Le métier de fleuriste fait face à de multiples problèmes.
Une localité semi-rurale qui manque de toutes les commodités devant hisser le cadre des habitants à un rang acceptable.
Les souscripteurs se sont acquittés de toutes les charges, y compris l’octroi des prêts auprès de la CNL.
Le marché de l’immobilier dans la capitale a connu durant la période 2017-2021 une tendance baissière pour ses deux segments, appartements et maisons individuelles, en raison notamment de l’effort consenti par l’Etat en matière d’offre de logement, et ce, d’après les nouvelles données de la mercuriale des prix immobiliers, publiées par la Caisse nationale du logement (CNL).
A Rouiba, de nouveaux dos-d’âne ont été installés en amont d’un rond-point.
Nombre de maisons individuelles ont été squattées par des indus occupants qui en ont fait des taudis.
Des coopératives de jeunes ont été créées pour gérer des aires de stationnement qui sont loin de répondre aux normes.
En dépit de l’ancienneté du lotissement, aucune amélioration n’a été apportée depuis les années 1990.
En dépit de l’ancienneté du lotissement, aucune amélioration n’a été apportée depuis les années 1990.
Les habitants de certains quartiers de Tixeraïne déplorent l’état de déliquescence générale qui prévaut dans leurs lieux d’habitation.
Le nombre grandissant de visiteurs ne peut en aucun cas dévier le Jardin de sa vocation première.
Au lieudit SNTR dans la commune de Bordj El Kiffan, une intersection mal aménagée est derrière la formation d’interminables embouteillages.
Plus de 20 000 personnes ont visité le jardin d’essai d’El Hamma durant les deux jours de l’Aïd el Fitr, dont la moitié a été enregistrée le deuxième jour, a-t-on appris de la chargée de communication au Jardin d’essai.
Les habitants de la cité des 5000 Logements AADL d’El Kerrouch dans la commune de Réghaia, déplorent le manque d’agents chargés d’entretenir les espaces communs aux immeubles. «Notre cité compte 5000 logements, ce qui est énorme. Sauf qu’il n’y a que 42 agents d’entretien.
La commune d’El Achour est dépourvue de structures dédiées aux activités de loisirs éducatifs et sportifs. Les habitants de la commune, les jeunes en particulier, ont soulevé cette préoccupation auprès des responsables locaux, qui à chaque fois argumentent ce manque par l’absence d’assiettes foncières.
Sur le tronçon de route qui mène de la RN 24 (au lieudit l’Artisanat) au Hamiz est continuellement congestionnée.
Des travaux de réalisation de clôtures urbaines ont été lancés par l’APC de Bab Ezzouar, il y a de cela quelques mois seulement. Sauf que la dégradation a atteint ces aménagements, notamment à El Djorf où ces clôtures ont été réalisées sur une distance de 1,5 km, à Rabia Tahar sur une distance de 1,200 km, à la cité du 5 Juillet sur une distance de 3 km.
Dans certains quartiers de la commune d’El Biar, les camions de Net-Com sont obligés d’effectuer jusqu’à quatre rotations par jour. «L’hygiène à El Biar s’est considérablement améliorée. Le ramassage des déchets ménagers se fait régulièrement. D’ailleurs, le périmètre de la commune ne compte aucun point noir», assure un responsable de l’APC d’El Biar. «Cependant, le volume des déchets ménagers ne cesse de croître, particulièrement en ce mois sacré de Ramadhan, où les ménages génèrent une plus grande quantité de déchets. S’ajoute à cela le fait que la commune d’El Biar constitue un lieu de passage. Certains automobilistes et passants n’hésitent pas à déposer leurs sacs de déchets dans les bacs à ordures de la commune, ce qui fait que certains endroits de la commune sont tout le temps bourrés de déchets, ce qui oblige les camions de Net-Com à effectuer plusieurs rotations pour enlever ces ordures», ajoute-t-il. Cette situation a incité les responsables locaux à redoubler d’efforts pour une collecte des déchets ménagers efficace et sans faille. C’est ainsi que les camions de Net-Com effectuent jusqu’à quatre rotations dans des quartiers à forte densité démographique, à l’instar du quartier Ali Khodja ou encore du boulevard Bougara, où la moindre niche à ordure est visitée par les agents de Net-Com à raison de plusieurs fois par jour et de nuit. Outre la capacité de l’Epic Net-Com à gérer la collecte des déchets ménagers de manière efficiente, la municipalité a mis en œuvre un dispositif pour le tri sélectif. «L’opération a été lancée préalablement au niveau de quatre cités de la commune, ensuite elle a été généralisée dans d’autres cités et quartiers d’El Biar», confie notre interlocuteur. Il a été question dans le cadre de cette opération d’équiper ces cités en bacs à ordures dits «bacs intelligents». Les cités concernées sont, d’après notre interlocuteur, «la cité de la Résidence, Africana, cité du Soleil et la cité Mohamed Chabane». Ces cités ont été choisies en fonction d’un certain nombre de paramètres, dont essentiellement, la densité en matière de démographie. Chaque cité a été dotée de bacs à ordures destinés pour les matières plastique, le verre, le papier et les déchets ménagers. «Grâce à ce dispositif, il sera possible de récupérer séparément les différentes matières pour les introduire par la suite dans le circuit du recyclage», soutient-il. Signalons que d’autres communes de la capitale ont été, par le passé, initiatrices de cette opération. Le ministère de l’Environnement avait choisi des communes pilotes pour le lancement de l’opération, à l’instar de la commune d’El Marsa. Des bacs à ordures ont été installés dans différentes cités de la commune, mais aucun travail de sensibilisation n’a été entrepris par les responsables locaux, quant à leur utilisation par les résidants des cités. Au fil du temps, ces bacs sont devenus des réceptacles pour toutes sortes de déchets et ont subi, par endroits, des dégradations. K. Saci
571 familles ont bénéficié de l’opération de solidarité Ramadhan au niveau de la localité de Dély Ibrahim. Des mandats portant la somme de 10 000 DA pour chaque famille ont été adressés à ces bénéficiaires bien avant le début du mois sacré.
Les marchands informels qui avaient été délogés des abords de la cité du 8 Mai 1945, dans la commune de Bab Ezzouar, ont repris leurs activités commerciales, mettant ainsi au défi l’autorité des pouvoirs publics.