L’examen du système de santé en vue de son renforcement et de son redéploiement avec une plus grande performance est sans doute le dossier qui focalise le plus l’attention des citoyens. Les attentes sont multiples et lancinantes dans un secteur marqué par un fort investissement de l’Etat et un fonctionnement encore en deçà du niveau optimal, notamment dans les centres et unités de soins de proximité.
La commémoration, dimanche dernier, de la Journée nationale du Chahid a été marquée par l’inauguration de nombreux projets de développement local à travers le pays. Les cérémonies de recueillement à la mémoire des martyrs de la Guerre de Libération nationale ont été tout naturellement suivies d’activités pour la mise en service de nouveaux équipements publics et de structures parfois modestes mais d’un impact certain dans l’amélioration des conditions de vie des citoyens.
Le dossier de la réforme des programmes scolaires a été évoqué jeudi dernier à l’occasion d’une question orale adressée par un membre du Conseil de la nation au ministre de l’Education nationale.
La promotion de daïras au statut de wilayas déléguées puis au rang de wilayas de plein exercice entre dans la stratégie de décentralisation administrative et du rapprochement du citoyen des instances de décision.
Il est des activités qui ne peuvent connaître une véritable relance qu’à une échelle multisectorielle, faisant concourir les moyens et les actions à différents niveaux de la vie nationale.
Un nouvel élément est apparu dans le débat autour des collectivités locales, à l’occasion de la célébration, jeudi dernier, de la Journée nationale de la commune. Le premier code communal a été promulgué le 18 janvier 1967. L’autre date marquante est celle du découpage administratif de 1984, ayant porté le nombre des communes au niveau national à 1541, encore en vigueur aujourd’hui.
La mémoire de la Guerre de Libération nationale est ce qui reste quand on a tout oublié. De nombreuses cérémonies de remise de prix ont eu lieu récemment et ont concerné différents secteurs, mais celle organisée par le ministère des Moudjahidine et des Ayants droit, dimanche au Centre international des conférences à Alger, a un impact particulier et une valeur exceptionnelle pour chaque citoyen.
Un signal fort est venu du ministère de la Culture et des Arts à l’occasion de la célébration de Yennayer, prévue dans les prochains jours.
La création de nouvelles wilayas déléguées est l’un des mécanismes les mieux adaptés pour parvenir à l’objectif tant recherché de rapprocher l’administration du citoyen.
La ministre de l’Environnement et des Énergies renouvelables a annoncé, jeudi, un projet de décret exécutif portant facilitations fiscales au profit des investisseurs dans le domaine du recyclage des déchets. La représentante du gouvernement a souligné que cette mesure constituera «un facteur incitatif à même d’encourager la transition vers l’économie circulaire».
Des forums du livre sont organisés ces dernières semaines par les directions de wilaya de la culture et des arts, remettant ainsi à l’honneur la tradition de la lecture qui tend à se dissiper depuis l’avènement de la révolution numérique.
Un nouveau code communal est en voie de finalisation et, selon les échos repris dans la presse, le texte s’inscrit dans une vision globale d’efficacité économique et de solidarité intercommunale.
L’exigence de respect des délais de réalisation des projets ainsi que des engagements pris devant les citoyens a été régulièrement réitérée dans le discours officiel. Si la conviction est faite au sein de l’Exécutif et de l’administration centrale, la question reste posée sur les mécanismes concrets mis en œuvre pour réaliser cet objectif déterminant pour la bonne marche du développement à l’échelle nationale et rendre palpable cette volonté politique proclamée.
Des dizaines de milliers de citoyens sont suspendus aux listes des bénéficiaires de logements sociaux en cours d’affichage à travers les collectivités locales. Ces opérations d’attribution dont le succès populaire n’a jamais été démenti est l’un des éléments qui structurent la vie sociale depuis des dizaines d’années. C’est l’attente citoyenne numéro un et la préoccupation cardinale des pouvoirs publics et des assemblées élues.
Les rigueurs de l’hiver ont progressivement pris une autre signification ces dernières années. La saison des vagues de froid et des tempêtes est devenue aussi, et surtout, celle des difficultés de circulation et des inondations qui peuvent menacer des habitations.
Comme pour l’histoire, il n’y a pas une fin pour le débat public, et cela permet de mettre au jour des situations et des problématiques méritant un traitement particulier, dans le but de construire un meilleur avenir, en enrayant les causes de l’échec et des rendez-vous manqués avec le développement.
Ce furent les derniers mots prononcés par le défunt Mohamed Boudiaf, avant son assassinant le 29 juin 1992 : «Par quoi nous ont-ils devancés ? Par la science...» Le début de son passage à la tête de l’Etat, tragiquement écourté, fut également marqué par une déclaration sans concession : «L’école est sinistrée !»
La campagne de vaccination contre la grippe saisonnière connaît, comme chaque année, un fort engouement et un vrai succès. Les doses livrées aux pharmacies et aux unités de soins sont administrées et écoulées en quelques jours.
Les prochaines élections locales n’auront lieu que dans trois ans, mais il n’est pas trop tôt pour préparer une échéance dont l’importance et l’incidence sur la vie quotidienne des populations ne sont plus à démontrer.
La présentation depuis mardi devant l’APN de la Déclaration de politique générale du gouvernement a donné lieu à des interventions des députés ayant dans leur grande majorité, comme l’ont relevé les journalistes présents aux travaux, fait état des préoccupations premières des citoyens et de leurs attentes en matière d’amélioration de leurs conditions de vie et de leur pouvoir d’achat.