Israël a mené une véritable guerre de l’ombre pour éviter que ses dirigeants ne soient poursuivis par la CPI, incluant des écoutes téléphoniques et des menaces physiques.
Depuis l’assaut terrestre lancé le 6 mai, l’armée d’occupation israélienne cible régulièrement les zones densément peuplées de la région de Rafah, cherchant à contrôler la frontière entre Ghaza et l’Egypte.
L’attaque d’un camp de tentes à Rafah survient alors que la pression internationale s’accroît sur Israël. Toutefois, cette pression montre ses limites, exploitées par l’Etat sioniste.
Après bientôt huit mois d’une guerre barbare et dévastatrice menée contre les Palestiniens de Ghaza, la pression s’accroît chaque jour un peu plus sur Israël, en faveur d’une trêve.
L’armée israélienne a de nouveau bombardé hier la bande de Ghaza, notamment la ville de Rafah, six mois et demi après le début de son agression contre le territoire palestinien.
L’armée d’occupation israélienne a intensifié ses frappes meurtrières sur la bande de Ghaza, territoire qu’elle assiège et bombarde continuellement depuis 196 jours et où environ 2,4 millions d’habitants sont menacés de famine, selon les Nations unies.
Les attaques meurtrières se poursuivent dans la bande de Ghaza, avec de nouvelles victimes palestiniennes et des blessés signalés hier, dans des bombardements perpétrés par l’armée d’occupation sioniste.
Les bombardements israéliens se poursuivent de manière cruelle et incessante, sans aucun répit de la part de l’armée d’occupation sioniste, même pendant l’attaque iranienne.
l L’armée d’occupation israélienne continue sa mission macabre, plongeant les habitants dans un cauchemar sans fin. Pour le troisième jour consécutif, le camp de réfugiés d’Al Nuseirat, au cœur de la bande de Ghaza, était hier le théâtre de raids violents, infligeant des blessures à de nombreux Palestiniens…
L’armée d’occupation, faisant fi de la résolution du Conseil de sécurité exigeant un cessez-le-feu, poursuit ses carnages. Au cours des dernières 24 heures, l’armée israélienne a perpétré sept massacres dans la bande de Ghaza, entraînant la mort de 71 personnes et blessant 102 autres, selon le ministère de la Santé à Ghaza.
Le président Tebboune a identifié trois axes prioritaires : l’augmentation des salaires, la préservation de la valeur du dinar algérien et le développement du secteur agricole.
L’Office national des statistiques (ONS) entre désormais dans le giron du ministère des Finances. Cette réforme s’accompagne d’une série de mesures destinées à revitaliser un système de collecte de données jugé «obsolète».
Parmi les faits témoignant d’une situation humanitaire désespérée, il y a notamment la mort de 18 personnes, dont 12 en mer, en tentant de récupérer de la nourriture parachutée. Six autres sont mortes dans des mouvements de foule lors des distributions d’aide, selon le ministère palestinien de la Santé à Ghaza.
Le directeur des collectivités locales au ministère de l’Intérieur, Youcef Romane, a dévoilé les détails de ce programme. Les quatre wilayas concernées, à savoir Khenchela, Tissemsilt, Djelfa et Tindouf, bénéficieront de cette initiative nationale de développement.
Soufiane Djilali, président du parti politique Jil Jadid, a été invité hier à s’exprimer, lors d’une émission de la Radio algérienne Chaîne 3, où il a abordé l’annonce de l’élection anticipée prévue pour le 7 septembre.
Après près de six mois d’une campagne génocidaire à Ghaza, la pression internationale sur Israël pour mettre fin aux violences commence à se faire sentir.
La situation humanitaire déjà désastreuse à Rafah, dans le sud de la bande de Ghaza, est encore aggravée par les fortes pluies qui se sont abattues mardi, provoquant des inondations dans les campements de déplacés.
Les agences spécialisées de l’ONU ont averti que la situation alimentaire catastrophique affecte la moitié de la population de la bande de Ghaza et que la famine pourrait sévir dans le Nord dès le mois de mai si des mesures d’urgence ne sont pas prises.
L’armée d’occupation n’en est pas à sa première offensive contre l’hôpital Al Shifa. Elle l’avait pris d’assaut le 15 novembre, prétendant que le Hamas disposait d’un centre de commandement élaboré en dessous de l’établissement.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belaabed, s’attribue une bonne note. Lors d’une visite de travail et d’inspection faite hier dans la wilaya de Aïn Defla afin d’évaluer la situation de l’éducation et certains projets de réalisation des établissements éducatifs dans la région, le ministre Belaabed n’a pas manqué de souligner que les conditions scolaires dans cette wilaya sont «très bonnes» et que «tous les indicateurs invitent à l’optimisme». l a également mis en lumière «l’ordre» et «les efforts considérables» déplyoés par les responsables du secteur dans la wilaya.