Au moment où le Haut-Commissariat des droits de l’homme (HCDH) onusien évoquait des «rapports inquiétants» en provenance du nord de Ghaza sur des cas de «détentions massives», de «mauvais traitement» et de «disparition forcée de milliers de Palestiniens», la presse israélienne a annoncé, hier, la mort de plusieurs prisonniers, parmi les centaines montrés par l’entité sioniste en sous-vêtements, les yeux bandés et les mains ligotées. Des ONG humanitaires ont parlé «d’exécution sommaire» et appelé à «une enquête internationale» sur le sort inconnu de milliers de prisonniers.
Depuis hier, des tractations sont en cours en vue d’aller vers une trêve d’une semaine qui permettra un échange de prisonniers entre le Hamas palestinien et l’occupant israélien.
L’entreprise génocidaire menée par l’occupant israélien dans la Bande de Ghaza a ahuri le monde par l’ampleur du drame qu’elle a provoqué. Malgré cette violence, le peuple palestinien résiste. Dans cet entretien, Bertrand Badie, spécialiste reconnu des relations internationales, rappelle une règle que les puissances ne semblent pas vouloir retenir : «L’action armée ne peut rien, tant contre des organisations combattantes non-étatiques plus ou moins confondues avec leur propre société, que contre des acteurs sociaux rongés par l’humiliation et le désespoir.» Par ailleurs, l’auteur de L’impuissance de la puissance est convaincu que seuls les Etats-Unis «peuvent bloquer une offensive israélienne et surtout convaincre l’Etat hébreu d’accepter une solution à deux Etats».
L’aspect financier demeure au cœur de cette refonte. Le projet prévoit une contribution élargie de l’Etat pour soutenir les municipalités, avec des dispositions spécifiques visant à résoudre les difficultés financières rencontrées par certaines communes dans l’accomplissement de leurs tâches assignées.
Afin de prévenir les risques chimiques dans le milieu du travail et préserver la santé des travailleurs et la sécurité publique, le législateur algérien a mis en place tout un arsenal de lois, dont l’arrêté interministériel du 25 novembre 2015 fixant la liste et la classification des matières et produits chimiques dangereux.
La salle du forum d’El Moudjahid, au 20 rue de la Liberté, était pleine à craquer ce mercredi. Une assistance nombreuse en effet a fait le déplacement pour assister à une rencontre en hommage à Hocine Aït Ahmed, le militant au long cours qui nous a quittés le 23 décembre 2015 à Lausanne, à l’âge de 89 ans.
Amar Takdjout, secrétaire général de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA), revient, dans cet entretien, sur les grands chantiers ouverts au sein de la Centrale syndicale. Outre le processus de mise en conformité avec la nouvelle loi relative à l’exercice du droit syndical et aux nouveaux statuts de l’organisation, il aborde les questions socioprofessionnelles en insistant sur l’importance du dialogue social. Il avertit, par ailleurs, sur le danger du non-respect des décisions de justice prononcées en faveur des travailleurs.
La Caisse nationale de sécurité sociale des non-salariés (Casnos) invite ses assurés sociaux n'ayant pas encore versé leurs cotisations au titre de 2023, ainsi que les bénéficiaires d'échéanciers à régulariser leur situation avant le 31 décembre 2023, a indiqué hier un communiqué de la Caisse.
A la manœuvre, ce sont les combattants du mouvement politico-confessionnel Ansar Allah, communément appelés les Houthis en référence à leur leader, qui mènent les hostilités, réfutant «toute influence iranienne».
Si la Bande de Ghaza enregistre un nombre effroyable de pertes humaines et de destructions de son infrastructure depuis le début de l’agression israélienne, les autres territoires palestiniens occupés ne sont pas épargnés par les crimes et les violences de masse sionistes.
L’hôpital Al Ahli Arabi, l’un des derniers qui était encore en service dans le nord de la Bande de Ghaza, a cessé de fonctionner hier après avoir été pris d’assaut par l’armée israélienne, a indiqué son directeur.
Ghaza est le lieu «le plus dangereux au monde» pour un enfant, a dénoncé hier un porte-parole de l’Unicef, exprimant sa rage après son retour du territoire palestinien.
A l’occasion de la célébration du 40e anniversaire de la coopération sino-algérienne dans le domaine de l’industrie de défense, le général d’armée Saïd Chanegriha a reçu Jiang Jian, PDG de la société CATIC, spécialisée dans l’aéronautique, avec lequel il a abordé des «projets industriels communs», en mettant l’accent sur «la nécessité de rehausser le niveau du transfert technologique».
Le ministre de l’Industrie et de la Production pharmaceutique, Ali Aoun, a reçu, hier, une délégation du Bureau national du Syndicat national algérien des pharmaciens d’officine (SNAPO), conduite par Karim Merghemi, président du syndicat, pour écouter leurs préoccupations liées au secteur des médicaments, a indiqué un communiqué du ministère.
Les éléments du service de la police judiciaire de la wilaya de Mila ont démantelé un réseau criminel composé de 5 personnes spécialisé dans le trafic et la fabrication de drogues dures et ont saisi une arme à feu, des munitions et un drone dans la ville de Tadjenanet, a indiqué hier à la presse la sûreté de wilaya.
Des députés ont constaté la situation difficile à laquelle étaient confrontées certaines entreprises nationales, dont la majorité ont été fermées après leur faillite, alors que d’autres tentent de survivre malgré le manque de moyens et les difficultés financières.
Le séminaire national sur le crime cybernétique, organisé du 17 au 19 décembre par la sûreté de wilaya de Guelma en collaboration avec l’université du 8 Mai 1945, a permis aux nombreux présents, dont la frange estudiantine, d’être plus alertes dans l’utilisation des réseaux sociaux.
Le gouvernement israélien utilise la famine imposée à des civils comme méthode de guerre dans la Bande de Ghaza occupée, dénonce l’ONG Human Rights Watch.
Doublement acculé, sur le front politique, avec le repositionnement déroutant opéré par certains de ses alliés, dont la France, et sur le terrain militaire, avec les lourdes pertes enregistrées dans les rangs de l’armée israélienne, entre soldats tués ou blessés et destruction de la logistique de guerre, le cabinet de guerre de l’entité sioniste n’a pas résisté longtemps à la tentation imposée par le cours des événements de renouer le fil des négociations avec le mouvement Hamas, via les mêmes canaux de médiation, de la troïka : Etats-Unis d’Amérique, Qatar, Egypte, pour trouver une issue heureuse à sa politique aventurière et suicidaire de la gestion de la crise des otages détenus par le Hamas.
Des centaines de prisonniers, en sous-vêtements, pieds et poings liés et yeux bandés, marchands dans la rue, avant d’être embarqués vers des centres de détention, bombardements d’hôpitaux, de bâtiments résidentiels et religieux, privation des malades de soins, les laissant se vider de leur sang, déportation forcée des populations, etc., constituent de graves violation du droit international humanitaire.