Le Bureau fédéral de la Fédération algérienne de football (FAF) a décidé de mettre fin aux fonctions de l’ancien arbitre international Djamel Haimoudi, responsable du département de la formation et développement, pour «absence prolongée» et «manquement à ses obligations», outre les mesures qui seront prises à son encontre.
A l’échelle internationale, l’arbitrage algérien boucle l’année 2023 de manière magistrale. Et pour cause, cinq de nos chevaliers du sifflet internationaux ont été retenus par la CAF pour participer à la prochaine CAN TOTALENERGIE Côte-d’Ivoire 2024 qui se déroulera à partir du 13 janvier au 11 février 2024.
La Confédération africaine de football ( CAF ) a retenu 5 arbitres algériens pour la CAN 2023 (reportée à 2024) qui aura lieu en Côte d’Ivoire entre le 13 janvier et le 11 février 2024.
Les agressions des arbitres et officiels au niveau des différents championnats Amateurs (toutes divisions confondues) continuent de faire couler beaucoup d’encre. Les instances sportives et les autorités compétentes sont plus que jamais interpellées pour mettre fin à ce comportement qui n’honore pas le football national.
Décidément l’arbitrage algérien n’arrêtera pas de faire des siennes. A sa tête, les hommes changent mais la situation reste la même. C’est-à-dire peu reluisante. Il a atteint le point de non-retour. Depuis des années, il ne se passe plus une saison, une journée, sans que l’arbitrage soit mis à l’index.
L’interrogation mérite d’être posée. Car, de tout temps, dans tous les championnats du monde et particulièrement chez nous, que ce soit en dehors ou sur les terrains, les arbitres internationaux doivent donner le bon exemple aux jeunes mis dans le bain.
La confrontation ayant opposé l’USMA, le champion en titre de l’épreuve de la Coupe de la Confédération de la CAF dans son édition 2023, au club égyptien Future FC, comptant pour la troisième journée de la phase des poules groupe A, était capitale. Les deux équipes occupaient la première place avec deux victoires chacune.
Le support image compte beaucoup pour développer l’arbitrage. Tout comme pour réussir une bonne commercialisation de notre pratique footballistique, laquelle repose surtout sur une excellente retransmission télévisée d’un match. La bonne, voire judicieuse, disposition des caméras de manière à couvrir toutes les parties du terrain de jeu conforte cette bonne réalisation télévisée.
La guerre pour la mainmise sur l’arbitrage s’est de nouveau enflammée. Le court répit observé après la nomination d’Abid Charef, ancien arbitre international à la tête de la Commission fédérale des arbitres (CFA) en remplacement de l’ex-mondialiste, Djamel Haimoudi, a laissé la place à une guerre larvée entre de multiples acteurs gravitant autour de l’arbitrage. L’opinion sportive ne se demande plus pourquoi tant d’agitation sur le sujet de l’arbitrage. Elle sait, depuis longtemps, que c’est les gros intérêts en jeu qui bercent l’actualité des hommes en noir.
Quand la convocation de six trios d’arbitrage par la fédération avait défrayé la chronique, choqué les esprits et rappelé certains égarés à l’ordre, on avait titré, dans le même espace, que désormais «rien ne sera comme avant». Le dernier communiqué de la FAF ne laisse aucune marge de doute sur les intentions de sévir et de renvoyer les récalcitrants chez eux. Pas que. Des dossiers doivent être adressés à la Justice pour apurer le milieu.
La confrontation ayant opposé le Mozambique à l’Algérie, comptant pour la deuxième journée des éliminatoires de la prochaine Coupe du monde 2026, sur la pelouse du stade National de la capitale Maputo, a été dirigée par l’équipe arbitrale rwandaise conduite par Samuel Uwikanda (36 ans).
La FIFA a désigné un quatuor rwandais pour diriger la rencontre de la deuxième journée du groupe G devant opposer le Mozambique à l’Algérie, cet après-midi à Maputo, à partir de 14h heure algérienne.
La Commission d’arbitrage de la FIFA, en concertation avec celle de la CAF, a désigné une équipe d’arbitres maliens à l’effet de diriger la première rencontre des éliminatoires Zone Afrique de la prochaine Coupe du monde devant opposer l’Algérie à la Somalie pour aujourd’hui sur la pelouse de Nelson Mandela Stadium à partir de 17h.
Aujourd’hui, il y aura du beau monde de la corporation des arbitres d’élite au siège de la FAF, précisément à la CFA, pour des audiences d’écoute et d’explication de leurs (mauvaises) décisions arbitrales le week-end dernier.
Suite à la défaite contre l'Afrique du Sud en finale de la Coupe du monde, la Nouvelle-Zélande a exprimé son mécontentement à l'égard de certaines décisions arbitrales en envoyant des dossiers à l'instance dirigeante du rugby mondial, World Rugby, a annoncé Ian Foster, le sélectionneur sortant.
Lundi dernier au CREPS de Seraidi (wilaya de Annaba), il a été organisé le test physique de rattrapage, réservé spécialement aux arbitres (fédéraux, pré-fédéraux et interligues) ayant raté le premier rendez-vous du test d’avant-saison.
Cette compétition initiée cette saison par la CAF sous la bénédiction de la FIFA regroupera huit club africains (Absence des Algériens) et a débuté hier pour se poursuivre aujourd’hui et ce à partir des quarts de finale.
Le dilemme qui guette nos vaillants arbitres à tous les niveaux de la pyramide footballistique, c’est cette exigence de la part de leurs instructeurs et formateurs de comprendre le football.
e match retour entre l’USM Alger et la FUS Rabat entrant dans le cadre du 2e tour préliminaire avant la phase des poules de la Coupe de la Confédération et pour compléter la retrouvaille maghrébine, la CAF a préféré mettre sur ce chaud derby décisif une équipe d’arbitres tunisiens, conduits par l’expérimenté Sadok Selmi. Cela s’est passé sur la pelouse du stade Miloud Hadefi à Oran.
L’arrivée de la nouvelle équipe fédérale et les déclarations de son président, à chacune de ses interventions, nous renseignent de sa parfaite connaissance du milieu footballistique et celui relatif à la sphère arbitrale, lesquelles se sont avérées décisives et fort révélatrices.