Journaliste, critique et réalisateur de films, Tahar Houchi quitte le pays dans les années terrorisme après une licence en lettres et linguistique obtenue à Alger, et poursuit ses études DES en études du développement, DEA de langue, littérature et civilisation françaises, pour finir par fonder le festival de Genève.
La 13e édition du Festival culturel local de la musique et de la chanson kabyles a été clôturée jeudi soir avec la remise des prix aux lauréats du concours de la musique et de la chanson, organisé dans le cadre de cet événement, mis en place par la direction de la culture, sous l’égide de la ministre du secteur, Soraya Mouloudji.
Par ce tour de chant, qui les a menés dans plusieurs villes algériennes, notamment Alger, Constantine, Annaba et Tlemcen, ils ont parvenu à ambiancer comme il faut la soirée de jeudi dernier et permettre au public, venu nombreux, d’avoir un petit aperçu, par le truchement de la musique, de ce qu’est la culture rwandaise.
LE SOURIRE DU HACKER Un film sur Hamza Bendelladj, « smiling hacker » ou le hacker souriant est prévu pour l’année prochaine, produit par le groupe Canal+. Arrêté à Bangkok en Thaïlande, l’enfant d’El Madania à Alger avait touché tout le monde en arborant un large sourire lors de son interpellation alors qu’il avait détourné près de 200 milliards de dollars de banques américaines et européennes. Prévu pour 2024, le scénario est écrit par la Franco-Libanaise Audrey Diwan, le film sera réalisé par Adil El Arbi et Billal Fellah qui ont déjà coréalisé le film « Black » et « Bad Boys 4 ».
C’est probablement cette citation de Khalil Jibran qui convient le mieux au FIFOG, Festival international du film oriental de Genève, cofondé par deux Algéro-Suisses et qui tient là sa 18e édition sous le thème du rêve, avec 4 films algériens au programme.
Le ministre de la Communication, Mohamed Bouslimani, a présidé, mercredi à l'auditorium Aissa Messaoudi de la Radio algérienne, le lancement d'une nouvelle station de radio musicale baptisée Zamane FM, dédiée à la valorisation du patrimoine artistique, musical et théâtral algérien authentique.
Il était un temps ou beaucoup de Tiarétis fredonnaient ces airs restés pour la postérité et chanté par le défunt Ali Maachi. Il s’agissait de cette ode à l’Algérie combattante, Anghams El Djazair.
Lors de la cérémonie, le président de la République et de hauts responsables de l’Etat ont remis les distinctions aux lauréats du Prix du président de la République dans la catégorie du roman, de la poésie, de l’interprétation théâtrale, de l’écriture dramaturgique, de la création musicale, de la chorégraphie et la danse, du cinéma et des arts plastiques.
Le début de tournage de ce court métrage produit par le ministère de la Culture et des Arts dans le cadre du soixantenaire de l’indépendance a eu lieu au niveau du site archéologique El Kherba, situé dans la commune d’El Amra, en présence du wali Abdelghani Filali, à l’occasion de la célébration de la Journée nationale de l’artiste.
Dans cet entretien, Karima Hamdane, enseignante de bibliothéconomie à la faculté des sciences humaines et sociales de l’université Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, précise que le système d’archivage électronique (SAE) simplifie et rend plus efficace la gestion d’informations, tout en sécurisant et préservant l’intégrité des ressources documentaires à long terme.
En prévision de la Journée de l’artiste, coïncidant avec le 8 juin, l’espace culturel Bachir Mentouri a accueilli le réalisateur et producteur algérien Djaffer Gacem.
Raï is not dead, film documentaire en six épisodes de Hadj Sameer et Simon Maisonobe, a été projeté, lundi dernier, à l’Institut français d’Oran.
Son intitulé Djanat echaytane (Le paradis de Satan) évoque l’ouvrage Ahd Al-shaytan (l’ère du diable) du célèbre écrivain égyptien Tawfik El Hakim qui s’est lui-même inspiré de la légende faustienne d’origine allemande et ses différentes versions, dont celle rendue célèbre par Goethe et dont on retient grosso modo les conséquences qu’il y a à contracter un «pacte avec le diable».
Comme chaque année depuis 1997, l’Algérie s’apprête à célébrer ses artistes, ses créateurs et sa culture à la faveur de la Journée nationale de l’artiste, coïncidant avec le 8 juin de chaque année, et commémorant l’exécution barbare de l’artiste Ali Maâchi par les forces coloniales le 8 juin 1958.
Dans l’immense salle d’expositions où des toiles d’enfants garnissent les murs blancs immaculés, le Dr Fatiha Benktila animait, hier matin, un atelier interactif sur les bienfaits de la lecture pour améliorer les compétences de l’enfant. Invitant l’assistance à un mini concours d’éloquence autour du livre, Benktila a incité les parents présents à soutenir l’effort de lecture et nourrir la soif de découverte de leurs enfants en développant une identité de lecture propre, appelant ces derniers à s’imprégner d’une pratique pédagogique qui les accompagnera tout au long de leur vie et les aidera à grandir en tant que lecteurs, locuteurs et penseurs authentiques.
En réunissant les talents de l’art (audiovisuel, cinéma, livre, musique, design, architecture, mode, etc.), et ceux de la technologie, MaWaHub a pour objectif d’amorcer des projets artistiques tournés vers le Web 3.0. 48 candidats artistes et professionnels de la technologie et représentant une diversité exceptionnelle ont été retenus pour la première phase du programme : «La piscine».
Accueilli au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA), le spectacle s’est déroulé en présence de la ministre de la Culture, Soraya Mouloudji, du conseiller auprès du président de la République, chargé de la culture et de l’audiovisuel, Ahmed Rachedi, ainsi qu’une délégation mixte de hercheurs et universitaires algériens et étrangers qui participent au colloque sur la «Résistance culturelle en Algérie durant la guerre de Libération».
Le Théâtre régional Abdelkader Alloula d’Oran a produit cette année cinq nouvelles œuvres artistiques, a-t-on appris auprès de cet établissement culturel.
En «réunissant» de nouveau les quatre artistes, ou encore en revisitant les dernières œuvres de Paul McCartney avec sa voix de jeunesse, ces créations mettent en évidence les récentes avancées technologiques, tout en soulevant une ribambelle de questions éthiques et légales.
Au cœur de la ville des lumières, le pays de Mahmoud Darwich expose sa vitalité créative avec une scène contemporaine qui n’a rien à envier aux aînés.