Les membres de l’exécutif de l’APW de Tizi Ouzou, dont le président, Mohamed Klalèche, ont effectué la semaine dernière une visite sur le chantier d’extension du téléphérique au chef-lieu de wilaya.
La courbe de la mortalité sur les routes n’est toujours pas inversée. Il n’est pas excessif de dire qu’un accident sur trois est une hécatombe.
Les campagnes de sensibilisation contre le gaspillage de divers produits, à commencer par l’eau, se sont multipliées ces derniers temps et ont impliqué de nombreux acteurs institutionnels et de la société civile.
Le taux d’avancement des travaux de rénovation de l’hôtel Tamgout sis à Yakouren, à une quarantaine de kilomètres à l’est de Tizi Ouzou, avoisine les 65%, selon les indications fournies par les responsables du projet lors de la récente visite du ministre du Tourisme et de l’Artisanat.
La commune d’Azazga organise jeudi prochain une journée de sensibilisation au tri sélectif des ordures ménagères. Dans le but d’asseoir une «gestion rationnelle des déchets ménagers», la mairie appelle la population à observer des recommandations «tendant à garantir un environnement sain dans la commune».
De nouveaux réglages sont encore nécessaires dans certains secteurs où les événements ne sont pas appréhendés avec un niveau d’alerte adéquat en dépit des données objectives plaidant pour une prise en charge anticipée.
Le projet du Centre de proximité des impôts (CPI), affecté à la ville d’Azazga, a été débloqué, avons-nous confirmé mardi auprès de la direction des équipements publics de Tizi Ouzou.
L’expression est usée jusqu’à la corde, mais il convient de la convoquer quand l’état critique d’un secteur exige la mobilisation massive de moyens pour son redressement et sa relance. Un «Plan Marshall» pour le tourisme est une urgence aussi évidente que régulièrement, sinon soigneusement occultée.
Contrairement à l’idée répandue sur la supposée inertie de la scène nationale, celle-ci est en vérité en train de bouger et de se transformer. Les récentes sorties du président du Conseil supérieur de la jeunesse ainsi que celui de l’Observatoire national de la société civile, de par l’incidence positive des nouveaux modes de communication mis en œuvre, démentent les a priori qui pouvaient être formulés à l’endroit de ces nouvelles structures installées l’été dernier.
Délivrée du tourment des grèves cycliques, l’école peine à retrouver durablement une stabilité lui permettant de s’engager sur la voie exclusive de l’apprentissage et du succès.
Dans les collectivités locales, rien de nouveau pour l’heure. La volonté affichée de rompre avec l’ancien mode de gouvernance, même si elle trouve sa traduction au niveau central, a du mal à connaître un prolongement palpable dans les services décentralisés de l’Etat, évoluant quasiment au même rythme que les assemblées élues qui n’ont, jusqu’ici, pas battu tous les records de pragmatisme et d’efficacité.
Il y a quelques années, la question était de rétablir la confiance entre l’Etat et le citoyen. A présent, il s’agit très clairement de se réapproprier et de cultiver la confiance en soi.
La rentrée scolaire est immanquablement sujette à des débats qui ont la particularité de contourner les questions essentielles restées pendantes dans ce secteur névralgique. Il y a deux ans, l’incident lié à la vétusté des tables dans les salles de classe avait défrayé la chronique, avant qu’une campagne de «renouvellement du vieux mobilier» dans les établissements scolaires ne soit annoncée par le gouvernement.
Un consensus semble se dégager sur la nécessité de rompre avec les paradigmes du passé.
La culture, c’est ce qui reste à promouvoir quand tout est à l’arrêt. Dans une région comme la Kabylie, où l’activité économique et le développement ne s’affranchissent pas de lourdeurs de toutes natures, l’espoir d’un redémarrage de la vie locale vient du monde de la culture, de la création, de la valorisation du patrimoine matériel et immatériel.
Le 60e anniversaire de l’indépendance sera un moment de recueillement et de reconnaissance envers les générations passées ayant payé un lourd tribut dans la lutte victorieuse contre le colonialisme, mais aussi une halte rétrospective avant d’appréhender un avenir qui s’annonce des plus tumultueux à travers le monde.
Les cycles de dialogue ont été, dans l’histoire récente du pays, réédités sous plusieurs formes et appellations.
Dans un monde en pleine ébullition, où la menace virale, en cours de reflux, est vite relayée par celle d’un conflit armé dans une région sensible de l’Europe, il y a une multitude de guerres à gagner au niveau local, tout aussi déterminantes pour l’avenir des nations.
La collecte d’argent sur la voie et les espaces publics a été interdite, cette semaine, par les autorités locales à Tizi Ouzou. Cette mesure a été sans nul doute prise sur rapport des services chargés de la surveillance de la circulation routière et de la sécurité publique.