Un marché qui ne répond pas aux normes et dont la délocalisation est une nécessité.
Deux grands projets structurants vont être réalisés dans la capitale. Le premier porte sur la réalisation de deux autoroutes à étages. Le second concerne la relance du projet de réalisation d’un système de régulation de la circulation routière.
L’espace urbain est marqué par un désordre impressionnant, résultat d’une gestion qui est à la limite de la négligence.
Les habitants du lotissement Sidi Ben Dris, dans la commune de Bordj El Kiffan, déplorent l’absence d’équipements publics et d’aménagements urbains devant leur faciliter la vie.
En dépit d’une congestion routière intense et cette situation pénalisante, les collectivités locales persistent dans leur démarche qui consiste à installer des dos-d’âne sur les moindres tronçons de route, même s’il s’agit de route à grande circulation.
S’il y a un commerce informel qu’il faudrait éradiquer rapidement c’est bien celui de la vente de poisson. Les marchands itinérants, qui écoulent leurs marchandises constituées essentiellement de sardines, mettent la santé des citoyens en péril, particulièrement en ce début de saison estivale où la chaleur et le manque d’hygiène sont propices à la propagation de maladies qui peuvent s’avérer mortelles.
Le taux d’avancement dans le traitement des dossiers de régularisation des constructions inachevées n’excède pas les 20%, c’est ce que nous a indiqué un responsable au niveau local.
La capitale accuse un énorme déficit en matière de marchés de proximité. Cet état des lieux est un facteur prépondérant qui favorise l’augmentation des prix des fruits et légumes.
Située à seulement une vingtaine de kilomètres du chef lieu de wilaya, la localité de Sebaat, dans la commune de Rouiba, est complètement marginalisée.
Toute la partie est du littoral de la capitale n’est dotée que d’une seule route et d’un seul pont qui se trouve au lieudit Quahouet Chergui. De Bordj El Kiffan à Alger-Plage, les automobilistes doivent emprunter tous le même axe routier, en l’occurrence la RN 24.
La cité des 687 Logements à Verte Rive dans la commune de Bordj El Kiffan est totalement délaissée par les autorités locales. Les habitants vivent au rythme d’une multitude de problèmes qui corrompent la qualité de leur vie. «Notre cité appelée communément la Casbah, est dépourvue de toutes les commodités devant répondre à nos besoins.
Les habitants de la cité AADL de Sidi Abdellah réclament le renforcement et l’organisation du transport des voyageurs de la station de train vers l’agglomération urbaine.
Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont mis en place un plan sécuritaire et préventif à l’occasion de l’Aïd El Fitr en vue de garantir la sécurité des citoyens et de leurs biens, a indiqué hier un communiqué de ces services. «A l’occasion de l’Aid El Fitr 2023, les services de la sûreté d’Alger ont mis en place un plan spécial au niveau de leur territoire de compétence prévoyant une série de mesures préventives et sécuritaires, visant à garantir la sécurité du citoyen et de ses biens», a précisé le communiqué.
Certains parkings et aires de stationnement donnés en exploitation dans le cadre de coopératives de jeunes ne répondent à aucune norme. Les exemples qui illustrent cette situation ne manquent pas.
Après l’éradication de la majorité des bidonvilles dans la capitale, de nouveaux sites de baraquement ont vu récemment le jour. Cette situation est due au relâchement de la vigilance des collectivités locales, qui sont incapables de maintenir en permanence un espace urbain assaini.
Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont procédé au démantèlement d’un groupe criminel organisé s’adonnant au trafic de drogue et de comprimés psychotropes, et à l’arrestation de quatre individus, tous des repris de justice, a indiqué, en fin de semaine, un communiqué des mêmes services. Les services de la sûreté de wilaya d’Alger, représentés par la brigade mobile de la police judiciaire de Oued Koriche, ont procédé, en coordination avec la 4e sûreté urbaine relevant de la circonscription administrative de Bab El Oued, au traitement d’une affaire liée à la constitution d’une bande de criminels et à la possession et au stockage de drogues (cannabis) et de comprimés psychotropes à des fins de vente illicite, précise le communiqué.
Des élus de l’APC de la Casbah demandent le départ du maire qui a écopé, au cours de son mandat, d’une année de prison ferme assortie d’une amende de 100 000 DA. Le jugement a été rendu le 16 mars 2022 par le tribunal de Rouiba et confirmé ultérieurement par la cour d’appel d’Alger. «Nous demandons l’application de la loi, c’est tout», soutient Abderrahmane Bouchène, élu de l’assemblée. Les élus frondeurs s’appuient dans leur requête sur l’article 43 du code communal.
Le manque de transport dans la commune d’El Marsa est un problème de taille. Il est dû principalement à l’enclavement du chef-lieu, qui n’est accessible par la RN 24 que par un seul accès situé au sud de la ville.
Les automobilistes sont toujours soumis au diktat des gardiens de parkings anarchiques. A Sidi M’hamed, un gardien de parking exploite une aire de stationnement bien délimitée.
A Dergana, 14 maisons, faisant partie d’un ensemble d’habitations de 72 unités appartenant à l’EPLF, sont squattées par des indus occupants depuis des années.