Le libéralisme démocratique est-il arrivé à ses limites, qui a sévèrement ébranlé, en France, les principes même qui le fondent ? Participe-t-il à sa propre mort, dans une autodestruction, donnant de lui une piètre image, qui a choqué pratiquement la classe politique dans toute sa diversité. Spectacle désolant à l’Assemblée française, qui ressemble à un chahut de cour d’école.
Il y a 30 ans, jour pour jour, était assassiné à Alger le médecin-poète Laadi Flici. Il avait 56 ans. C’est mon confrère et ami Kamel Laggoun qui m’a rappelé ce fait macabre. C’était un 17 mars.
La Chine mystérieuse serait-elle insaisissable pour l'Occident qui la redoute et ne sait comment s'y prendre pour atténuer, un tant soit peu, son influence grandissante.
«Nous sommes dans un siècle où l’obscurité protège mieux que la loi et rassure plus que l’innocence.» Rivarol
Depuis la chute du mur de Berlin et, par extension, la mise au placard du communisme et la relégation de l'Union soviétique, une arrogance têtue s'est emparée de l'Occident, fort de sa puissance économique, qui le prédisposait, pensait-il, à se sentir dépositaire du destin planétaire, comptable (pas sûr), mais (sûrement pas), artisan de l'émancipation universelle.
«Ce n’est pas parce que c’est un succès qu’un film est bon, et ce n’est pas parce qu’un film est bon, que c’est un succès.»William Goldmann
Moudjahid de la première heure, Hamid Dali, le brave, le téméraire, a la particularité d’avoir joué sa peau dans la guérilla urbaine et dans les rigueurs du maquis. Très jeune, il a bataillé dans les venelles étroites de sa Casbah natale puis, «vendu», par des traîtres, il n’avait d’autres choix que de quitter illico les lieux et aller crapahuter dans les monts de Palestro (Lakhdaria), où il a failli, à plusieurs reprises, passer de vie à trépas, survivant miraculeusement comme un chat à sept vies. Aujourd’hui, très affecté, il lutte avec un courage exemplaire contre la maladie qui souvent ne joue pas franc jeu. Nous lui avons rendu visite, hier chez lui, et son état inspire beaucoup d’inquiétude. Au-delà de l’hommage qu’il mérite à travers ce portrait, nous lui souhaitons de résister du mieux qu’il peut, sachant ses qualités intrinsèques de courage et de patience qui, comme chacun sait, font partie intégrante de la foi. «Non seulement la vie est horrible, mais en plus elle est courte.» Woody Allen
Ayant désormais leur plan média, pour être à la page, certains de nos walis ont opté pour les réseaux sociaux, et d’une manière trop exhibitionniste, trop voyante, sans doute, pour supplanter l’encombrement qui règne dans ce moyen de communication visiblement très prisé. Aussi, ils ne circulent plus que dans un flux d’images, qui s’apparentent à des procès en direct à la télé, envers des cadres confus, dont l’unique parade, face à une mitraille de questions, est de se couvrir et de se blottir sous le couvert de leurs supérieurs, donneurs d’ordres.
Naissance 29 février 1956 Alger. A entamé son parcours pugilistique dans la mythique salle Algeria Sports de Bab El Oued, son quartier, en 1967, sous la houlette du légendaire coach Mohamed Meftah, que Brahim considère comme son père spirituel et celui qui lui a montré le chemin et lui a appris le «métier», en lui inculquant les valeurs et les techniques propres à ce sport si dur si contraignant, mais combien passionnant.
La chute du mur de Berlin avait, d’une manière générale, atténué les tensions et suscité un espoir collectif planétaire quant à une meilleure convergence vers un monde moins violent, moins arrogant et plus équitable.
De nos jours, on peut survivre à tout, sauf à la mort, et on peut tout faire oublier, sauf une bonne réputation. Oscar Wilde
L'Algérie a réitéré son soutien indéfectible, en honorant ses engagements historiques envers la Palestine, a déclaré le président Tebboune, en écho à la voix de notre pays, qui est resté fidèle à ses principes et à ses positions inébranlables, aux travaux de la Conférence de haut niveau en soutien à la ville d'El Qods, organisés dans le cadre de la mise en œuvre des principales résolutions du Sommet arabe, tenu à Alger, début novembre 2022.
Les médias occidentaux sont-ils vraiment insolents et incorrigibles ? Il faut bien le croire.
En hommage à ce grand monsieur ,qui vient de nous quitter (Allah yerhmou) à l’âge de 86 ans, avec le sentiment du devoir accompli, ce portrait que je lui ai consacré il y a six ans est toujours d’actualité.
A 89 ans, raide, grand et élégant avec un regard, qui en impose à la fois détaché mais attentif, Si Nouredine garde toujours sa verve d’antan, en dépit des ennuis de santé, propres à l’âge, qu’il essaie, tant bien que mal, de surmonter.
Neutraliser les actions hors cadre officiel, qui nuisent à l’économie nationale, est devenu un acte impérieux et incontournable.
Née le 30 juin 1936, à Cherchell, l’écrivaine Assia Djebar, de son vrai nom, Fatma Zohra Imalhayene, a connu un parcours dense et varié qui la place parmi les pionnières dans le domaine de l’écriture en langue française à s’imposer sur la scène internationale en décrochant un fauteuil à l’Académie française, le 16 juin 2005, ce qui constitue pour elle le Graal et la récompense suprême.
Dans le monde des saveurs, Chef Lamine, issu d’une famille riche d’une longue tradition culinaire, a bien mérité son nom de Chef, un titre gratifié de tous les honneurs auprès des goleadores du Santiago Bernabeu de Madrid, un roi chez le Real.
Face au regain de tension et à l’insécurité permanente de la population civile palestinienne, surtout en cette période, soumise à une escalade de la violence et des menaces récurrentes de l’occupant israélien, la question palestinienne est plus que jamais au cœur de l’actualité et suscite des inquiétudes.
La question palestinienne est une blessure ouverte, un drame toujours d'actualité, malgré les vœux pieux et les résolutions onusiennes, gelées et non appliquées, depuis plus d'un demi-siècle.