Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, a affirmé, jeudi, que «nous avons pris acte» des «réactions des représentants du colonialisme et du néocolonialisme», allusion aux réactions de responsables français à propos d’un couplet de l’hymne national.
Dans l’entretien à El Watan, Yazid Aguedal, DG d’IT Synergy et consultant de plusieurs multinationales et de sociétés algériennes, évoque l’utilisation de l’intelligence artificielle (IA) dans le monde et en Algérie. Pour lui, «comme pour toutes les technologies qui sont offertes, personne n’a besoin d’autorisation ou de permission pour l’utiliser».
l Le Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) organise, les 23 et 24 septembre prochain à Biskra, un colloque scientifique national, intitulé : «Le droit coutumier algérien : une législation à la source de l’authenticité et d’un facteur de cohésion sociale nationale.»
Le général d’armée, Saïd Chanegriha, chef d’état-major de l’ANP a affirmé que le «processus de construction de l’Etat national, avec ses différentes institutions, a atteint des phases avancées, grâce aux efforts consentis par les valeureux enfants du pays».
Hausse des saisies de substances psychotropes et baisse de celles de drogues dures. Le bilan 2022 de l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLCDT) note la saisie de 11 351 813 comprimés de substances psychotropes de différentes marques en 2022, en hausse de 115,50% par rapport à l’année 2021.
La fondation Mouloud Feraoun annonce la réédition de deux romans majeurs de l’écrivain Mouloud Feraoun (1913-1962). Dans un communiqué publié hier par son fils Ali Feraoun, il est précisé la «disponibilité nouvelle de l’édition de deux nouveaux ouvrages revus, complétés des textes apurés des manuscrits d’origine» du célèbre romancier.
Premier ministre de 2003 à 2014 et président de la République depuis 2014, les triomphes électoraux successifs ont encouragé Recep Tayyip Erdogan à renforcer son pouvoir.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, l’auteur parle de ses textes de fiction (Si tu vas à Tamgout, La Colline sacrifiée) mais aussi de son journal non publié d’un jeune lycéen «jeté au cœur de l’Amérique profonde, un mois à peine après la fin de la Guerre de libération»…
La commercialisation des produits alimentaires n’obéit pas toujours à l’obligation de respect de la chaîne du froid. Les risques sur la santé deviennent encore plus importants surtout à l’approche de la saison des grandes chaleurs.
Dans cet entretien, le Dr Salim Kebbab précise : «Malgré le fait que la plupart des intoxications alimentaires se résolvent en quelques jours, cependant certaines bactéries peuvent provoquer des maladies graves, parfois mortelles, comme la listériose, la salmonellose et le botulisme alimentaire.»
Détermination et attachement à la mémoire du pays. Pour le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, l’Algérie ne «renoncera jamais» au dossier de la mémoire et «ne marchandera avec aucun pays» cette question. «Nous avançons aujourd’hui pas à pas dans ce dossier, et ils savent pertinemment qu’il s’agit d’une question à laquelle nous ne renoncerons jamais», a tranché le président Tebboune à l’occasion de son entrevue avec des représentants des médias nationaux.
Dans l’entretien accordé à El Watan, l’expert forestier Amar Naït Messaoud évoque les derniers méga-feux qu’a connus le pays. Il note que toutes les actions de prévention sont les bienvenues. «Il n’y en aura jamais trop. De plus en plus, la prévention est en train de toucher d’autres segments de la société et d’autres institutions, outre les acteurs ''traditionnels'' que sont les forestiers», constate-t-il.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, annonce la création de 5310 postes budgétaires au profit des titulaires des diplômes de doctorat et de magistère. Une révision de l’arsenal juridique est prévue afin de «trouver les solutions idoines» au recrutement de ces diplômés.
Les titulaires de doctorat et de magistèrs continuent de se mobiliser pour faire aboutir leur revendication liée au recrutement direct.
La quarantaine à peine entamée et déjà une œuvre très dense. Depuis son très remarqué recueil Faiblesse n’est pas de dire, publié en 2001 chez Barzakh, Samira Negrouche se voue à son art avec la même persévérance.
La commission mixte d’historiens algériens et français, décidée par le président de la République algérien, Abdelmadjid Tebboune, et son homologue français, Emmanuel Macron, à l’occasion de la visite officielle de ce dernier en Algérie, en août 2022, a tenu, mercredi 19 avril, sa première réunion, a annoncé un communiqué de la Présidence française.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, le très dynamique acteur de la scène culturelle nationale, Amirouche Malek, évoque l’anthologie poétique qu’il a publiée aux éditions Imtidad : Florilège de poésie, Asefru n tmedyezt, il précise qu’il «n’y a jamais eu une anthologie où figurent 39 poètes en trois langues : tamazight, arabe français». Organisateur acharné de plusieurs événements culturels, il série certaines difficultés qui le freinent dans ses ambitions. «Les collectivités locales et certaines structures culturelles doivent s’impliquer pour une compensation. J’avoue que si on a tenu le coup, c’est grâce aux mécènes et certains amis qui nous soutiennent. C’est la raison pour laquelle, on a décidé de suspendre certaines de nos activités jusqu’à nouvel ordre ou du moins jusqu’à ce que les conditions soient réunies», souligne-t-il.
Consacrée langue nationale après l’amendement de la Constitution en 2002, puis langue officielle à la faveur de la révision constitutionnelle en 2016, tamazight a connu des progrès depuis son introduction dans l’enseignement durant l’année scolaire 1994-1995.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le secrétaire général du Haut-Commissariat à l’amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad, revient sur la décision du ministère de l’Education d’assurer une «progression certaine» de tamazight à travers le territoire national dès la rentrée scolaire prochaine 2023-2024. Il annonce, dans ce sillage, l’installation d’un groupe de travail mixte chargé d’examiner les mesures nécessaires à même de consolider l’enseignement de cette langue et de prendre en charge les problèmes qui entravent sa généralisation progressive. Il a été aussi décidé, en concertation avec le ministre de l’Education nationale, Abdelkrim Belabed, la rédaction d’un document portant directive ministérielle à l’effet de clarifier les modalités organisationnelles liées à cet enseignement, annonce M. Assad.
Paradoxe marocain. Si la crise frappe de plein fouet son pays, le roi du Maroc, Mohammed VI, s’en tire, lui, à très bon compte : il figure parmi les cinq monarques les plus riches de la planète avec une fortune personnelle estimée à près de 6 milliards de dollars selon le magazine Forbes (2015). La monarchie alaouite est généreuse avec sa «Sa majesté le roi» et à sa cour.