Les images que viennent de nous renvoyer ces derniers jours les réseaux sociaux concernant la furie des eaux – suite aux abondantes pluies diluviennes – qui a déferlé en cette saison printanière, période peu encline à ce genre de grondement de Dame Nature, sur nombre de villes aussi bien dans l’est que dans le centre du pays, générant des pertes humaines (deux enfants) et des dégâts matériels, n’est pas sans nous rappeler les flots qui se sont abattus sur Alger, notamment Bab el Oued, quartier envahi littéralement par les eaux boueuses, un certain 10 novembre 2001.
Mardi dernier, le théâtre national Mahieddine Bachtarzi a fait le plein lors de la représentation théâtrale pour enfants de la pièce intitulée ‘‘Aqmil ma yali (Complète ce qui suit), interprétée par la troupe de jeunes comédiens de la wilaya de Médéa.
Visiblement, le système d’évaluation des acquis du cycle d’enseignement primaire, adopté à partir de l’année scolaire en cours, ne semble pas faire l’unanimité au sein des établissements. Ainsi, quand bien même nombre de directeurs et d’enseignants saluent cette démarche pédagogique, il est des directeurs, instituteurs et parents d’élèves qui disent «ne pas saisir la portée et la pertinence de cette nouvelle expérience», sur laquelle s’est étalé dernièrement le directeur de l’enseignement primaire au ministère de l’Education nationale, Mohamed Difallah.
L’ouvrage déroule le témoignage d’un acteur qui a pris à la Guerre d’indépendance nationale. Il s’agit de Zemenzer Mohamed Noureddine qui retrace son itinéraire de combattant de la liberté, d’abord au sein de la ZAA (Zone autonome d’Alger), puis en ralliant en 1958 les rangs des maquisards de l’ALN dans la wilaya I des Aurès, et ce, jusqu’au cessez-le-feu.
Dans le souci de rendre la capitale moins inhospitalière, l’exécutif de wilaya avait doté l’année dernière la mégalopole d’une brigade mobile qui a pour mission de traquer tout ce qui s’affiche en porte-à-faux avec l’hygiène publique, de signaler les infractions de gestion urbaine, notamment en ce qui concerne les décharges sauvages, le jet anarchique de déchets et de résidus de travaux de construction, les fuites d’eau potable, les eaux usées et l’absence de couvercles d’avaloir.
L’ex-conservatoire de musique, qui avait élu ses quartiers, après l’indépendance, dans l’ex-chapelle de Bologhine, est en train de faire peau neuve pour être une médiathèque. L’espace, livré aux griffures du temps durant de nombreuses années, renaît finalement de ses cendres.
Très peu connaissent l’existence de ces clubs qu’il faut absolument redynamiser.
Après avoir obtenu son certificat d’aptitude à la profession d’avocat à la faculté de droit de Ben Aknoun, Ahmed-Karim Labeche fit une carrière dans la fonction publique, sous la tutelle du ministère des Finances, au grade d’inspecteur central des impôts. Cela ne l’a pas empêché de donner corps à ce qui lui tenait à cœur depuis sa prime jeunesse.
Lors des fêtes de l’Aïd El Fitr, il était loisible de faire une virée avec les enfants dans le parc zoologique du Hamma et voir, au-delà de l’aire récréative du site, le conservatoire de la faune sauvage en captivité.
L’on se souvient des premières Assises nationales de l’urbanisme tenues en juin 2011, lorsque experts de l’urbanisme, architectes et autres sociologues et juristes se sont donné rendez-vous pour animer nombre d’ateliers autour d’une multitude de branches relatives à l’urbanisme et son cadre environnemental. L’on se rappelle aussi, qu’au terme de cette assemblée, les recommandations qui prêtaient à l’optimisme, celles de voir, enfin, jaillir de beaux lotissements.
Le marché de l’habillement connaît une augmentation relative des prix en raison, notamment des prix élevés des matières premières, les taux de droits de douane en sus de la dévaluation de la monnaie nationale. Peu importe la fluctuation du marché, l’essentiel pour les parents est de répondre aux caprices de leurs bambins.
Après l’étape de relogement qui a touché, en août dernier, 130 familles relevant de la commune de Bologhine, l’exécutif a entamé l’opération de démolition de bâtisses classées IMR (Immeuble menaçant ruine). Jusqu’à présent, 19 bâtisses, que d’aucuns ont tenté de réoccuper, ont été démolies. Il reste à démolir, selon le P/APC, M. Zoheir Douib, quelque 60 bâtisses dont les habitants ont été relogés.
Depuis plusieurs années, les citoyens de la commune de Bologhine peinent à s’approvisionner dans leur marché communal. La raison ? Les 16 locaux commerciaux ainsi que les 13 carreaux de fruits et légumes sont fermés, hormis un ou deux marchands qui n’offrent pas grand-chose dans cette aire commerciale qui, le moins qu’on puisse dire, est pleine de… vide.
Le rejet des déchets dans les aires forestières dégrade non seulement les sols et contribue à la prolifération de plantes invasives, nocives pour l’environnement, mais multiplie le risque d’incendies.
C’est devenu une tradition : avant la rupture du jeûne, une véritable frénésie rythme le pouls des rues, souks et autres supérettes, notamment lorsque l’astre flamboyant commence à décliner de son point de zénith avant de laisser place à la lumière vespérale du coucher.
Il est un lieu commun de dire que les espaces verts qui enjolivaient, autrefois, les grandes mégapoles sont réduits à une portion congrue. Le béton a fini par avoir raison des gras pâturages de Dély Ibrahim, des vergers de Zouaoua, Tixeraine, Birkhadem et Bir Mourad Rais, des vaux de Hydra, des beaux prés de Bouzaréah…
La cantatrice Amel Brahim-Djelloul est fortement sollicitée ces dernières années dans les grands opéras et autres manifestations musicales pour décliner ses opus dans nombre de villes en Europe, notamment. Fière de ses origines et soucieuse de les défendre, la native d’Alger et originaire de Miliana emmènera – dans le cadre du Festival in Voce Veritas 2023 – son public vers les cîmes de la Kabylie non sans faire un clin d’œil à l’œuvre romanesque de l’écrivain Mouloud Feraoun, Les chemins qui montent.
Le phénomène du pain gaspillé, un problème tant ressassé, n’a de cesse de prendre de l’ampleur dans notre mégalopole. Il est rare de ne pas voir du pain rassis ou des baguettes de miche fraîches dans les coins de nos rues, que cela soit dans les zones urbaines ou suburbaines.
Après trois années de fermeture, suite à la pandémie du Covid-19, le complexe religieux et culturel, Sidi Abderrahmane At-Thaâlibi, retrouve son lustre d’antan au grand bonheur du large public.
Nombre d’édifices ou palais datant de l’époque ottomane dans l’ancienne médina ont fait l’objet de restauration. Mais la plupart d’entre eux sont destinés à abriter les services administratifs de tel ou tel office.