Un projet qui se voulait prometteur, mais qui est vite tombé en désuétude.
Aucune prise en charge réelle et sérieuse n’a été mise sur pied pour sauver ce qui reste de La Casbah d’Alger, qui est devenue au fil des ans, l’ombre d’elle-même. D’après certains connaisseurs de la question, la vieille Médina est «perdue à tout jamais», car ce qui est actuellement susceptible d’être restauré comme «douiret» et monuments historiques ne représente qu’une infime partie de ce qui existait il y a de cela 30 ou 40 ans.
Au quartier Ben Djaida, dans la commune de Bordj El Bahri, une fuite d’eau potable dure depuis plusieurs mois. En dépit des multiples doléances adressées aux services de la Seaal afin qu’ils réparent la fuite d’eau, «rien n’a été fait», affirment les habitants. L’eau potable continue de couler sur la chaussée formant par endroit de gigantesques flaques.
Exposition, conférences, ateliers de formation et journées d’études sont au programme des différents établissements à caractère muséal dans la capitale, et ce à la faveur des activités prévues dans le cadre du mois du patrimoine inauguré officiellement le 18 avril passé.
Le manque de places de stationnement dans la capitale est devenu un problème qui affecte non seulement le centre-ville, mais également les localités de la périphérie.
Un marché qui ne répond pas aux normes et dont la délocalisation est une nécessité.
Deux grands projets structurants vont être réalisés dans la capitale. Le premier porte sur la réalisation de deux autoroutes à étages. Le second concerne la relance du projet de réalisation d’un système de régulation de la circulation routière.
L’espace urbain est marqué par un désordre impressionnant, résultat d’une gestion qui est à la limite de la négligence.
Les habitants du lotissement Sidi Ben Dris, dans la commune de Bordj El Kiffan, déplorent l’absence d’équipements publics et d’aménagements urbains devant leur faciliter la vie.
En dépit d’une congestion routière intense et cette situation pénalisante, les collectivités locales persistent dans leur démarche qui consiste à installer des dos-d’âne sur les moindres tronçons de route, même s’il s’agit de route à grande circulation.
S’il y a un commerce informel qu’il faudrait éradiquer rapidement c’est bien celui de la vente de poisson. Les marchands itinérants, qui écoulent leurs marchandises constituées essentiellement de sardines, mettent la santé des citoyens en péril, particulièrement en ce début de saison estivale où la chaleur et le manque d’hygiène sont propices à la propagation de maladies qui peuvent s’avérer mortelles.
Le taux d’avancement dans le traitement des dossiers de régularisation des constructions inachevées n’excède pas les 20%, c’est ce que nous a indiqué un responsable au niveau local.
La capitale accuse un énorme déficit en matière de marchés de proximité. Cet état des lieux est un facteur prépondérant qui favorise l’augmentation des prix des fruits et légumes.
Située à seulement une vingtaine de kilomètres du chef lieu de wilaya, la localité de Sebaat, dans la commune de Rouiba, est complètement marginalisée.
Toute la partie est du littoral de la capitale n’est dotée que d’une seule route et d’un seul pont qui se trouve au lieudit Quahouet Chergui. De Bordj El Kiffan à Alger-Plage, les automobilistes doivent emprunter tous le même axe routier, en l’occurrence la RN 24.
La cité des 687 Logements à Verte Rive dans la commune de Bordj El Kiffan est totalement délaissée par les autorités locales. Les habitants vivent au rythme d’une multitude de problèmes qui corrompent la qualité de leur vie. «Notre cité appelée communément la Casbah, est dépourvue de toutes les commodités devant répondre à nos besoins.
Les habitants de la cité AADL de Sidi Abdellah réclament le renforcement et l’organisation du transport des voyageurs de la station de train vers l’agglomération urbaine.
Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont mis en place un plan sécuritaire et préventif à l’occasion de l’Aïd El Fitr en vue de garantir la sécurité des citoyens et de leurs biens, a indiqué hier un communiqué de ces services. «A l’occasion de l’Aid El Fitr 2023, les services de la sûreté d’Alger ont mis en place un plan spécial au niveau de leur territoire de compétence prévoyant une série de mesures préventives et sécuritaires, visant à garantir la sécurité du citoyen et de ses biens», a précisé le communiqué.
Certains parkings et aires de stationnement donnés en exploitation dans le cadre de coopératives de jeunes ne répondent à aucune norme. Les exemples qui illustrent cette situation ne manquent pas.
Après l’éradication de la majorité des bidonvilles dans la capitale, de nouveaux sites de baraquement ont vu récemment le jour. Cette situation est due au relâchement de la vigilance des collectivités locales, qui sont incapables de maintenir en permanence un espace urbain assaini.