La scène du Théâtre national Mahieddine Bachtarzi (TNA), où le 23e Festival européen de musique a élu domicile depuis le 15 juin, a accueilli deux des meilleures représentations de cet événement annuel organisé par la délégation européenne en Algérie. L’assistance, qui a joyeusement adhéré aux deux programmes de la soirée, a été gratifiée de deux belles prestations rendues dans deux registres musicaux différents, «Comédie musical» pour l’ensemble tchèque, composé par Eva Novakova, soprano, Jan Kostelanský, ténor et la pianiste Lenka Navratilova et «Musique du monde» pour le célèbre chanteur italien Enzo Avitabile, à la harpe et au chant, brillamment soutenu par Gianluigi Di Fenza à la guitare électro-acoustique et Emidio Ausiello aux percussions.
D’une durée de 113mn, ce film est une production du Centre algérien pour le développement du cinéma, qui explore le destin houleux de ce personnage haut en couleurs, qui appartient à la légende de la ville d’Alger, dernier survivant de la famille du roi Salim Toumi, joué par Mohamed Tahar Zaoui, convoitée par le nouveau maître des lieux Aroudj Barberousse et qui va tenir tête au nouveau roi et au nouvel ordre établi.
l Placée sous le slogan «Le tapis, entre authenticité et modernité», cette manifestation de trois jours regroupe des artisans des wilayas de Khenchela, Oum El Bouaghi, Tébessa, Bouira, Tizi Ouzou, Ghardaïa, Guelma et M’sila.
Une «erreur d’aiguillage» des bagages a fait que le batteur ne retrouve plus son instrument à la sortie d’avion le jour-même. Cette déconvenue a failli avoir comme conséquence l’annulation pure et simple du spectacle déjà annoncé depuis un moment.
Durant cinq semaines, le journaliste- réalisateur, Touhami Tayeb, accompagné par son équipe technique, avait sillonné différents terrains des communes de Menaceur, Sidi-Sémiane, Cherchell, Hadjout et Tipasa, afin de recueillir les témoignages des authentiques «acteurs et actrices», qui avaient eu un lien direct avec l’une des héroïnes algériennes oubliées, qui avait sacrifié sa vie pour l’indépendance de sa patrie, en l’occurrence Yamina Oudaï.
La cérémonie d’ouverture de cette manifestation, organisée par le Centre des arts et des expositions en collaboration avec le Musée public national des monuments islamiques et la maison de la culture de Tlemcen, a vu la présentation d’une cinquantaine de photographies sur le patrimoine, l’habit traditionnel, l’artisanat et les Casbah d’Alger à la galerie d’art Abdelhalim Hemche de cet établissement culturel.
La pièce Nanous, Doub Edhaou oua El Alouane, du théâtre régional d’El Eulma (Sétif), a remporté le prix du meilleur spectacle de la 11e édition du Festival national de théâtre pour enfants, clôturée lundi soir à la maison de la culture Ali Souaïhi, à Khenchela.
Dans son ouvrage Cinquante clés pour l’indépendance, dont la traduction vers l’arabe vient d’être publiée, le regretté historien et sociologue Abdelmadjid Merdaci retrace, à travers 50 éclairages historiques, les principales stations qui ont marqué le combat libérateur.
La 13e édition du Festival national de théâtre de marionnettes, du 21 au 25 juin, sera particulière au regard des conditions ayant présidé à sa tenue.
Son impact sur les intellectuels algériens et sur les intellectuels du reste de l’Afrique est confirmé par les témoignages mêmes de ces intellectuels. Kateb Yacine fut dramaturge, romancier, poète, essayiste et donc ses champs littéraires artistiques furent multiples, ce qui fait de lui une icône littéraire.
Le groupe de musique tchèque, Trio canto e vivo, a animé dimanche un concert de chant à la maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou, dans le cadre du 23e Festival européen de musique.
Plusieurs activités culturelles et artistiques ont été programmées à Sidi Bel Abbes au titre des caravanes d’été de la Mekerra, organisées sous le slogan «Art et culture pour tous», coïncidant avec la saison estivale, a-t-on appris, dimanche, auprès de la direction de wilaya de la culture et des arts.
Très attendu par les fans de mode en cette troisième journée de la Fashion week, axée sur la période printemps-été 2024, le défilé s’est déroulé dans un hall austère de la Fondation Prada qui plante le décor pour un vestiaire masculin sobre, mais raffiné.
L’événement organisé cette année sous le slogan «La mémoire nationale refuse l’oubli» s’inscrit dans le cadre des célébrations du 61e anniversaire du recouvrement de l’indépendance de l’Algérie, a indiqué le directeur de wilaya de l’éducation et commissaire du festival, Othmane Hamena.
l Le Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) organise, les 23 et 24 septembre prochain à Biskra, un colloque scientifique national, intitulé : «Le droit coutumier algérien : une législation à la source de l’authenticité et d’un facteur de cohésion sociale nationale.»
C’est ce qui caractérise la soirée musicale organisée à l’IFO samedi soir et animée principalement par le duo Mouss et Hakim, deux anciens membres du groupe toulousain (France) Zebda. En effet, mis à part deux ou trois titres, tout le reste du répertoire interprété à cette occasion concerne un ensemble de reprises de divers horizons.
Identités, symboles, diversité, recherche de couleurs et hommages constituent l’essentiel de la dernière exposition de l’artiste plasticien Karim Sergoua, intitulée «Revisitées», et inaugurée samedi à Alger.
Les femmes ont un rôle important dans la préservation et la transmission de la culture et du patrimoine algérien, ont souligné, samedi à Tizi Ouzou, les invitées de la première édition de l’événement «Femmes à l’honneur», organisé à la maison de la culture Mouloud Mammeri
La scène du 23e Festival européen de musique a accueilli samedi soir, au Théâtre national Mahieddine Bachtarzi à Alger, le trio danois de Jazz et de Blues, SP-Just-Frost, et la chanteuse hongroise de musique du monde, Boggie, dans une ambiance électrique.
Comédienne aux nombreux prix d’interprétation, notamment dans Parfums d’Alger , de Rachid Benhadj ou Les terrasses, Normal et Le Repenti, de Merzak Allouache, elle est aussi femme de théâtre et d’Opéra, productrice, scénariste et réalisatrice. Après Kindil el bahri (La méduse) qu’elle produit, elle revient avec Akhira («La dernière reine»), coréalisé avec son mari Damien Ounouri et où elle joue le rôle principal.