérie, passant de 3 mois et demi à 5 mois, a été bien accueillie par les mamans.
Tout d’abord, qu’est-ce que l’anxiété de la séparation ? L’anxiété de séparation fait référence à la peur qu’éprouve un enfant d’être séparé de la personne avec qui il a créé un attachement sécurisant. Cette anxiété se manifeste généralement entre l’âge de 6 à 12 mois, et culmine vers l’âge de 3 ans, pour ensuite s’estomper à mesure que l’enfant se développe. Dans certains cas, l’anxiété de séparation peut devenir problématique si les symptômes persistent dans le temps et que c’est inapproprié par rapport au stade de développement de l’enfant. C’est dans ce cas qu’on parle d’un trouble d’anxiété de séparation. A l’échelle populationnelle, on parle d’environ 4% des enfants qui vont avoir un trouble d’anxiété de séparation. Ça demeure le trouble anxieux le plus fréquemment diagnostiqué chez les enfants de moins de 12 ans.
Invité à participer au colloque organisé en Algérie, Patrice Bouveret que nous avons rencontré au siège de l’Observatoire des armements à Lyon, estime que «ce dossier nécessite une véritable volonté politique de coopération sur le long terme en faveur du bien commun des populations».
Après une année 2024 riche en changements sur le marché financier à travers, notamment, une opération réussie pour le CPA et un nouveau cadre réglementaire qui a accordé des facilitations et des incitations pour l’introduction en Bourse, 2025 commence avec des indicateurs au vert. Les perspectives s’annoncent d’ailleurs prometteuses, selon le président de la Cosob, Youcef Bouzenada, et le directeur général de la SGVB, Yazid Benmouhoub. La prochaine arrivée de la BDL sur le compartiment principal et de Tosyali sur le compartiment Premium des titres de créance de la Bourse marqueront sans nul doute une nouvelle étape sur le marché.
Quels sont les faits marquants à la Bourse d’Alger en 2024 ? La Bourse d’Alger a connu le 26 mars 2024 l’introduction du Crédit populaire d’Algérie (CPA) au compartiment principal / marché titre de capital, par l’ouverture de son capital social à hauteur de 30% par appel public à l’épargne via une première opération d’offre publique de vente de 22 millions d’actions, susceptibles d’être augmenté à 60 millions d’actions au prix de 2300 DA par action.
Pour commencer, quels sont les principaux indicateurs du bilan de la Cosob pour 2024. Qu’en est-il de l’évolution par rapport à 2023?
A l'instar de tous les pays de la planète, l'Algérie fait face à une raréfaction de l'eau potable imputable à une sécheresse de plus en plus fréquente et plus longue.
L a wilaya d’Oran dispose de deux grandes stations d’épuration des eaux usées, la plus grande à El Kerma pour une capacité de traitement théorique de 270 000 m3 par jour et la seconde à Cap Falcon (Aïn El Türck) pour une capacité de 30 000 m3/j.
Entre autres solutions pour parer le spectre des robinets à sec, l’Algérie, tirant profit de sa côte balnéaire, qui s’étend sur une longueur de 1200 km, a opté pour l’aménagement de près d’une quarantaine de stations de dessalement.
C est un défi de taille, mais une exigence impérative pour les autorités de la wilaya de Mascara qui se retrouvent devant l’obligation de réaliser l’un des objectifs stratégiques définis par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Le manque de culture du signalement, à la fois chez les citoyens et les entreprises, aggrave la situation. des affaires sont liées à des arnaques financières, tandis que 20% concernent des règlements de comptes personnels.
C’est vrai que la vente sur Facebook s’est très bien développée. Beaucoup de gens s’approvisionnent à travers la marketplace de Facebook.
Jusqu’à présent, nous avons installé 11,6 millions de détecteurs sur l’ensemble du territoire national.
Une campagne de sensibilisation et de lutte contre le gaspillage a été lancée par l’Association de protection et orientation du consommateur et son environnement (Apoce).