L’équipe arbitrale désignée pour diriger le match Algérie-Liberia a été dépêchée majoritairement du Gabon. L’arbitre directeur gabonais Tanguy Patrice Mebiame (31ans) avec Abelmiro Dos Reis Monte Negro de Sao Tomé-et-Principe comme 1er assistant et du gabonais Urbain Ondo Ndong, 2e assistant. Le 4e arbitre étant le Gabonais Cregue Fleury Moukagni.
Décidément, chaque journée de championnat qui passe nous procure le même sentiment, voire cette amère conviction que nos joueurs d’«élite», considérés comme professionnels, sont mal formés et surtout mal informés.
La présidente de la chambre arbitrale du TAS qui a affiché une absence de réactivité face aux manœuvres dilatoires menées conjointement par la Confédération africaine de football (CAF), la Fédération royale marocaine de football (FRMF) et le club marocain de Berkane s’est enfin départie de son premier réflexe, pour ne pas dire de ses sentiments, à l’égard des trois parties citées.
Les réunions du Conseil de sécurité de l’ONU se suivent et se ressemblent, coincées structurellement dans un paramétrage inégalitaire des pouvoirs d’arbitrage et de décision. L’entrain de certains de ses membres non permanents arrive cependant à faire bouger les lignes.
Ne dit-on pas que la promesse est une dette ? Car à force de promettre, sans pour autant «réussir» à introduire la VAR lors des saisons dernières, particulièrement là l’occasion des matchs de Coupe d’Algérie de l’édition passée, on attendait avec beaucoup de curiosité le déroulement du premier quart de finale ayant opposé le CRB à l’ESM pour être fixé. Finalement, la promesse fut tenue et même bien tenue. Pourquoi bien tenue ?
Il faut reconnaître que chez nous, encore une fois, l’arbitrage focalise de manière négative l’actualité de toute la famille sportive. La cause ? Beaucoup d’erreurs influentes sont constatées lors de plusieurs rencontres d’une même journée. Pourquoi maintenant et ce timing ?
Une hirondelle ne fait pas le printemps. C’est pareil dans le football, côté joueurs et arbitres. Globalement et collectivement, les deux segments laissent beaucoup à désirer pour les mêmes raisons et mobiles.
Le monde du sifflet algérien est en deuil. Hier dans la matinée, l’eancienarbitre international, formateur, ex-membre de la CCA et membre fédéral Hocine Ouled El Hadj est décédé à l’âge de 74 ans à son domicile à Tizi Ouzou. Le défunt était apprécié pour ses qualités morales et éducatives.
Faut-il plaindre l’arbitre Bilal Bendjahane, l’accabler ou plutôt en vouloir à la Commission fédérale des arbitres d’avoir désigné un arbitre manquant terriblement de profil autoritaire, l’ayant contraint à vivre, avec lui toute la corporation des arbitres, le calvaire.
La Commission des arbitres de la CAF a procédé à la désignation de l’arbitre éthiopien Bamlak Tessema pour la direction de la petite finale devant opposer l’Afrique du Sud au Congo Démocratique, aujourd’hui.
Le non-maintien des arbitres algériens lors des demi- finales, match de classement et finale de la CAN 2023 a surpris les observateurs et soulève beaucoup d’interrogations.
La Commission d’arbitrage de la CAF n’a pas retenu l’arbitre mondialiste, l’Algérien Mustapha Ghorbal, pour les quatre derniers matchs de la compétition de la CAN.
L’ arbitrage s’est de nouveau invité dans le débat, à l’occasion des tests physiques auxquels ont été soumis les hommes en noir dernièrement à Oran.
Fidèle à sa démarche arbitrale qui lui a valu une notoriété dépassant les frontières nationale et continentale pour atteindre le niveau mondial, Mustapha Ghorbal a dirigé d’une main de maître, tel un chef d’orchestre utilisant ses réglettes, le match des ¼ de finale Guinée-Congo.
La majorité des sportifs, amateurs de football et autres supporters des clubs se posent des questions pertinentes et parfois même lancinantes en rapport avec les décisions arbitrales contraires aux faits de jeu claires et ostensibles devant leurs yeux alors que l’arbitre (ou l’assistant) est à un mètre de l’action. Par ailleurs, certaines décisions arbitrales ne correspondent pas à la nature de la faute commise.
C’est sous une chaleur torride (37° C) et sur une belle pelouse que l’arbitre sud-africain Tom Abongile a donné le coup d’envoi de la confrontation Algérie-Burkina Faso (cruciale pour les Verts). L’arbitre directeur dans le tunnel menant au terrain, paraissait décontracté en mâchant du chewing-gum.
Désigné pour officier l’un des sommets de cette CAN en Côte d’Ivoire de la deuxième journée de la phase de poules du groupe A, ayant opposé le pays organisateur, la Côte d’Ivoire, à la redoutable sélection du Nigeria. l’Algérien Ghorbal n’a pas failli à sa mission.
Ne dit-on pas que le plus dur, ce n’est pas d’arriver au sommet, mais d’y rester et s’y maintenir le plus longtemps possible avec des moyens licites. Depuis la nuit des temps et dans toutes les fédérations de football du monde, la recommandation express que reçoit chaque arbitre tout auréolé de son titre «FIFA» est celle de tout faire, sur et en dehors du terrain, à l’effet de défendre son titre.
Les mesures prises par le dernier BF de la FAF, relatives à la gestion de la CFA, confortent cette thèse. Décidément, on aura tout vu et entendu dans le quotidien de l’arbitrage algérien. Pour certains éclairés plus que les autres, tout l’intérêt de l’arbitrage réside dans le fait que seule «la désignation des arbitres» compte pour eux.
Pour la direction du derby, le plus populaire et le plus sensationnel du pays, USMA-MCA, au programme de la 11e journée du championnat, il fallait désigner l’arbitre numéro 1 du moment. Pour plusieurs raisons évidentes.