La 19e édition des Rencontres cinématographiques de Béjaïa s’est achevée, dimanche soir, à la cinémathèque de la ville, devant quelques centaines de personnes. La même salle a connu la projection de 34 films, une semaine durant, sur les 35 programmés, après l’annulation du film très attendu pourtant par les cinéphiles, Larbi Ben M’ hidi, par son réalisateur.
Les Nations unies ont célébré, hier, la Journée internationale de la traduction, une occasion pour rendre hommage aux spécialistes des langues et de souligner l'importance de leur travail pour unir les nations, favoriser le développement et renforcer la paix et la sécurité dans le monde. Dans cet entretien, Belkacem Meghzouchene, jeune et sémillant auteur et traducteur, évoque son travail. «Les échanges interculturels, par traductions de livres interposées, apprivoisent les tensions, unissent les hommes et chassent l'ennui et la souffrance matérielle. C'est grâce aux traductions de divers livres que les expériences des uns et des autres sont connues, enrichies, commentées, améliorées, voire assimilées ‘’à la lettre’’», assène-t-il.
Sous le thème «La lecture relie les mondes», le Centre Roi Abdulaziz pour la culture mondiale (Ithra) (qui signifie enrichissement), une initiative de Saudi Aramco a organisé, hier, la cérémonie de clôture de la neuvième édition du programme d’enrichissement de la lecture (iRead).
Les participants au colloque national dédié à Sidi Lakhdar Benkhelouf «poète résistant», organisé dimanche à Mostaganem, dans le cadre de la 11e édition du Festival culturel national de la poésie Melhoun, ont mis en avant le rôle de la poésie de la résistance dans la préservation de la mémoire et l’identité nationales.
Le film qui a capté l’intérêt du public en cette avant-dernière journée des Rencontres cinématographique de Béjaïa, samedi, est sans doute, la fiction Boualem Zid El Goudam, sortie en 1979, du regretté Moussa Haddad. L’émotion était vraisemblablement à son comble, puisque deux des trois principaux acteurs ont quitté à jamais ce monde, ainsi que celui du cinéma.
Architecte DPLG (Diplômé par le gouvernement), sociologue, Djaffar Lesbet compte nombre de publications sur le patrimoine matériel et immatériel de l’ancienne médina, La Casbah d’Alger, et a été invité à prendre part à de nombreux colloques. Le chercheur revient sur le projet «Darna» dans les tiroirs, depuis des années, et ce, faute d’adhésion citoyenne.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji a présidé, samedi soir à la maison de la culture Ould Abderrahmane Kaki de Mostaganem, l’ouverture de la 11e édition du festival culturel national de la poésie melhoun, dédié à cheikh Sidi Lakhdar Benkhelouf (XVIe siècle). La cérémonie d’ouverture a été marquée par la présentation d’un montage artistique intitulé Sidi Lakhdar poète résistant du metteur en scène,
Le long-métrage 196 mètres/Algiers du réalisateur Chakib Taleb-Bendiab, ayant été dernièrement sélectionné pour représenter l'Algérie à la 97e édition des Oscars, dans la catégorie du «meilleur film international», a été projeté, samedi en avant-première, à la salle Ibn Zeydoun (Alger).
Will.i.am, leader des Black Eyed Peas, embrasse l'intelligence artificielle (IA) au lieu de la combattre.
Le Prix littéraire de la Grande Mosquée de Paris a dévoilé les lauréats de sa troisième édition. Il honore les auteurs dans les catégories roman et essai portant sur la civilisation musulmane.
Un rendez-vous cinématographique d’Oran se déroulera du 4 au 10 octobre prochain, le public aura loisir, à travers les trois salles obscures du centre-ville (Maghreb, Es Saada et la Cinémathèque) d’aller voir une soixantaine de films, dont 44 seront en compétition.
L’actrice britannique Maggie Smith, légende du théâtre et du cinéma, connue mondialement pour ses rôles dans la série Downton Abbey et la saga Harry Potter, est décédée vendredi à Londres à 89 ans, une disparition qui a entraîné une pluie d'hommages.
Iceqfan n Targit (Bribes de rêve) est le nouveau recueil de nouvelles en tamazight de l’écrivaine Tilelli Bellal. Ce recueil, qui comprend trois nouvelles captivantes, explore une diversité de thématiques qui touchent à la réalité sociale et humaine de la société algérienne contemporaine.
A la cinémathèque de Béjaïa, trois films sont prévus. Il s’agit de Je suis une autre de Walid Sahraoui, Houbla de Lamine Ammar Khodja et, enfin, en soirée, le long métrage de Moussa Haddad intitulé Boualem Zid El Goudam, qui donnera un aperçu de ce qu’était le cinéma des années 70’.
Le ministère de la Culture et des Arts a annoncé le début de réception des candidatures afin de bénéficier d’aides pour financer «la production de films cinématographiques et la coproduction», «l’écriture de scénarios de films», ainsi que la «post-production» et ce, dans le cadre du soutien de l’Etat aux projets cinématographiques au titre de l’année 2025, a indique jeudi un communiqué du ministère.
Evoquer la littérature, c’est aussi évoquer le pays auquel elle appartient. Son peuple, son histoire, ses gens, ses paysages, sa terre, ses individualités, ses idées, ses combats, ses ancêtres et ses enfants, son âme et son génie et tant d’autres choses, parfois indéfinissables, dans un tout indissociable, y trouvent place.
La 12e édition du Festival international d’Oran du film arabe (FIOFA) se tiendra du 4 au 10 octobre prochain, avec la projection de plus de 60 œuvres cinématographiques, a annoncé jeudi le Commissariat de cette manifestation culturelle.
Les lecteurs compulsifs, amoureux des livres et de bons mots sont en deuil à Oran. Moussa Hamchaoui, le plus vieux bouquiniste oranais, celui que tout un chacun appelle affectueusement «Ammi Moussa», est décédé hier matin, à l’âge de 78 ans, des suites d'une longue maladie.
La salle de spectacles El Mouggar, gérée par l’Office national de la culture et de l’information (Onci), qui fait actuellement l’objet de travaux d’aménagement interne et externe, «reprendra ses activités artistiques et culturelles dés la fin des travaux», a indiqué jeudi l’Office dans un communiqué.
Nouvelle pépite belge sur la planète rap : dans le sillage de Damso, Roméo Elvis ou Hamza, Youssef Swatt's, 26 ans, a crevé l'écran en gagnant en juillet le télécrochet «Nouvelle école» sur Netflix et multiplie les projets.