Le spectacle théâtral El Sarkha El Samita (Le cri silencieux), produit par l’association culturelle Ouled Leblad de Bouira, a été primé à la 17e édition du Festival international du théâtre de rue organisée du 11 au 16 octobre dans la ville iranienne de Mariwan, a-t-on appris lundi auprès des responsables de l’association.
La 18e édition du Festival culturel national annuel du film amazigh (FCNAFA) se tiendra du 26 au 30 octobre à Tizi Ouzou, a annoncé lundi le commissariat du festival dans un communiqué.
Les journées El Jazia, dédiées à la poésie populaire, organisées les 16 et 17 octobre, à Ouargla, ont mis à plat la problématique de la transcription et l’édition conventionnelle et numérique d’un texte oral par excellence, comprenant poèmes, contes, légendes, chansons et récits et transmis de génération en génération.
Dans l’obscurité presque totale, un faisceau de lumière éclaire légèrement deux stèles. Un zoom laisse apparaître un croissant et une étoile. C’est la tombe d’un musulman. D’un ton faible et à peine compréhensible, la voix off d’un vieil homme raconte un drame, le décès d’un Algérien sur le chemin de fer.
Farida Sahoui se défend de faire dans le combat féministe, elle qui vient de consacrer son tout premier roman en tamazight à la condition de la femme dans notre société et estime que l’on se doit d’être «fiers de notre langue maternelle et de notre culture».
Le ministère de la Culture et des Arts a annoncé l’ouverture des candidatures aux associations culturelles et artistiques, en vue de bénéficier de soutiens aux projets culturels et artistiques au titre de l’exercice 2025, indique un communiqué du ministère.
A la faveur d’une intéressante et passionnante rencontre- débat, organisée, samedi dernier, à la galerie d’art Guessoum, à Alger, les nombreux convives ont pu suivre les interventions d’une haute portée intellectuelle de quatre artistes peintres et plasticiens algériens de renom, à savoir Karim Sergoua, Mustapha Nedjai, Moncef Guita et Rachid Nacib. Les communicants ont essayé de répondre à la question suivante : existe-t-il un véritable marché de l’art en Algérie ?
Le peintre Nouredine Belhachemi a été l’invité du musée Zabana à Oran le 19 octobre pour un double événement.
La vice-présidente exécutive de la Banque africaine d’import-export Afreximbank en charge de la Banque du commerce intra-africaine, Kanayo Awani, a affirmé, samedi à Alger, que les résultats préliminaires des Journées créatives africaines «Canex Wknd 2024» étaient «fructueux», notamment en termes d’accords conclus, de réseautage, de définition des voies de la coopération et de l’action commune.
Le Festival international du théâtre de Béjaïa s'est clôturé hier soir au TRB Abdelmalek Bouguermouh, avec une dernière présentation théâtrale venue cette fois du Moyen-Orient, la Jordanie.
La dernière soirée de la 13e édition du Festival international du théâtre de Béjaïa a été marquée par un hommage rendu à Fatima Hellilou, une icône du théâtre et du cinéma algérien.
Comment évaluez-vous l’évolution du court métrage ? A l’occasion de la projection de quatre courts métrages dans le cadre de la septième saison de «Quartiers lointains» abritée par l’Institut français d’Algérie à Constantine, mardi 15 octobre, la critique de cinéma Claire Diao a bien voulu s’exprimer à El Watan en marge de la rencontre, pour aborder la montée en puissance des productions de courts métrages. Ce phénomène observé essentiellement sur les réseaux sociaux, ces dernières années, témoigne d’une dynamique croissante, où des plateformes sont consacrées à la diffusion de ces œuvres, véhiculant des messages et des morales variés. L’essor des courts métrages attire de plus en plus l’attention des cinéphiles, et particulièrement les internautes.
Les salles clairsemées, les doutes et soudain, le succès qui emporte tout : le film Monsieur Aznavour, en salles en France mercredi puis en Belgique, raconte l’éreintante quête de gloire du chanteur de La Bohème, devenu star mondiale sur le tard.
La nécessité d'«enrichir le Grand Musée d'Afrique (GMA)», par les pays africains, en y «déposant des objets d'art» et la «restitution des biens culturels africains pillés et qui dorment ailleurs», ont été soulignés, vendredi à Alger, par la commissaire en charge des questions culturelles de l'Union africaine (UA), Minata Samate Cessouma.
Le coup d’envoi des premières journées de théâtre de la satire sociale a été donné, jeudi, à la maison de la culture Aïssa Messaoudi de Aïn Témouchent.
l Un pari réussi par les organisateurs du FITB qui ont sorti le théâtre dans la rue et à travers au moins huit communes sur les 52 que compte la wilaya de Béjaïa.
Sous le ciel de Paris, s’envole une âme, il est mort aujourd’hui, frappé au cœur, l’Algérien. Sous le ciel de Paris, marchent les manifestants, leur malheur est de vouloir être libres, sur un air de mitraille fait pour eux, sous le pont Saint Michel, ils sont noyés… Un philosophe sourd assis, deux musiciens aveugles, quelques badauds, puis, indifférents, les gens par milliers.
Al'occasion de la cinquième édition de la Faabba’s day, le musée Itinéraires Africains à Alger accueille, aujourd’hui, une exposition dédiée à la céramique traditionnelle africaine.
Pour paraphraser Tahar Ouettar, les martyrs étaient de retour sur scène, à Alençon, au Centre culturel algérien de Paris et aujourd’hui à Bagnolet (à L’échangeur, jusqu’au 19 octobre), par le biais de Kateb Yacine dont le comédien, Arnaud Churin, de la troupe La Sirène Tubiste, a monté «Le Cadavre encerclé», première pièce en 1954 de l’écrivain algérien qui figurera plus tard avec deux autres textes dans l’ouvrage «Le cercle des représailles». Alors qu’on commémore le 63e anniversaire de la répression du 17 octobre 1961, «Le Cadavre encerclé» nous fait remonter aux sources de la Révolution.
On devine bien que dans ces cas-là, ce sont les enfants et surtout les femmes qui en pâtissent et c’est sur cette catégorie que la réalisatrice irano-américaine Anna Fahr a voulu attirer les regards par son film Valley of exile (comptant pour le Liban) et projeté au festival du film arabe d’Oran.