La décharge publique de Oued S’mar a été transformée en jardin public de détente et de loisirs. Cet espace, qui s’étend sur 45 hectares, a été réhabilité en pôle environnemental, doté de moyens de technologie modernes.
Les habitants de la cité Sntp dans la commune de Dar El Beïda déplorent l’anarchie qui prévaut dans leur quartier et qui a altéré leur cadre de vie. A l’origine de cette situation, le marché qui est organisé tout les mardi et samedi.
En dépit des opérations de relogements qui ont multiplier le nombre d’habitants à Aïn El Malha, notamment au niveau des nouvelles cités d’habitation, les jeunes de cette localité ne bénéficient quasiment d’aucune prise en charge dans le domaine du sport et des activités de loisirs éducatifs.
Les abords du jardin sont littéralement assiégés par les transports en commun qui viennent de différentes wilayas du pays.
Le mausolée de Sidi Abderrahmane Thaâlibi est un havre de paix qui coupe littéralement avec la vielle Médina et son tumulte. Il est très apprécié des femmes qui viennent nombreuses solliciter la bénédiction du saint homme, auprès de qui, il suffirait de faire un voeu pour que les problèmes de couple se règlent, pour trouver l’amour ou même pour réussir à avoir un enfant.
La Société des eaux et de l’assainissement d’Alger (SEAAL) procèdera, à partir de cette semaine et de manière périodique, à la diffusion des résultats des analyses de la qualité de l’eau, produite et distribuée dans les wilayas d’Alger et de Tipasa, via ses pages officielles sur les réseaux sociaux, indique un communiqué de la société.
La décharge publique de Oued S’mar a été transformée en jardin public de détente et de loisirs, sauf que son ouverture tarde à se faire.
A l’est de la capitale, plusieurs structures de commerce de proximité ne sont pas exploitées. Réceptionnées, il y a quelques années pour certaines d’entres elles, ces bâtisses appelées «100 locaux du président» sont livrées là la dégradation.
L’éclairage public reste défaillant sur certains tronçons de la capitale. Malgré l’effort méritoire mené par l’EPIC de la wilaya chargée des opérations, en l’occurrence l’Etablissement public de réalisation et de maintenance de l’éclairage public d’Alger (ERMA), le réseau d’éclairage public est toujours absent dans certains endroits, du centre et de la périphérie de la capitale.
Des travaux de réalisation de clôtures urbaines ont été lancés par l’APC de Bab Ezzouar, il y a de cala quelques mois seulement. Sauf que la dégradation a atteint ces aménagements, notamment à El Djorf où ces clôtures ont été réalisées sur une distance de 1,5 km, à Rabia Tahar sur une distance de 1 km 200, à la cité du 5 Juillet sur une distance de 3 km.
A la cité Faïzi, dans la commune de Bordj El Kiffan, plusieurs centaines de maisons construites sur les berges d’un affluent hautement pollué de Oued El Hamiz subissent de plein fouet les émanations nauséabondes de ce cours d’eau.
Le chef-lieu de la commune de Aïn Taya est devenu inaccessible pour les automobilistes. Cette situation pénalisante pour les habitants de la commune est le résultat de l’absence d’un plan de circulation routière devant trouver des solution pour contourner les travaux qui sont en cours.
Si le nombre grandissant de voitures est à l’origine de la congestion persistante, il n’en demeure pas moins que l’organisation de la circulation routière présente des défaillances avérées.
La Direction de distribution d’électricité et de gaz de Sidi Abdallah a procédé au raccordement de 18 établissements éducatifs à l’électricité et au gaz, dans le cadre de la préparation de la prochaine rentrée scolaire, a indiqué un communiqué de la direction.
A Aïn Taya, la route servant d’évitement pour la ville est devenue étroite, par la faute de certains commerçants qui ont érigé sur le trottoir des extensions pour leurs magasins.
Au lotissement «Communal» à Dar El Beida, le nombre d’écoles privées et de crèches est tel qu’il devient, durant les heures de pointe, impossible pour les voitures et les piétons de se déplacer. Le lotissement, qui avait dans un passé récent une vocation résidentielle, est devenu anarchique et très encombré.
La cellule de communication et des relations publiques relevant de la Sûreté de la wilaya d’Alger a organisé, la semaine écoulée, plusieurs sorties sur le terrain dans divers places et lieux publics à Alger en vue de se rapprocher des citoyens et sensibiliser le plus grand nombre de jeunes aux risques des stupéfiants et des psychotropes, a indiqué un communiqué de la Sûreté nationale.
Les habitants de la cité Sntp dans la commune de Dar El Beida déplorent l’anarchie qui prévaut dans leur quartier et qui a altéré leur cadre de vie.
En dépit des opérations de relogements qui ont multiplier le nombre d’habitants à Bir Touta, notament au quartier Sidi M’hamed, les jeunes de cette localité ne bénéficient quasiment d’aucune prise en charge dans le domaine du sport et des activités de loisirs éducatifs.
Deux aires de jeux ont été réalisées à l’entrée est du Hamiz. Ces nouvelles structures permettront, d’après un élu de l’assemblée de Dar El Beida dont dépend la localité, de soustraire les jeunes de la localité à la rue.