Certaines routes du pays sont devenues de véritables tronçons de la mort. La RN 3 et son prolongement (la RN 46) ont connu un énième accident mortel : 07 morts et 12 blesses ont été recensés jeudi matin, sur la route du Sud-Est du pays, plus exactement entre El Hadjira et Touggourt.
La rencontre et vente-dédicace sera modérée par Mansour Kedidir, auteur et chercheur au Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (Crasc), a annoncé un communiqué du collectif.
Le recueil d’essais du numéro spécial de la revue pluridisciplinaire Tamazgha Studies Journal (TSJ) présente le chanteur Idir comme un artiste aux multiples facettes dont la vie et l’œuvre artistique ont touché de nombreuses vies et laissé une empreinte sur de nombreuses personnes.
Une journée d’hommage au défunt Mohamed Brahim Salhi, spécialiste de la recherche anthropologique et de la culture amazighe, se tiendra, en fin de semaine, dans son village natal d’Ighil n’Tazarth, commune de Larbaa Nath Irathen.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Soufiane Djilali, président de Jil Jadid, essayiste, évoque certaines thématiques abordées dans son dernier essai La modernité, genèse et destin de la civilisation occidentale contemporaine (Les presses du Chélif, Jil Jadid)…
Avec son nouvel essai, le président de Jil Jadid privilégie une approche didactique qui aide le lecteur à mieux aborder l’essai qui porte sur un sujet crucial : la modernité.
Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, soutenu par des forces extrémistes, refuse un cessez-le-feu immédiat. Le Monde a affirmé, dans son édition d’hier, que le va-t-en-guerre suscite le «désespoir» des négociateurs israéliens. Ceux-ci le jugent «accaparé par sa seule survie politique».
Dans son essai Sartre et l’Algérie (Tafat), le jeune auteur Kamal Guerroua évoque avec force détails le parcours anticolonial de l’écrivain et philosophe français. «Sartre-l’Algérien» a été un philosophe antisystème au sens propre du mot : la voix des sans-voix et le grand frère des opprimés», précise-t-il.
La Cour internationale de justice (CIJ) tiendra, aujourd’hui et demain, des audiences publiques au Palais de la Paix, à La Haye (Pays-Bas) sur la demande déposée par l’Afrique du Sud tendant à ce que cette juridiction décide des mesures conservatoires additionnelles et modifie les mesures conservatoires déjà annoncées.
«Qu’est-ce que le lepénisme, sinon un rejeton idéologique et politique du colonialisme, au moins autant que de la Collaboration», tranche le chercheur, évoquant les «victoires» de ce courant, aujourd’hui aux portes du pouvoir en France.
Le Directeur général de l’aménagement du territoire au ministère de l’Intérieur, Madjid Saâda, est catégorique : le Schéma national d’aménagement du territoire (SNAT), adopté en 2010, «forme pour notre pays une ambition à la hauteur des enjeux qui sont devant nous.
Dans l’entretien accordé à El Watan, le Dr Salim Kebbab, vétérinaire passionné, évoque l’évolution des races bovines dans le pays et la nécessité de les préserver.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Abdelghani Rahami parle avec des mots bien sentis de sa poésie. A l’occasion de la Journée mondiale de la poésie (21 mars), l’auteur de Fleurs de sagesse (Média Index) écrit un joli texte dont voici un extrait : «Belle Poésie, Bel Amour ! Transforme toi en un seul jour. Erige ton acte en orateur, Fais inspirer ton prosateur.»
Un constat s’impose : les traductions d’œuvres algériennes sont rares. Il y a eu certes les traducteurs «historiques» (Marcel Bois, Said Boutadjine, Mohamed Sari, Merzak Begtach), mais ces expériences n’ont guère suscité un véritable mouvement, comparable à celui enclenché dans le monde arabe (Liban, Egypte…)
Dans l’entretien accordé à El Watan, Mohamed Sari revient sur l’acte de traduction, ses exigences et les moyens à mettre en œuvre pour impulser un vrai mouvement de traduction dans le pays. «C’est en forgeant qu’on devient forgeron. Et c’est le même processus dans tout acte d’apprentissage, et la traduction est un vrai champ d’apprentissage pour peu que le traducteur puisse trouver un champ fertile où il puisse forger son talent et mettre en pratique les différentes théories de traductologie qu’on lui a inculquées dans les années de sa formation universitaire.»
Le ministre de la Justice et garde des Sceaux, Abderrachid Tabi, a salué la «place occupée» par les magistrates «dans la voie du développement».
Dans cet entretien accordé à El Watan, Assia Dib parle de la relation de son génial père avec sa ville, Tlemcen, et de son œuvre poétique.
Les victimes de l’OAS sont nombreuses. Leur mémoire reste vivace chez leurs familles. Il y aurait eu quelque 3000 victimes de cette sinistre organisation. Saïd Chellouche, employé algérois originaire de Boumahni (Tizi Ouzou) fut l’un d’eux.
Les écrivains majeurs algériens, tels que Mohammed Dib ou même Tahar Ouettar, sont parfois passés du réalisme à l’onirisme, mais les textes élaborés qui permettent un voyage épique dans des mondes imaginaires restent rares.
Dans l’entretien qu’il a accordé à El Watan, Mohamed Elkeurti parle de son recueil de nouvelles qui a rencontré un joli succès public. Il précise que ses personnages «ne sont pas gâtés, du fait que les situations dans lesquelles ils se trouvent ne sont rien moins qu’angoissantes, sinon étranges, et c’est l’‘essence même de la littérature fantastique qui suppose l’intrusion de l’irrationnel, du macabre quelquefois dans un quotidien ordinaire».