Ton serein et verbe toujours mesuré, Abbes Aït R’zine (Amghar Hafidh de son vrai nom) offre l’image d’un sage qui ne parle jamais pour ne rien dire.
LA PREMIÈRE DE LA DERNIÈRE La Dernière Reine, le film sur Alger du XVIe siècle réalisé par Damien Ounouri et Adila Bendiremed arrive à Alger, il sera présenté à Alger le 23 de ce mois, vient d’annoncer le CADC, Centre algérien de développement du cinéma.
Décerné cette semaine à Yasmina Khadra, alias Mohamed Mousselhoul, alias le romancier algérien le plus adapté au cinéma. Après les adaptations cinéma de Ce que le jour doit à la nuit réalisé par Alexandre Arcady, L’Attentat de Ziad Doueiri et Morituri de Okacha Touita, le célèbre romancier vient d’annoncer que les droits cinématographiques de son roman A quoi rêvent les loups viennent d’être cédés.
Dans son dernier roman, intitulé Les gens du peuplier, l’écrivain, cinéaste et journaliste Arezki Metref continue de triturer la chronologie des souvenirs et de livrer, avec un regard d’enfant, des lieux communs d’une mémoire collective algérienne très contemporaine, prolongés par une success-story improbable, sortie de l’imaginaire d’un cinéphile assidu.
L’Algérie produit des films avec peu de salles où les voir, mais il y a des festivals, comme le FICA (Alger, festival du film engagé), le FIFO, festival d’Oran, les RCB, rencontres cinématographiques de Béjaïa ou le récent festival méditerranéen de Annaba, tous annulés depuis plusieurs années à cause du Covid et autres, mais qui reprennent doucement. Etat des lieux.
Là où il va, Roger Waters remplit les grandes salles grâce à son show musical riche et impressionnant, mais aussi à cause de son engagement pour les droits des Palestiniens et contre l’oppression que pratique le gouvernement de Tel Avivet Tsahal.
Idée et initiative uniques prises par la bibliothèque principale de lecture publique Mohammed Dib : un salon spécial pour les écrivains et les éditeurs de la wilaya de Tlemcen.
La melhfa, une des composantes du patrimoine vestimentaire féminin, commune aux sociétés africaines, est toujours en vogue dans la Saoura.
Le 23e Festival européen de musique s’est ouvert, jeudi soir à Alger, avec un concert époustouflant animé par le duo féminin Karima Nayt et Lena Jansson, ainsi que par le prince du rai, 2.0, Sofiane Saidi qui ont embarqué le nombreux public dans une randonnée onirique à deux escales.
Alors que les possibilités de l’IA suscitent craintes et convoitises dans l’industrie musicale, le musicien du légendaire groupe de Liverpool, qui s’apprête à fêter ses 81 ans, a révélé l’information dans une interview diffusée mardi sur BBC Radio 4.
Après trois années de recherches, de recueil de documents et de témoignages, marquées surtout par une dure épreuve pour trouver un éditeur et un imprimeur, le Dr Mohamed Saïd Zerouala vient de faire paraître un ouvrage très attendu par les mélomanes, mais aussi par les intellectuels intéressés par l’histoire de la musique à Constantine.
Placé sous le thème «Bibliothèque, bastion du savoir», ce nouveau concours vise à redynamiser les espaces de lecture publique, encourager et promouvoir la lecture et l’écriture, participer à l’éveil de l’enfant par la lecture, encourager les bibliothécaires et enrichir les fonds documentaires de ces espaces, selon la direction de la culture.
Le Festival européen de musique est de retour cette année, du 15 au 21 juin au Théâtre national d’Alger.
A l’Institut français, un appel a été lancé pour tous les musiciens d’Oran désireux de participer à cet événement, et ce, en groupe ou à titre individuel. L’initiative est intéressante dans la mesure où elle permet aux talents existants à Oran, notamment les jeunes, de sortir un peu de l’ombre ou alors de faire des rencontres ouvrant potentiellement la voie à de futures collaborations lorsque les centres d’intérêt convergent. En général, c’est tout le mois de juin qui reste propice aux événements musicaux.
Sous le patronage de Mme la ministre de la Culture et des Arts, Mme Soraya Mouloudji, et dans le cadre du 60e anniversaire de l’indépendance, l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel AARC, organise, du 10 au 25 juin une résidence de jeunes artistes sous le slogan «Jeunesse et créativité» au niveau de la villa Abdellatif à Alger.
Ce musée, qui prendra place de manière temporaire à la villa Boulkine dans le quartier d’Hussein Dey à Alger, restaurée pour l’occasion, vise à créer un musée moderne, contemporain, dynamique, et interactif pour la collecte, la préservation et l’étude scientifique de l’histoire, de la culture, et du patrimoine matériel et immatériel du continent.
l La générale de la pièce de théâtre, El madi yaôud, une pérégrination entre la mémoire du passé et les horizons futurs, a été présentée, lundi soir à Alger, à l’occasion de la double célébration, du Soixantenaire de l’indépendance et de la Journée nationale de l’artiste.
Cinq troupes issues d’autant de pays ont confirmé leur participation à la 12e édition du Festival international du théâtre de Béjaïa, prévue du 12 au 19 octobre prochain, a-t-on appris lundi auprès du commissariat de cette manifestation artistique qui mise sur la participation d’une douzaine de formations théâtrales.
Décerné cette semaine à Maïwenn, actrice, scénariste, réalisatrice, chanteuse et productrice franco-algérienne, présente au denier Cannes avec son 6e long-métrage, Jeanne du Barry avec Johnny Depp pour son grand retour sur la scène.
Avec une carrière qui s’est étalée sur plus de trente ans, l’homme a été présent dans d’innombrables pièces comme scénographe, comédien, auteur et metteur en scène, un fait inédit dans l’histoire du théâtre algérien.