Après s’être produite le 19 mars à Douvres-la-Délivrande, en région de Normandie, dans le programme «Populaires» avec le virtuose pianiste Nicolas Jouve, la soprano Amel Brahim-Djelloul est invitée le 24 mars à s’exprimer dans son art vocal, et ce, dans le cadre du 7e Festival In Voce Veritas (Dans la voix de la vérité), qui se tiendra dans le Domaine Lyon Saint-Joseph (Francheville), un lieu niché dans un écrin de verdure, propice à la détente et à la réflexion.Après s’être produite le 19 mars à Douvres-la-Délivrande, en région de Normandie, dans le programme «Populaires» avec le virtuose pianiste Nicolas Jouve, la soprano Amel Brahim-Djelloul est invitée le 24 mars à s’exprimer dans son art vocal, et ce, dans le cadre du 7e Festival In Voce Veritas (Dans la voix de la vérité), qui se tiendra dans le Domaine Lyon Saint-Joseph (Francheville), un lieu niché dans un écrin de verdure, propice à la détente et à la réflexion.
En stand by depuis plusieurs années, trois téléphériques et une télécabine seront remis en service l’année en cours, selon le DG adjoint de l’ETAC, Larbi Boumediène.
La mobilité des gens dans les zones urbaines et suburbaines exige, il va sans dire, des moyens de transport en commun conséquents, que cela soit routier, ferroviaire, maritime, fluvial, souterrain ou par câble.
Algérie libre et indépendante… mon rêve d’enfance est l’intitulé de l’ouvrage paru chez les éditions Houma de l’auteur Abdenour Damardji.
Les dénominations des rues de l’ancienne médina d’Alger sont considérées, selon le registre de la littérature «algérianiste», comme une énigme incompréhensible, voire un exotisme pittoresque et original.
Après une fermeture qui a duré plus de cinq ans, le mythique marché des Trois-Horloges de Bab el Oued vient de rouvrir ses portes. Démoli en avril 2019, l’espace commercial, dont les travaux avaient été entamés sur la base d’une nouvelle maquette, a été réalisé selon un design qui épouse l’air du temps.
Après avoir procédé en grande partie à l’endiguement ou l’opération brise-lame menée par Meditram aux fins de protéger le boulevard Commandant Mira qui longe le littoral de la commune de Bab El Oued, la direction des travaux publics de la wilaya d’Alger vient de lancer des travaux d’aménagement sur la partie supérieure du site côtier, soit l’esplanade El Kettani et Rmila, dont la superficie est de 3 ha.
Après avoir longtemps tourné le dos à la mer, la mégalopole algéroise semble petit à petit sortir de sa torpeur. De s’ouvrir sur la mer. En clair, se réconcilier avec la côte littorale qui s’étire sur un parcours de quelque 50 km, allant de Zéralda jusqu’à la Marsa.
Les collectivités locales de la wilaya d’Alger procèdent depuis quelque temps à des opérations de requalification de plusieurs marchés de proximité. Certains font l’objet de travaux de mise à niveau, d’autres sont réceptionnés.
Un projet grandiose au niveau de la façade maritime du site de la Pêcherie d’Alger que surplombent les voûtes du boulevard Che Guevara est en cours de réalisation. Ces voûtes historiques étagées sur deux niveaux s’ouvriront sur une belle esplanade surélevée de 8 m de la route (rue d’Ankor) qui surplombera un autre espace couvrant une superficie de 20 000 m2 qui flirtera avec la mer.
Alger veut se faire belle. Elle se mettra au diapason des grandes mégalopoles dans le bassin méditerranéen. Pour ce faire, elle veut se parer de ses plus beaux atours.
Bien que l’Edeval, Entreprise publique de wilaya chargée de la plantation et de l’entretien des espaces verts, s’emploie, à travers ses activités, à égayer un tant soit peu les centres urbains, il n’en reste pas moins que le cadre de vie dans lequel évoluent les administrés continue à pâtir par le geste somme toute aux antipodes de l’écocitoyenneté. En effet, il est loin d’être reluisant.
Situé au pied des monts de l’Atlas blidéen, à 35 km d’Alger, Hammam Melouane – que d’aucuns désignent à tort ou à raison par Hammam Elouane (bain coloré) alors que d’autres attribuent l’appellation à Melouana, fille du Dey Hussein qui avait guéri grâce à l’eau de source – est un village considéré comme un lieu de villégiature.
L'«Expression mixte» est le générique de l’exposition de deux plasticiens : un reporter photographe dont les œuvres suscitent l’émerveillement, et un sculpteur sur bois qui convoque, à travers les objets finement ouvragés qu’il décline, un pan de patrimoine berbère dont la charge symbolique se veut omniprésente.
Après avoir fait atterrir dans les étals des librairies trois romans autour du personnage Ali Betchine, dont Ali Betchine, pour l’amour d’une princesse, Nicolai Riccardo publie un autre corpus dont la trame de fond est un roi numide : Jugurtha, la dernière nuit à Mamertino. L’écrivain toscan a bien daigné se prêter aux questions d’El Watan pour déplier, à travers ses œuvres romanesques, des fragments d’histoire qui renseignent sur un passé passionnant entre El Djazair et le pays dit La Botte. Suivons-le.
L’état des lieux de nos oueds est maculé de taches noires. Il est loin d’être reluisant, et ce, au regard de la congestion des ouvrages hydrauliques, causée par les immondices et autres gravats jetés par l’homme outre les constructions illicites érigées sur les berges ou carrément dans les lits d’oued. Zoom.
Enfin, des dispositions entreront bientôt en vigueur en matière de remise des lieux en l’état dans le domaine de la voirie, lit-on dans la presse qui cite le premier responsable du département des travaux publics, Lakhdar Rekhroukh, affirmer que suite aux travaux inachevés par les intervenants ou réalisation bâclés effectuée par un quelconque permissionnaire, «de nouvelles mesures obligeant les entrepreneurs intervenant dans les routes à s’acquitter, avant le lancement des travaux, d’une caution pour leur remise en l’état».
Le nombre de polycliniques que compte la wilaya est-il suffisant en termes de rapport entre la population et ces structures médianes extra-hospitalières – entre la salle de soins et l’hôpital ?
Bien que la wilaya d’Alger puisse se targuer de disposer d’un nombre non négligent de structures sanitaires entre CHU, EPH, EHS et autres polycliniques à même de résorber la demande des patients, et bien que des efforts soient consentis pour réduire les inégalités en termes de répartition spatiale des infrastructures de santé à travers le territoire, il nous est donné de constater la qualité des prestations qui reste le moins qu’on puisse dire défaillante au niveau de beaucoup d’établissements sanitaires.
Le Centre des arts et de la culture du palais des Rais (Bastion 23) accueille au Palais 18 une exposition intitulée «Les princes de la mer ou ces marins-sultans» (Riyas el bahr : bahara bi rotbat salatîn), un pan d’histoire revisité qui relate l’épopée prestigieuse de la flotte algérienne lorsqu’elle était à son apogée durant les XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles et bien au-delà.