Le Festival international de la bande dessinée vient de se tenir à Alger, du 1er au 5 octobre, le 9e art a ainsi été mis à l’honneur, pour la 16e fois, sur l’esplanade de Riadh El Feth. La littérature, elle, ne fut pas en reste, puisque la manifestation fut marquée par la présence d’écrivains, d’éditeurs et de toute cette aura, que la dimension littéraire sait installer dans les domaines qui lui sont connexes sinon siens.
Le théâtre national palestinien, Al Hakawati, ouvre le bal au TRB de Béjaïa avec la pièce La ghobara Alayh, réalisée par Kamel Bacha, lui-même ancien otage. Elle est inspirée du texte théâtral The Island (l’île) de l’écrivain sud-africain Athol Fugard.
Le rappeur et producteur américain Sean "Diddy" Combs fera face à un procès pénal, fixé au 5 mai 2025 par un juge fédéral de Manhattan, pour des accusations graves de trafic sexuel et d'extorsion.
Présent uniquement avant la projection, le réalisateur Mauritanien Abderrahmane Sissako a exprimé son affection pour l’Algérie, un pays qui lui tient à cœur, car ayant lui-même un demi-frère algérien de par sa mère.
Flight 404 du réalisateur égyptien Hani Khalifa a été projeté lundi dernier au cinéma Es-Saada (ex-Colisée). Ghada est à présent une nouvelle femme, ayant définitivement tourné le dos à son passé ombrageux, fait de fricotage avec le Milieu et de prostitution de luxe.
Dans cet entretien, le jeune auteur Samy Assad évoque ses débuts dans l’écriture comme il nous parle aussi de ses publications. Il a commencé, dit-il, par exprimer des idées d’enfance à travers des textes autonomes. Puis, il a, ajoute-t-il, suivi plusieurs cours et des conférences sur la philosophie, la psychologie et la psychanalyse avant de passer à l’écriture de ses livres avec une sensibilité artistique et didactique.
La 9e édition de la semaine coréenne à Alger a été inaugurée mardi et se tiendra jusqu’au 21 octobre. Le programme est riche et diversifié avec tout d’abord la caravane d’amitié Corée-Arabe à la salle Ibn Khaldoun, projections de films dans le cadre du festival Mikta du 12 au 19 octobre à la salle Ibn Zeydoun dont la projection du film Little Forest, le concours de la langue coréenne et le festival K-pop le 21 octobre au Palais de la culture.
C’est en partie par le truchement des flash-back que le réalisateur fait rentrer le spectateur dans la peau des personnages.
«L’opération “Tawfan Al Aqsa” du 7 octobre 2023 a propulsé la dialectique de la violence et de la contre-violence entre le pouvoir colonial d’Israël et la résistance palestinienne à un niveau inégalé dans l’histoire des confrontations de ce XXIe siècle», souligne l’historien et directeur de la revue NAQD, Daho Djerbal, dans son mot de présentation de ce numéro exceptionnel.
Lundi dernier à 16h a été projeté à la cinémathèque d’Oran Le dernier bouquiniste de Hadj Fitas et Abderrahmane Mostefa, un film qui braque ses caméras sur la fameuse rue Audebert, au tout début du boulevard Emir Abdelkader où le célèbre bouquiniste d’Oran, celui qu’on appelle affectueusement Ammi Moussa, y a officié pendant près d’une vingtaine d’années.
Taylor Swift continue de gravir des sommets dans l'industrie musicale et au-delà. Selon le magazine *Forbes*, elle est devenue l'artiste la plus riche du monde, avec une fortune estimée à plus de 1,6 milliard de dollars, dépassant Rihanna, dont la fortune est évaluée à 1,4 milliard de dollars.
Avec une narration classique, sans prétention et une histoire qui tient la route, le film «Mandoob» représente quand même une évolution, celle de montrer un visage inattendu de la société saoudienne.
Projeté en compétition et en avant-première mondiale dans la soirée de dimanche, le film «Terre de Vengeance», du réalisateur algérien Anis Djaad ayant quand-même drainé un peu plus de public que d’habitude, a reçu un accueil mitigé. Les silences, les plans fixes à durée indéterminée, les lenteurs, etc. font certainement écho à son très beau court métrage, le méditatif «Passage à niveau» sorti il y a une dizaine d’années.
Where have you been et Alone is better, respectivement du cinéaste jordanien Ahmed Qota et de l'irakien Majmaddin Rekar, traitent, avec des styles cependant bien différents l'un de l'autre, la question de la solitude.
L'association culturelle Tanekra du village Agouni Fourrou, dans la région des Ouacifs, vient de lancer un atelier de poésie dédié à Ahmed Lemseyyeh, un des illustres poètes, issu du village voisin de Tizi Mellal. Un chantier dont la naissance a été actée, vendredi dernier, lors du lancement du premier numéro à l'occasion de laquelle la famille du défunt poète, des poètes de la région et de nombreux citoyens, dont notamment des femmes étaient de la partie.
Des scènes bouleversantes renvoient à la tristesse d’un enfant, rattrapé par la dure réalité de son pays.
Le film La Gare ou Ain Lahdjar a été choisi comme film d’ouverture de la douzième édition du Festival du film arabe d’Oran et a été projeté en avant-première samedi à la salle Mahgreb. S’exprimant juste avant, son réalisateur, l'Algérien Lotfi Bouchouchi, a sans doute bien fait d’avertir les spectateurs de ne pas s’attendre à voir un film dans le style de son premier coup d’essai, Le Puits.
Huit troupes étrangères, dont deux invitées d’honneur, sont conviées, à compter du 10 octobre, à déployer leurs talents et leurs créativités sur les planches du TRB, à l’occasion de cette 13e édition, dédiée en hommage à l’une des figures de proue du théâtre algérien, en l’occurrence la comédienne Fatima Hellilou.
L’espace Mémoire et Histoire d’Oran a abrité le jeudi 19 septembre une séance de présentation de l’ouvrage Lettres à Zoulikha auquel a collaboré l’historienne Malika El Korso. En collaboration avec le responsable du Musée Mohamed Freha, moudjahid et écrivain, cette initiative a été organisée par le collectif «Les Journées littéraires d’Oran» sous la coordination de Fatma Boufenik.
Le commissaire du festival, Abdelkader Djeriou, a rendu un vibrant hommage au septième art et à celles et ceux de son métier, notamment dans le rang des plus jeunes.