L’économie argentine croîtra «comme jamais auparavant», s’est félicité dans la foulée de l’annonce le président argentin, Javier Milei.
Hier, dernière journée de cotation de la semaine, les cours de l’or noir ont ouvert en hausse par rapport à la clôture de jeudi, mais demeuraient très instables durant la séance. Les indices Brent et WTI étaient en voie d’enregistrer des baisses hebdomadaires respectives d’environ 3% sur la semaine, après avoir tous deux perdu environ 11% la semaine dernière, dans le sillage des «hostilités commerciales» lancées par l’administration américaine.
L’économie mondiale est complètement chamboulée depuis l’offensive tous azimuts de Donald Trump sur des droits de douane qu’il cherche à imposer à tous les partenaires commerciaux des Etats-Unis, parfois même à des niveaux ahurissants, voire inimaginables jusque-là.
Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald ne jure que par faire plier le géant asiatique. Selon la logique du magna de l’immobilier, il ne doit subsister que la suprématie de l’Amérique sur le monde et pour se faire le rival chinois doit céder.
Les Etats-Unis ont continué de frapper, depuis hier, les produits venant de dizaines de pays d’une nouvelle vague de droits de douane, dont la plus importante est destinée à la Chine, son premier rival commercial, pour atteindre les 104%.
Se passer des marques américaines ? Dans les rues de Pékin, l’idée fait son chemin auprès de certains consommateurs chinois, avec l’escalade de la guerre commerciale qui pourrait faire grimper les prix de leurs produits préférés.
Les prix du pétrole ont chuté, hier, à des niveaux historiquement bas, jamais enregistrés depuis quatre ans, le Brent tombant à 58,47 dollars le baril en cours de cotation, dans le sillage de l’accélération du conflit enclenché par les Etats-Unis, via les tarifs douaniers, ce qui a amené la Chine à durcir sa riposte en imposant des droits de douane supplémentaires sur les produits américains.
La guerre commerciale devient un duel : dans une volte-face spectaculaire, Donald Trump a annoncé hier qu’il augmentait encore les droits de douane sur les produits venus de Chine, mais qu’il suspendait pendant trois mois des surtaxes imposées aux autres pays.
Dans un contexte d’incertitudes face à l’escalade des tensions commerciales et face à la chute de la valeur du billet vert, les acheteurs se tournent vers la valeur refuge que représente l’or.
Avec l'offensive protectionniste de Donald Trump début avril et l'escalade avec la Chine, le marché de la dette des Etats connaît de violentes secousses, en particulier du côté des bons du Trésor américain.
Dans une ère marquée par un «changement de paradigme» du commerce mondial, l’Union européenne se trouve aujourd’hui au cœur d’un conflit commercial d’une intensité inédite. Alors que les Etats -Unis, sous l’impulsion de politiques protectionnistes, rappelant celles des années 1930, imposent des droits de douane pouvant atteindre 20% sur des produits en provenance de l’UE, Bruxelles réagit avec une détermination affichée.
Jusqu’à quel niveau les prix du pétrole vont-ils baisser ? C’est à cette question que la Banque d’investissement américaine, Goldman & Sachs, a répondu dans une note publiée hier en tablant sur un baril à 40 dollars dans le cas de conditions extrêmes.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a présidé, hier à Alger, la cérémonie du lancement officiel de la plateforme numérique «Study in Algeria» destinée aux étudiants étrangers souhaitant étudier en Algérie.
Après trois séances de débâcle, cette remontée des places financières trouve sa source dans les négociations entre le Japon et les États-Unis sur les droits de douane imposés par Donald Trump.
L’Algérie est actuellement en tête des priorités africaines de la nouvelle administration américaine.
Le groupe Sonelgaz prévoit de raccorder 10 000 exploitations agricoles au réseau électrique au cours de l'année 2025, après avoir achevé le raccordement d’environ 78 000 exploitations entre 2020 et février dernier, a indiqué le porte-parole de l'entreprise, Khalil Hedna.
Près de 13 000 projets déclarés, d'une valeur avoisinant les 5776 milliards de dinars, ont, selon l'APS, été recensés par l'Agence algérienne de promotion de l'investissement (AAPI).
PME : l’AIF vulgarise le capital-investissement Le Fonds algérien d’investissement (AIF) compte se déployer sur le territoire national en s’appuyant sur le réseau de deux grandes banques publiques et les chambres de commerce, afin de faire connaître ce Fonds et vulgariser le capital investissement comme mode de financement alternatif destiné aux PME, à travers des prises de participation, a indiqué son directeur général Merouane Aliane. «Nous comptons mettre à contribution les réseaux de nos banques actionnaires de l’AIF, à savoir la BNA et la BEA, qui cumulent plus de 300 agences réparties sur les 58 wilayas du pays», a-t-il déclaré à l’APS, ajoutant que les équipes commerciales de leurs agences seront un lien «pour atteindre leurs clients et qui pourront ainsi proposer nos argumentaires, d’autant que le capital-investissement est le plus souvent complémentaire au crédit bancaire».
De l’or au charbon, du pétrole au gaz, puis à l’uranium, etc., l’histoire du monde a toujours tourné autour de l’accaparement des richesses de la terre. Aujourd’hui, les grandes puissances ont trouvé une nouvelle quête leur permettant de préserver leur domination économique.
Le marché de la tomate est devenu un véritable champ de bataille économique entre l’Union européenne et le Maroc.