Le quartier Sidi M’hamed, dans la commune de Bab Ezzouar, est l’exemple type d’un lieu d’habitation qui ne répond à aucune norme urbaine. Une surprenante cohabitation se décline aux visiteurs, entre commerces d’alimentation générale, ateliers de carrosserie, restaurant et garages de mécanique.
Les feux tricolores sont des équipements d’une importance capitale dans la régulation de la circulation routière qui connaît une densité sans pareil dans les localités de l’est de la capitale. Sauf que nombre de ces feux sont en panne.
Les habitants de la capitale vivent au rythme d’un trafic routier démentiel. Si le nombre grandissant de voitures est à l’origine de cette congestion persistante, il n’en demeure pas moins que l’organisation de la circulation routière présente des défaillances avérées.
A El Marsa, une fraction du littoral se trouvant entre le quartier La Carrière et le chef-lieu de la commune est en proie à des jeunes autoproclamés gardiens des lieux.
A Bab Ezzouar, plusieurs cités et lotissements d’habitation ont bénéficié d’équipements de puériculture. Sauf que ces équipements ne sont pas entretenus : «Quand une balançoire est cassée, elle n’est jamais réparée», confie un habitant de la cité 8 Mai 1945.
Plusieurs projets ont été réalisés au niveau des domaines agricoles, mais beaucoup reste à faire.
La commune de Dar El Beida compte un nombre important de cités à forte densité démographique, d’où la nécessité de réaliser des structures sportives pour prendre en charge la jeunesse locale.
A Sidi Driss, dans la commune de Bordj El Kiffan, plusieurs centaines de maisons construites sur les berges d’un affluent hautement pollué de Oued El Hamiz subissent de plein fouet les émanations nauséabondes de ce cours d’eau
Ces cités nouvelles n’offrent – hormis les logements – aucune commodité pour la frange des jeunes.
Les habitants du lotissement Si Smaïl, dans la commune de Bordj El Kiffan, déplorent l’absence de commodités dans leur quartier.
Aucune prise en charge réelle et sérieuse n’a été mise sur pied pour sauver ce qui reste de La Casbah qui est devenue au fil des ans l’ombre d’elle même.
Les habitants de Haouch Rouiba, une localité qui dépend de la commune de Rouiba, ont relevé une multitude de problèmes et de lacunes qu’ils ont signalés aux autorités locales.
L’état des trottoirs dans la commune de Mohamed Belouizdad est déplorable. Des excavations et des trous béants ponctuent toutes les surfaces réservées aux piétons, particulièrement à la rue Rouchai Boualem.
L’anarchie est de retour dans plusieurs communes de la capitale, en raison d’un relâchement manifeste de la part des pouvoirs publics. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la pandémie de Coronavirus n’a pas empêché le retour du commerce informel.
Des travaux ont été engagés il y a déjà quelques années, mais le projet de réhabilitation tarde à se concrétiser.
Les nombreux fleuristes installés dans la capitale ne travaillent que durant la saison estivale. Le reste de l’année, leurs commerces tournent au ralenti.
Au lotissement «Communal» à Dar El Beida, le nombre d’écoles privées et de crèches est tel qu’il devient, durant les heures de pointe, impossible pour les voitures et les piétons de se déplacer.
Acheval entre une zone d’activités et un quartier d’habitations, le lotissement Sidi M’hamed dans la commune de Bab Ezzouar est un conglomérat tentaculaire formé de maisons et d’ateliers.
La campagne tend à ancrer la culture de participation dans la lutte contre la pollution de l’environnement.
Les autorités locales ne se soucient nullement de cette cité, qui se dégrade à vue d’œil.