«Nous, soussignés, éditeurs de médias algériens, tout en condamnant les bombardements massifs et barbares de l’entité sioniste et le massacre de la population sans défense de Ghaza , nous condamnons l’effondrement professionnel et moral des médias occidentaux dans leur couverture biaisée de la guerre contre Ghaza et la consécration de stéréotypes déformateurs de la vérité.
Sur instruction du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, l’Algérie a décidé l’envoi d’urgence d’importantes quantités d’aides humanitaires à la bande de Ghaza via le terminal de Rafah, à travers un pont aérien composé de plusieurs avions relevant des forces aériennes de l’Armée nationale populaire (ANP), a indiqué, hier, un communiqué de la présidence de la République.
Le secrétaire général de l’Alliance nationale républicaine (ANR), Belkacem Sahli, a exprimé hier à Ain Fakroun (Oum El Bouaghi) la ferme condamnation de son parti des crimes sionistes répétés subis par le peuple palestinien à Ghaza et qui, a-t-il dit, relèvent du «génocide».
L’aide acheminée vers la bande de Ghaza est insuffisante pour l’ONU, qui veut 100 camions par jour pour les 2,4 millions de Ghazaouis privés de tout.
Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a présidé, hier, une réunion du gouvernement au cours de laquelle plusieurs secteurs ont été examinés, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre.
Plusieurs assemblées communales bloquées faute de consensus entre leurs membres ou gelées par les walis. L’organisation d’élections partielles serait-elle la solution pour relancer la machine du développement ?
A cause de la multiplication des punaises de lit, le nouveau wali de Annaba, Abdelkader Djellaoui, a signé, la semaine dernière, un arrêté de fermeture administrative d’un hôtel au bord de la corniche de Annaba. Le gérant en a été notifié et l’établissement a été fermé, après avoir été évacué.
L’Organisation internationale pour les migrations (OIM) a organisé, du 17 au 19 octobre en cours, en partenariat avec des représentants gouvernementaux algériens, un atelier de formation de trois jours sur les «Concepts clés de la gestion des migrations».
Comme il fallait s’y attendre, l’élan de solidarité des Algériens avec leurs frères palestiniens victimes d’une guerre d’extermination menée contre les populations de Ghaza n’a pas tardé à se manifester. Le mot d’ordre de la mobilisation a reçu un écho favorable, jeudi dernier, dans toute la région Est du pays
Le président Tebboune a décliné l’invitation de son homologue égyptien de se rendre au Caire pour participer au sommet sur la situation en Palestine. Des «désaccords profonds» sur les moyens de règlement de la crise expliquent la décision de la présidence algérienne.
Jeudi dernier, plusieurs centaines d’Oranais ont marché dans les rues d’Oran en soutien à la population de Ghaza en proie, depuis plusieurs jours, aux massacres et aux bombardements de l’armée israélienne. C’est à partir de 10h que la foule a commencé à se rassembler à la place du 1er Novembre 1954, en investissant d’abord les marches de l’hôtel de ville et en arborant un immense drapeau palestinien.
L’Algérie a renoué, jeudi dernier, avec l’atmosphère du hirak du 22 février 2019. Des milliers d’Algériens, privés de manifestations publiques depuis plus deux ans, ont battu le pavé à Alger et dans la majorité des grandes villes du pays. Cette fois-ci, ils se sont mobilisés pour une autre cause qui leur est chère : la question palestinienne.
Le martyre des habitants de la bande de Ghaza, soumise à des bombardements israéliens intenses, se poursuit alors que l’aide humanitaire tant attendue par les Ghazaouis devrait être acheminée à partir d’aujourd’hui, selon l’ONU. Le ministère de la Santé de Ghaza a fait état, hier, de 4 137 martyrs, majoritairement des civils, et 13 162 blessées, au quinzième jour de l’agression israélienne.
Des milliers de citoyens de tous âges et des deux sexes ont répondu avant-hier à Boumerdès à l’appel à la marche pour dénoncer le massacre des populations civiles à Ghaza.
Le Front des forces socialistes (FFS) dénonce ce qu’il qualifie «de crimes contre l’humanité» commis en toute impunité à Ghaza par l’occupant sioniste.
Le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN) Abou El Fadl Baadji, qui n’a pour l’heure pas déclaré son intention de briguer un mandat à la tête du FLN, bénéficie d'un énième sursis.
Le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a précisé que son gouvernement, dans le cadre de la lutte contre la spéculation illégale, avait pris une «batterie de mesures» à l’effet de stabiliser les prix.
Le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Lounès Magramane, a coprésidé jeudi à Alger, avec le secrétaire d’Etat auprès du ministre roumain des Affaires étrangères, chargé des Affaires globales et des Stratégies diplomatiques, Traian Hristea, la session de clôture de la 15e édition du cours de formation intitulé «Stabilisation et reconstruction post-conflit–Soutien au Sahel», indique un communiqué du ministère.
Le Premier ministre a affirmé jeudi que le montant des dépenses d’investissement consacré dans le budget de l’Etat pour l’année 2023 s’élève à 4019 milliards de dinars.
La défense des accusés a majoritairement plaidé l’acquittement. Me Mokrane Aït Larbi s’est offusqué contre le fait «de filmer les aveux des suspects et de les diffuser sur les chaînes de télévision», mais aussi contre le fait que les accusés soient menottés à l’audience. La majorité des avocats a également dénoncé «des condamnations en vrac» et le non-discernement «entre des accusés présents sur les lieux par curiosité et ceux ayant participé aux scènes de violence». Les plaidoiries reprendront aujourd’hui.