Des bidonvilles, qui ont été éradiqués à partir de 2018, ont été reconstruits au vu et au su des autorités. C’est ainsi que des sites de baraquement s’agrandissent à vue d’œil et d’autres ont été érigés récemment, sans que cela ne fasse réagir les pouvoirs publics.
L’opération est organisée en collaboration avec les autorités locales et les associations de la société civile.
Les examens de fin d’année dans la capitale ont nécessité d’intenses préparatifs afin de sécuriser le déroulement des épreuves.
Les habitants de la localité vivent au rythme d’une multitude de problèmes qui altèrent leur cadre de vie.
A Alger-Plage, dans la commune de Bordj El Bahri, la majorité des ruelles qui mènent aux plages ont été obstruées par les riverains. Ces accès qui sont perpendiculaires à l’allée principale sont obstrués par des chaînes métalliques et autres obstacles tels que les blocs en béton ou carrément des fûts remplis de pierres.
Le métier de fleuriste fait face à de multiples problèmes.
Une localité semi-rurale qui manque de toutes les commodités devant hisser le cadre des habitants à un rang acceptable.
Les souscripteurs se sont acquittés de toutes les charges, y compris l’octroi des prêts auprès de la CNL.
Le marché de l’immobilier dans la capitale a connu durant la période 2017-2021 une tendance baissière pour ses deux segments, appartements et maisons individuelles, en raison notamment de l’effort consenti par l’Etat en matière d’offre de logement, et ce, d’après les nouvelles données de la mercuriale des prix immobiliers, publiées par la Caisse nationale du logement (CNL).
A Rouiba, de nouveaux dos-d’âne ont été installés en amont d’un rond-point.
Nombre de maisons individuelles ont été squattées par des indus occupants qui en ont fait des taudis.
Des coopératives de jeunes ont été créées pour gérer des aires de stationnement qui sont loin de répondre aux normes.
En dépit de l’ancienneté du lotissement, aucune amélioration n’a été apportée depuis les années 1990.
En dépit de l’ancienneté du lotissement, aucune amélioration n’a été apportée depuis les années 1990.
Les habitants de certains quartiers de Tixeraïne déplorent l’état de déliquescence générale qui prévaut dans leurs lieux d’habitation.
Le nombre grandissant de visiteurs ne peut en aucun cas dévier le Jardin de sa vocation première.
Au lieudit SNTR dans la commune de Bordj El Kiffan, une intersection mal aménagée est derrière la formation d’interminables embouteillages.
Plus de 20 000 personnes ont visité le jardin d’essai d’El Hamma durant les deux jours de l’Aïd el Fitr, dont la moitié a été enregistrée le deuxième jour, a-t-on appris de la chargée de communication au Jardin d’essai.
Les habitants de la cité des 5000 Logements AADL d’El Kerrouch dans la commune de Réghaia, déplorent le manque d’agents chargés d’entretenir les espaces communs aux immeubles. «Notre cité compte 5000 logements, ce qui est énorme. Sauf qu’il n’y a que 42 agents d’entretien.
La commune d’El Achour est dépourvue de structures dédiées aux activités de loisirs éducatifs et sportifs. Les habitants de la commune, les jeunes en particulier, ont soulevé cette préoccupation auprès des responsables locaux, qui à chaque fois argumentent ce manque par l’absence d’assiettes foncières.