Les lauréats algériens représentent plus de la moitié des effectifs reçus à l’examen EVC (soit 1200 sur les 1993 postes ouverts cette année). L’Algérie serait-elle en passe de devenir le fournisseur principal de praticiens de l’Hexagone ?
Le coût de revient de la baguette de pain est évalué, au 31 décembre 2021, à 12 DA, selon le président de la Fédération nationale des boulangers (FNB). Les représentants des boulangers ont tenu une réunion avec les représentants de plusieurs ministères afin d’examiner la demande de révision à la hausse du prix de la baguette. Sans résultat à ce jour.
Les Algériens seraient moins nombreux à convoler en justes noces, si l’on en croit les dernières données de l’Office national des statistiques (ONS).
Le Syndicat national des praticiens de la santé publique (SNPSP) exprime, dans un communiqué, sa grande inquiétude quant à la situation sanitaire ainsi que la colère face aux décisions de la tutelle qu’il juge éloignées de la réalité du terrain.
Une quatrième campagne de vaccination a été mise en place, hier dans les établissements scolaires, afin de convaincre les enseignants et le personnel scolaire de s’armer contre la Covid-19.
Le variant Omicron a aujourd’hui un petit frère, baptisé «BA.2», détecté au Danemark. Ce sous-variant est scruté de près par les scientifiques, mais il n’existe pas encore de données précises sur la gravité des cas de Covid-19 engendrés.
La situation est inquiétante mais il ne faut pas faire preuve d’alarmisme. Les cas de contamination sont – et j’en parle en connaissance de cause – très certainement bien supérieurs que ceux affichés officiellement.
Malgré la multiplication des infections, il faut savoir raison garder et ne pas céder à la panique, selon l’expert en immunologie, qui invite à agir par foyer et par secteur et au cas par cas.
D’ores et déjà, plusieurs classes, et dans certains cas des établissements scolaires, ont dû fermer leurs portes pour une durée de 10 jours pour cause de contamination d’un nombre important d’élèves et de leurs enseignants.
C’est une double peine pour bon nombre d’Algériens présentant des symptômes d’une infection à la Covid-19.
A en croire les chiffres officiels, l’Algérie dépasse désormais les 610 nouveaux cas confirmés de coronavirus (Covid-19) par jour.
Le produit de Sanofi et son pendant local, le Varenox, des laboratoires Frater-Razes, font l’objet d’une forte tension depuis qu’ils ont été intégrés dans le protocole de soin du coronavirus.
Les mesures prises pour endiguer la crise sont des plus intrigantes : dans une déclaration à la presse, en marge de son déplacement hier à Oran, le ministre du Commerce confirmait que son département avait décidé l’interdiction de la vente de l’huile de table aux moins de 18 ans.
Les études de médecine devront être revues dans leur contenu et dans leur architecture, afin qu’elles puissent mieux répondre aux défis de notre ère et s’adapter aux évolutions des connaissances dans le domaine.
A la quatrième vague des contaminations liées au coronavirus, il apparaît que les denses centres urbains du nord du pays sont les plus touchés par la pandémie.
Le gouvernement lance un appel aux citoyens et citoyennes à prendre la juste mesure de l’inquiétante situation sanitaire de par le monde et de la menace d’un rebond des cas de contaminations qui risque de nous exposer aux difficiles situations que nous avons vécues lors de la troisième vague de cette épidémie.
L’avènement du variant Omicron en Algérie est d’autant plus «inquiétant», que la campagne de vaccination tourne au ralenti et que les objectifs de l’année 2021 n’ont pas été atteints, affirme le Pr Ryad Mahyaoui, membre du Comité scientifique chargé de la lutte et du suivi de la pandémie Covid-19.
La crise sanitaire connaîtra-t-elle son épilogue en 2022 ? C’est, en tout cas, l’un des engagements de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).