On ne peut pas ne pas parler de la Gazette, cette sitcom désopilante qui joue chaque soir sur Samira TV. Comme son titre l’indique, ça se passe dans un journal, dans une ville imaginaire, une sorte de combo entre Alger et New York : Aïn Jersey.
Dans un registre beaucoup plus léger, il y a le feuilleton El Rbaa de Walid Bouchebbah, avec, là encore, un beau casting : Nabil Asli, Nassim Hasddouche, Hakim Zeloum, Adel Chikh, Rabii Oudjitt, Adila Bendimred, Nacer Soudani, etc.
Li fat mat est un feuilleton que diffuse chaque soir la chaîne One Tv. Il est du cru du réalisateur Karim Moussaoui, celui à qui on doit le feuilleton Aïn El Djenna, diffusé pendant le Ramadhan 2023, ainsi que deux longs métrages.
Initialement prévu sur France 5 pour une diffusion à une heure de grande écoute, dimanche 16 mars, le film documentaire Algérie sections armes spéciales, de Claire Billet et Olivier Jobard, a été déprogrammé, puis a été mis en streaming sur le site en ligne de France Télévisions dès mercredi dernier. D’autre part, l’ENTV l’a diffusé mercredi soir puis en rediffusion jeudi.
Une tribune d’un collectif de Franco-Algériens et de Français «aimant l’Algérie» s’inquiète du climat délétère impulsé en France par des sphères haineuses.
Élu à la municipalité de Marseille et député socialiste, Laurent Lhardit a pris le 10 mars la présidence du groupe d’amitié France Algérie, le temps de la législature. Il a bien voulu répondre à quelques questions d’El Watan
Écrivain et instituteur pendant la Guerre de libération nationale, Mouloud Feraoun (1913/1962) a porté, dans son œuvre, un regard lucide sur le colonialisme, dénonçant les exactions commises par la France coloniale contre les Algériens et s’engageant pour l’Indépendance du pays.
Au-delà de leur capacité supérieure de s’accrocher au parcours scolaire, en plus d’être disciplinées et plus résistantes aux longues études et aussi d’être des multi-tâches, les chercheurs donnent une explication sociologique sur le fait que les femmes sont de plus en plus diplômées. Ce sont autant d’éléments déclencheurs de nouvelles mutations familiales algériennes. Détails...
Comme chaque année, les marchés, les supérettes, les boucheries ainsi que les différents commerces sont pris d’assaut, et cela dès l’approche du Ramadhan jusqu’à la fin de la première semaine.
Tout d’abord, il faut rappeler qu’à côté des pratiques cultuelles, il y a des pratiques culturelles. La culture gastronomique pendant le mois de Ramadhan a pour fondement la réponse à des besoins physiologiques pour préserver la santé du consommateur tout en apportant les nutriments nécessaires à la résistance au jeûne.
Les investisseurs privés sont attirés par le potentiel économique de la production d’huile d’olive, un marché en constante croissance, tant au niveau national qu’international. Ils injectent des capitaux dans la création de nouvelles plantations, dans la modernisation des infrastructures de transformation et dans le développement de produits dérivés, dont les cosmétiques, et produits du terroir. Cette dynamique d’investissement contribue à la fois à booster l’économie et à créer des emplois dans les régions oléicoles et même de créer de nouveaux bassins oléicoles.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Moussa Boukrif, Professeur des universités, directeur du laboratoire de recherche en management et techniques quantitatives, à l’université de Béjaïa, évoque les freins qui empêchent l’émergence d’une industrie oléicole. «Malgré cette richesse, le secteur reste marqué par des méthodes archaïques. Ainsi, 85% des exploitations sont familiales et artisanales, avec des rendements moyens de 2,5 tonnes d’huile par hectare, bien en-deçà des standards tunisiens ou espagnols», note-t-il. Et de suggérer : «Il est également crucial de désenclaver les zones à fort potentiel oléicole, comme la Kabylie et les Hauts-Plateaux, en développant les infrastructures et en mettant en place des systèmes d’irrigation durables.»
La labellisation est un outil qui permettra de protéger et de valoriser l’huile d’olive, a souligné mardi à la clôture de la Fête de l’olivier (22/25 février), le président de la Chambre d’agriculture de wilaya (CAW) de Tizi Ouzou, Hamid Saidani.
Le blanchiment d’argent est devenu un des défis majeurs auxquels la justice algérienne est confrontée. Au centre des grandes affaires de corruption, il n’a cessé de pousser plus loin la législation, mais il reste toujours l’un des délits les plus récurrents au rôle des pôles économiques et financiers.
Le blanchiment d’argent est un phénomène transnational, qui nécessite la mise en place de mécanismes d’informations et de renseignements adéquats dans chaque pays, d’une part, et entre d’autres pays, d’autre part, en vue d’une coordination efficace de lutte contre ce fléau. 68 déclarations de soupçon faites par les notaires en 2023, selon le secrétaire général de la Chambre régional des notaires du Centre, peut sembler faible par rapport au nombre d’affaires de blanchiment d’argent jugées par la justice, mais il est quand même en hausse par rapport aux précédentes années.
Ce 24 février 2025 vient nous rappeler deux moments clés qui méritent une halte mémorielle tant ils ont été décisifs dans le processus décolonial : la création de l’UGTA en pleine Guerre de libération (24 Février 1956) l Et la nationalisation des hydrocarbures pour arracher l’indépendance économique après la libération territoriale de la patrie (24 Février 1971)
Dans l’entretien accordé à El Watan, l’avocat d'affaires, Maître Nasr-Eddine Lezzar, développe une analyse strictement juridique de la nationalisation des hydrocarbures.
La wilaya de Ouargla a accueilli le 20 février un forum économique d’envergure, mettant en avant la diversification économique et le développement de l’autosuffisance alimentaire.
Le fait que l’Algérie soit placée au cœur de la transition énergétique à travers la production de l’hydrogène vert explique l’intérêt grandissant des investisseurs étrangers dans cette filière pour l’Algérie.
Le secrétaire général de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA), Amar Takdjout, a indiqué, hier, que la célébration du double anniversaire de la création de l'UGTA et de la nationalisation des hydrocarbures constituait «une halte historique importante», en vue de s'inspirer des sacrifices des chouhada et des moudjahidine de la glorieuse Révolution de libération, ainsi qu'une occasion de reconnaissance pour les acquis socioéconomiques accomplis par l'Algérie au cours de ces dernières années, sous la conduite du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.