Plusieurs projets ont été réalisés au niveau des domaines agricoles, mais beaucoup reste à faire.
La commune de Dar El Beida compte un nombre important de cités à forte densité démographique, d’où la nécessité de réaliser des structures sportives pour prendre en charge la jeunesse locale.
A Sidi Driss, dans la commune de Bordj El Kiffan, plusieurs centaines de maisons construites sur les berges d’un affluent hautement pollué de Oued El Hamiz subissent de plein fouet les émanations nauséabondes de ce cours d’eau
Ces cités nouvelles n’offrent – hormis les logements – aucune commodité pour la frange des jeunes.
Les habitants du lotissement Si Smaïl, dans la commune de Bordj El Kiffan, déplorent l’absence de commodités dans leur quartier.
Aucune prise en charge réelle et sérieuse n’a été mise sur pied pour sauver ce qui reste de La Casbah qui est devenue au fil des ans l’ombre d’elle même.
Les habitants de Haouch Rouiba, une localité qui dépend de la commune de Rouiba, ont relevé une multitude de problèmes et de lacunes qu’ils ont signalés aux autorités locales.
L’état des trottoirs dans la commune de Mohamed Belouizdad est déplorable. Des excavations et des trous béants ponctuent toutes les surfaces réservées aux piétons, particulièrement à la rue Rouchai Boualem.
L’anarchie est de retour dans plusieurs communes de la capitale, en raison d’un relâchement manifeste de la part des pouvoirs publics. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la pandémie de Coronavirus n’a pas empêché le retour du commerce informel.
Des travaux ont été engagés il y a déjà quelques années, mais le projet de réhabilitation tarde à se concrétiser.
Les nombreux fleuristes installés dans la capitale ne travaillent que durant la saison estivale. Le reste de l’année, leurs commerces tournent au ralenti.
Au lotissement «Communal» à Dar El Beida, le nombre d’écoles privées et de crèches est tel qu’il devient, durant les heures de pointe, impossible pour les voitures et les piétons de se déplacer.
Acheval entre une zone d’activités et un quartier d’habitations, le lotissement Sidi M’hamed dans la commune de Bab Ezzouar est un conglomérat tentaculaire formé de maisons et d’ateliers.
La campagne tend à ancrer la culture de participation dans la lutte contre la pollution de l’environnement.
Les autorités locales ne se soucient nullement de cette cité, qui se dégrade à vue d’œil.
Les pouvoirs publics sont tenus d’intervenir pour mettre un terme à l’exploitation des enfants dans la mendicité.
Certains tronçons de routes sont, à la moindre chute de pluie, submergés pas les eaux pluviales. Au lieudit Houch El Makhfi, les voitures heurtent de plein fouet la mare d’eau qui stagne sur la chaussée, car elle n’est pas évacuée.
Selon un responsable du ministre de l’Habitat, la wilaya d’Alger comptait 72 guichets (OPGI) consacrés au recouvrement des loyers, assurant un service régulier tous les jours de la semaine, à l’exception du vendredi, reconnaissant, toutefois, l’absence de ces guichets dans certaines cités ou leur éloignement, le guichet le plus proche se trouvant à 10 km.
La campagne n’a pas été suivie par la totalité des personnels de l’éducation.
Les nouveaux horaires de circulation des trains sont détaillés sur la page Facebook de la SNTF et affichés au niveau de toutes les gares concernées.