A Alger-Centre, l’opération de réhabilitation des immeubles lancée par la wilaya va bon train. L’avancement des travaux dans certaines artères de la ville a atteint des taux appréciables.
L’association des diabétiques de la wilaya d’Alger dont le siège se trouve dans la commune de Belouizdad, accomplit un travail de longue haleine à l’endroit des malades diabétiques.
Les services de la Protection civile d’Alger ont enregistré 104 accidents de la route, a indiqué un bilan hebdomadaire de ces mêmes services, couvrant la période allant du 2 au 8 avril. Six personnes ont trouvé la mort lors de ces accidents et 102 autres ont été blessées.
Dans certaines localités de la capitale, hormis les anciens marchés qui existent depuis fort longtemps, la plupart des structures commerciales réalisées ces dernières années ne sont pas vraiment exploitées. A l’est d’Alger, le constat est pratiquement le même dans toutes les communes de cette partie de la capitale, connue pourtant pour sa démographie galopante.
A la rue des frères Bellili, dans la commune d’Alger-Centre, le risque de chute de balcons est permanent, du fait de la vétusté des immeubles.
Les lotissements d’habitation qui se trouvent aux abords de l’oued El Hamiz, particulièrement au lieudit douar Ben Ziane, sont insalubres et pollués. Les odeurs qui émanent de l’oued obligent les habitants à fermer fenêtres et volets.
Une trentaine de familles qui occupent un immeuble à la cité des 232 Logements dans la commune de Dély Ibrahim sont menacées d’expulsion.
Un projet de réaménagement de cinq sites forestiers seront lancés par la wilaya d’Alger. Ces travaux, qui s’inscrivent dans le cadre du plan vert de la capitale, seront réceptionnés l’été prochain.
Des aménagements urbains, tels que les clôtures des espaces communs aux immeubles, ont été réalisés à Bab Ezzouar. Sauf que la dégradation a atteint ces aménagements, notamment à El Djorf où ces clôtures ont été réalisées sur une distance de 1,5 km, à Rabia Tahar sur une distance de 1,2 km, à la cité du 5 Juillet sur une distance de 3 km.
En ce mois sacré du Ramadhan, les vendeurs anarchiques à Rouiba multiplient leurs activités illégales en occupant les moindres espaces réservés en principe aux piétons. L’exemple qui illustre cette situation est certainement celui du marché couvert de fruits et légumes qui est ceinturé d’étals de fortune installés à même les trottoirs.
Les cités nouvellement réalisées manquent d’équipements publics devant répondre aux attentes et besoins des nouveaux habitants. Particulièrement en matière de loisirs éducatifs et de la prise en charge de la frange juvénile. Les pouvoirs publics, en réalisant ces lieux d’habitation aux appellations numériques et aux allures tentaculaires, donnent la priorité aux logements, la question des commodités est totalement ignorée.
Un Iftar collectif au profit de 452 étudiants étrangers a été organisé à la résidence universitaire de Ben Aknoun.
Les services opérationnels de la police d’Alger ont enregistré 142 infractions routières commises par des motocyclistes ces dernières 24 heures, a indiqué un communiqué de la sûreté de wilaya. «Dans le cadre de la mise en œuvre du plan de sécurité tracé par la sûreté d’Alger, les services opérationnels ont enregistré, dans la nuit du 2 au 3 avril en cours, 142 infractions routières commises par des motocyclistes», précise le communiqué.
L a Foire du livre du Ramadhan a ouvert ses portes en début de semaine à Alger avec la participation de 23 maisons d’édition nationales. Cette foire, qui se poursuivra jusqu’au 15 avril, est organisée par le ministère de la Culture et des Arts à Riadh El Feth, où plus de 4000 titres ont été exposés.
Les habitants de la capitale sortent de plus en plus la nuit. Les nouvelles réalisations dédiées à la villégiature et à la détente favorisent cette tendance, notamment durant le mois sacré du Ramadhan. Dès la rupture du jeûne, les familles se ruent sur les jardins publics, les esplanades et les lieux de concerts. A Rouïba, c’est le jardin botanique récemment ouvert au public qui est chaque soir pris d’assaut par les familles.
Lors des travaux de la session ordinaire de l’APW d’Alger, qui se sont tenus jeudi dernier au siège de la wilaya, le wali d’Alger, Mohamed Abdennour Rabehi, a mis en avant les préparatifs entrepris par la wilaya d’Alger, en amont du mois sacré, devant permettre un déroulement sans difficulté du mois de Ramadhan.
En vue d’améliorer les capacités d’alimentation en eau potable pour les communes de l’est de la capitale, un projet de réalisation d’une Station de dessalement de l’eau de mer (SDEM) à Cap Djinet «est de la wilaya de Boumerdès», a été lancé, avec le coulage du premier mètre cube de béton, en présence du ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, de responsables d’entreprises de réalisation et des autorités locales.
L’aire de détente, qui se trouve à la forêt de Ben Merad, dans l’est de la capitale, ne dispose ni de gestionnaire ni d’agents de sécurité encore moins d’agents d’entretien. Ce petit bois, qui compte nombre d’équipements de puériculture et d’aménagement, est très fréquenté par les familles, notamment en ces jours du mois sacré de Ramadhan.
Les marchés de proximité, dits «marché de la Rahma», qui sont au nombre de 26 dans la capitale, soit deux marchés par communes, sont littéralement pris d’assaut par les citoyens.
En dépit de la cherté de la vie et de l’érosion du pouvoir d’achat des citoyens, le gaspillage du pain durant le Ramadhan est devenu un comportement inhérent à ce mois sacré. Les chiffres de Netcom pour les 6 premiers jours du mois sont sans appel. «Quelque 2 000 kg de pain ont été collectés dans les 26 communes couvertes par l’Epic», a-t-on appris auprès de la chargée de communication de Netcom.