Native d’Ath Yenni, Djoher Amhis-Ouksel, éducatrice et essayiste de renom, s’est très tôt intéressée à la littérature algérienne. A son actif, plusieurs essais. L’association Les Amis de la Rampe Louni Arezki, présidée par l’infatigable Lounis Aït Aoudia, rendra hommage à une essayiste, presque centenaire, qui a tant donné à la littérature algérienne.
Le jury a salué une traduction «fidèle et brillante, qui réinterprète avec justesse la mémoire d’une société à un moment charnière».
Les auteurs et critiques littéraires algériens ont été surpris par l’engouement des jeunes pour les genres de littérature considérés comme mineurs. Deux camps, aux positions tranchées, s’étaient formés : rejet franc d’un côté et accueil enthousiaste de l’autre.
C’est un témoignage édifiant venu du XXe siècle. L’actualité immédiate du génocide en cours à Ghaza fait écho aux humiliations anciennes subies par le peuple palestinien sur sa terre.
Il est l’un des plus grands connaisseurs des littératures francophones du Maghreb. Charles Bonn est décédé chez lui, mercredi 6 novembre, à Lyon, à l’âge de 82 ans. Professeur émérite à l’Université Lyon II, ce natif de Lipsheim (Bas-Rhin, France) a enseigné dans les universités de Constantine, Fès et Leipzig. Il était le fondateur du programme Limag et du site limag.com.
Dans cet entretien, Amar Mohand-Amer évoque les évolutions du camp indépendantiste. Pour lui, pendant toute la durée de la guerre et même avant le 1er Novembre 1954, les «tensions, clivages et oppositions sont légion». «Ce furent des confrontations objectives imposées par la guerre et ses nombreux enjeux et défis», souligne-t-il. Le jeune historien, qui est l’un des plus persévérant de sa génération, a une appréhension : «Le risque ou le danger est que notre histoire nationale ne soit plus à l’avenir du ressort de nos jeunes collègues.»
Notre mémoire est un monde plus parfait que l’univers : elle rend la vie à ce qui n’existe plus.» Cette citation, attribuée à l’auteur français Guy de Maupassant, résume le travail de Cherif Chikhi. Son livre témoignage, Guerre de libération nationale 1954-1962, Souvenirs d’un village martyr (Dahlab, 2024), nous parle avec des mots bien sentis de ces vies simples prises dans la tourmente de la guerre.
Dans l’entretien accordé à El Watan, Ouanassa Siari Tengour, historienne au long cours, revient sur le déclenchement de la Guerre d'Algérie le 1er Novembre 1954 dans l'Aurès. Elle évoque, avec force détails, la genèse du mouvement dans cette partie du pays.
Les mémoires de l’historien Mohammed Harbi, Une vie debout, viennent d’être traduits en tamazigt sous le titre Tudert deg ise aux éditions Koukou.
Tout le stock d’armes des Mechelek a explosé. Le local de Batna a été soufflé. Lis ça ! Mostefa Ben Boulaïd, sourire aux lèvres, tend une coupure de presse à Abdelhamid Mehri, membre comme lui du comité central du MTLD.
Cœur-d’amande, c’est l’histoire de gens simples qu’on prend en affection, mais c’est également celle d’un quartier : Montmartre
La date du concours d’accès à l’Ecole régionale de formation des avocats de Sidi Aïssa (M’sila) n’est pas encore fixée. Idem pour les postes ouverts.
Le secrétaire général du HCA, Si El Hachemi Assad, a insisté, lors de sa visite à In Salah, sur le rôle de l’école dans la valorisation de la langue. «Le renforcement de la présence de la langue amazighe dans les différents systèmes nationaux (enseignement, média, ndlr) n’est possible que par l’école», insiste-il.
l Slimane Zeghidour, Boukhalfa Amazit, des spécialistes au long cours, animeront, aujourd’hui, avec deux bédéistes du cru, Aïder et Haroun, une table ronde sur les héros de la BD «made in Algeria».
Les Nations unies ont célébré, hier, la Journée internationale de la traduction, une occasion pour rendre hommage aux spécialistes des langues et de souligner l'importance de leur travail pour unir les nations, favoriser le développement et renforcer la paix et la sécurité dans le monde. Dans cet entretien, Belkacem Meghzouchene, jeune et sémillant auteur et traducteur, évoque son travail. «Les échanges interculturels, par traductions de livres interposées, apprivoisent les tensions, unissent les hommes et chassent l'ennui et la souffrance matérielle. C'est grâce aux traductions de divers livres que les expériences des uns et des autres sont connues, enrichies, commentées, améliorées, voire assimilées ‘’à la lettre’’», assène-t-il.
Le Prix littéraire de la Grande Mosquée de Paris a dévoilé les lauréats de sa troisième édition. Il honore les auteurs dans les catégories roman et essai portant sur la civilisation musulmane.
Le ministre de l’Intérieur, Brahim Merad, qui supervisait hier le cours inaugural de la 55e promotion de l’Ecole nationale d’administration (ENA) Moulay Ahmed Medeghri (Alger), a insisté sur l’obligation de «renforcer les services publics essentiels» afin de répondre aux préoccupations des citoyens, et ce, conformément aux instructions du président de la République.
Publication d’ouvrages didactiques et d’une étude sur la TARIKA Rahmania du Professeur Salhi Le HCA enrichit son catalogue éditorial
Vous publiez Lmed tacawit, un manuel d’apprentissage du chaoui (Ed. HCA). Comment est né ce projet ?
Maniant un humour caustique mais sympathique, Slimane Chabi a marqué des générations de mélomanes par des textes engagés, servis par une voix remarquable.