Une session de formation au profit des parents d’élèves aux besoins spécifiques pour leur permettre d’assurer une communication continue avec les équipes pédagogiques en charge de cet enseignement spécialisé a été lancée au centre psychopédagogique pour enfants handicapés mentaux de Bologhine.
Quelque 300 souscripteurs pour le logement participatif à Bordj El Bahri attendent la réalisation de leurs logements depuis mars 2013.
L’entrée du centre commercial «Le Printemps» est obstruée par les marchands informels qui occupent tout le trottoir mitoyen aux deux portes du centre commercial.
La localité de Bateau Cassé, qui se trouve à quelques encablures du chef-lieu de la commune de Bordj El Kiffan, est connue pour avoir une topographie particulière. La surface de l’agglomération compte deux grandes crevasses qui se remplissent d’eau à la moindre chute de pluie. L’anarchie urbaine n’arrangeant rien, les eaux de pluie ne s’évacuent pas naturellement vers le rivage, qui se trouve pourtant à une centaine de mètres seulement des dernières habitations.
Les habitants de la cité AADL des Bananiers dans la commune de Bab Ezzouar réclament depuis des années la réparation des ascenseurs qui sont en panne. Cette situation contraint les résidants des immeubles, notamment les plus âgés d’entres, à rester cloîtrés chez eux.
Les automobilistes sont toujours soumis au diktat des gardiens de parkings anarchiques. A sidi M’hamed, un gardien de parking exploite une aire de stationnement bien délimitée. Il s’agit d’une parcelle de terrain récupérée après la démolition d’une bâtisse vétuste.
Les habitants de ce lotissement rencontrent plusieurs problèmes, y compris celui du retard accusé dans l’étude de leurs dossiers de conformité.
Le bras de fer entre le maire et certains élus de l’Assemblée va créer une situation de blocage qui n’arrange en rien les intérêts des administrés.
Une cité populaire marginalisée par les pouvoirs publics.
Le port d’Alger compte 60 sardiniers qui permettent de produire en moyenne entre 10 et 40 tonnes par jour.
La Direction de distribution rappelle à ses clients les différents modes de paiement disponibles.
Après avoir été mis sous scellé par les instances judiciaires des années durant, le jardin botanique de Rouiba a ouvert ses portes au public, il y a de cela quelques mois.
Plusieurs années d’avilissement ont fini par altérer définitivement certaines plages du littoral Est de la capitale.
Les habitants de la rue Mohamed Habbou (ex-rue Gérardier), dans la commune d’Alger-Centre, n’en finissent pas de subir les méandres d’une situation qui a altéré définitivement leur cadre de vie et la quiétude qui a longtemps prévalu dans leur quartier.
Trois nouvelles lignes électriques principales de moyenne tension ont été mises en service pour améliorer la qualité de service et mettre un terme aux perturbations dans la commune de Bordj El Bahri et ses alentours, a indiqué un communiqué de la Direction de distribution de Dar El Beïda.
Des bidonvilles, qui ont été éradiqués à partir de 2018, ont été reconstruits au vu et au su des autorités. C’est ainsi que des sites de baraquement s’agrandissent à vue d’œil et d’autres ont été érigés récemment, sans que cela ne fasse réagir les pouvoirs publics.
L’opération est organisée en collaboration avec les autorités locales et les associations de la société civile.
Les examens de fin d’année dans la capitale ont nécessité d’intenses préparatifs afin de sécuriser le déroulement des épreuves.
Les habitants de la localité vivent au rythme d’une multitude de problèmes qui altèrent leur cadre de vie.
A Alger-Plage, dans la commune de Bordj El Bahri, la majorité des ruelles qui mènent aux plages ont été obstruées par les riverains. Ces accès qui sont perpendiculaires à l’allée principale sont obstrués par des chaînes métalliques et autres obstacles tels que les blocs en béton ou carrément des fûts remplis de pierres.