Dans certains quartiers de la commune d’El Biar, les camions de Net-Com sont obligés d’effectuer jusqu’à quatre rotations par jour. «L’hygiène à El Biar s’est considérablement améliorée. Le ramassage des déchets ménagers se fait régulièrement. D’ailleurs, le périmètre de la commune ne compte aucun point noir», assure un responsable de l’APC d’El Biar. «Cependant, le volume des déchets ménagers ne cesse de croître, particulièrement en ce mois sacré de Ramadhan, où les ménages génèrent une plus grande quantité de déchets. S’ajoute à cela le fait que la commune d’El Biar constitue un lieu de passage. Certains automobilistes et passants n’hésitent pas à déposer leurs sacs de déchets dans les bacs à ordures de la commune, ce qui fait que certains endroits de la commune sont tout le temps bourrés de déchets, ce qui oblige les camions de Net-Com à effectuer plusieurs rotations pour enlever ces ordures», ajoute-t-il. Cette situation a incité les responsables locaux à redoubler d’efforts pour une collecte des déchets ménagers efficace et sans faille. C’est ainsi que les camions de Net-Com effectuent jusqu’à quatre rotations dans des quartiers à forte densité démographique, à l’instar du quartier Ali Khodja ou encore du boulevard Bougara, où la moindre niche à ordure est visitée par les agents de Net-Com à raison de plusieurs fois par jour et de nuit. Outre la capacité de l’Epic Net-Com à gérer la collecte des déchets ménagers de manière efficiente, la municipalité a mis en œuvre un dispositif pour le tri sélectif. «L’opération a été lancée préalablement au niveau de quatre cités de la commune, ensuite elle a été généralisée dans d’autres cités et quartiers d’El Biar», confie notre interlocuteur. Il a été question dans le cadre de cette opération d’équiper ces cités en bacs à ordures dits «bacs intelligents». Les cités concernées sont, d’après notre interlocuteur, «la cité de la Résidence, Africana, cité du Soleil et la cité Mohamed Chabane». Ces cités ont été choisies en fonction d’un certain nombre de paramètres, dont essentiellement, la densité en matière de démographie. Chaque cité a été dotée de bacs à ordures destinés pour les matières plastique, le verre, le papier et les déchets ménagers. «Grâce à ce dispositif, il sera possible de récupérer séparément les différentes matières pour les introduire par la suite dans le circuit du recyclage», soutient-il. Signalons que d’autres communes de la capitale ont été, par le passé, initiatrices de cette opération. Le ministère de l’Environnement avait choisi des communes pilotes pour le lancement de l’opération, à l’instar de la commune d’El Marsa. Des bacs à ordures ont été installés dans différentes cités de la commune, mais aucun travail de sensibilisation n’a été entrepris par les responsables locaux, quant à leur utilisation par les résidants des cités. Au fil du temps, ces bacs sont devenus des réceptacles pour toutes sortes de déchets et ont subi, par endroits, des dégradations. K. Saci
571 familles ont bénéficié de l’opération de solidarité Ramadhan au niveau de la localité de Dély Ibrahim. Des mandats portant la somme de 10 000 DA pour chaque famille ont été adressés à ces bénéficiaires bien avant le début du mois sacré.
Les marchands informels qui avaient été délogés des abords de la cité du 8 Mai 1945, dans la commune de Bab Ezzouar, ont repris leurs activités commerciales, mettant ainsi au défi l’autorité des pouvoirs publics.
Les habitants de la commune de Souidania qui travaillent au chef-lieu de la wilaya, trouvent d’énormes difficultés à rejoindre leur lieu de travail. «Pour se rendre à Alger, il faut forcément faire escale à Cheraga», confie un habitant du centre ville. «Le nombre de voyageurs est ahurissant. Pour monter dans un bus il faut pousser, notamment le matin», assure notre interlocuteur.
L’aide octroyée aux familles nécessiteuses dans le cadre de la solidarité durant le mois sacré de Ramadhan, ne s’est pas faite en nature comme ce fut le cas durant les années précédentes.
Plusieurs localités de la capitale, celles de l’Ouest en particulier, sont envahies par les hordes de sangliers.
Le ministre des Transports, Abdallah Moundji, a annoncé, jeudi à Alger, l’ouverture de la ligne de transport maritime Alger-Tipasa l’été prochain.
La ministre de l’Environnement, Mme Samia Moualfi, a annoncé le lancement prochain d’un appel d’offres pour l’élimination des déchets d’amiante dans la wilaya de Bordj Bou Arréridj et à Gué de Constantine (Alger).
Les occupants vivent dans des conditions lamentables. Ils lancent un appel aux autorités compétentes pour être relogés.
A la rue Hassiba à proximité de l’hôtel Sofitel, les chutes de balcons persistent depuis de nombreuses années. Les habitants en appellent aux autorités compétentes afin de résoudre ce problème qui cause une peur quotidienne aux habitants.
La capitale commence à retrouver un aspect plus attrayant, grâce a des travaux de réhabilitation du vieux bâti, qui n’ont épargné aucun quartier. De la commune d’El Harrach jusqu’aux limites de Bab El Oued, en passant par Hussein Dey, Belouizdad, Alger-Centre et la Basse-Casbah, tous les immeubles se trouvant sur les artères principales de ces communes ont été restaurées ou du moins sont en cours de restauration.
Les agents de la fourrière canine n’interviennent plus en milieu urbain pour lutter contre le phénomène.
La station de bus de Bachdjarrah n’est plus en mesure de contenir le flux quotidien de voyageurs, de par son exiguïté et l’absence de commodités.
La ville de Aïn Taya est devenu la capitale de la soupe de poisson. Ce mets culinaire hautement apprécié n’est pas servi uniquement dans les restaurants.
Les bus qui desservent les localités d’Ouled Haddadj et de Houch El Makhfi à partir de Réghaïa sont dans un état de délabrement tel qu’il devient urgent de les mettre à l’arrêt.
De jeunes chauffeurs de bus assurant la navette entre Rouiba et Tafourah se livrent à de véritables courses sur l’autoroute, et ce, pour arriver les premiers à la station de Tafourah.
Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, a relevé la nécessité de créer de nouveaux services et nouvelles disciplines pour répondre aux besoins recensés et aussi pour répondre aux situations d’urgence, citant les incendies qu’a connu Tizi-Ouzou et certaines wilayas limitrophes l’été dernier.
Des quartiers entiers subissent la pollution qui émane d’un affluent de oued El Hamiz.
Un fourgon transportant des produits pyrotechniques a pris feu hier aux environs de 6h du matin sur l’autoroute de l’Est, à proximité de la Grande mosquée d’Alger.
La capitale a célébré, à l’instar des autres wilayas du pays, la Journée internationale «Earth Hour» visant à sensibiliser le grand public quant à la préservation de l’environnement et à l’économie d’énergies en éteignant les lumières pendant une heure.