La réticence à reconnaître pleinement le massacre comme un crime d'Etat témoigne d’un malaise persistant. La mémoire de la guerre d’indépendance continue d’être un sujet sensible en France, entre tentatives de réconciliation et fractures mémorielles.
Dans le nord de Ghaza, l’armée d’occupation israélienne poursuit son encerclement de Jabaliya, le camp de réfugiés historique où 400 000 habitants se retrouvent piégés sans possibilité d’évacuation.
L’Inde enregistre une croissance impressionnante de 7,6%, confortant son statut de l’économie à la plus forte progression au monde. Depuis huit ans, le pays surpasse la Chine – à l’exception de 2020, année marquée par la pandémie de Covid-19.
Les secouristes continuent de retrouver des corps sous les décombres, une tâche rendue encore plus difficile par l’intensité des bombardements qui se poursuivent.
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) a exprimé sa vive inquiétude quant à la détérioration rapide des conditions sanitaires.
Les troupes israéliennes ont justifié leurs actions par la rengaine habituelle, en affirmant que le Hamas tenterait de «reconstruire ses infrastructures militaires dans cette région».
A mesure que les forces israéliennes pénètrent plus profondément dans le sud du Liban, les échanges de tirs le long de la Ligne bleue, cette frontière temporaire définie par l’ONU, se multiplient.
Quatre frappes aériennes ont dévasté des quartiers densément peuplés de la banlieue sud de Beyrouth. Les autorités libanaises, dépassées par la guerre, font état de plus de 1100 morts, majoritairement des civils.
Le président Abdelmadjid Tebboune a annoncé, samedi 5 octobre, la révision prochaine de l’accord d’association entre l’Algérie et l’Union européenne (UE), un engagement qui débutera en 2025. «L’accord sera révisé avec souplesse et dans un esprit amical, sans entrer en conflit, car nos relations avec les Etats européens, y compris la France, restent normales», a-t-il précisé.
A Téhéran, l’ayatollah Ali Khamenei, dans une rare prise de parole, s’est adressé hier à une foule de partisans, en appelant le monde musulman à s’unir contre ses «ennemis». Le guide suprême d’Iran a promis que les alliés de l’Iran «ne reculeront pas».
Dans un contexte marqué par une agression israélienne brutale, sauvage et indiscriminée, les Palestiniens continuent de subir des pertes humaines à Ghaza, en Cisjordanie et désormais au Liban. Dans la nuit de mardi, un raid aérien israélien a frappé le camp de réfugiés palestiniens d’Ein El Hilweh, situé près de Saïda, au Liban.
L’armée d’occupation israélienne a officiellement annoncé le lancement d’une invasion terrestre au Liban. Malgré les déclarations contradictoires des deux camps, le Hezbollah affirmait hier qu’aucun affrontement direct n’avait encore eu lieu avec les forces israéliennes.
La Nakba palestinienne n’en finit pas. Le dernier drame en date est survenu hier à l’aube, lorsque des avions de guerre israéliens ont bombardé une école abritant des déplacés à Beit Lahia, dans le nord de Ghaza.
Le ciel libanais est en flammes. En une semaine, plus de 700 civils ont perdu la vie sous les frappes israéliennes, tandis que des milliers de personnes fuient les bombardements, trouvant refuge là où ils peuvent.
L’armée d’occupation israélienne poursuit ses frappes sur le Liban, ciblant notamment le Sud et la plaine de la Bekaa. Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité devait se tenir hier soir à New York, dans une tentative d’empêcher l’extension de la guerre, alors que la bande de Ghaza vit au rythme des bombardements sauvages et indiscriminés depuis presque un an.
Après avoir commis, presque une année durant, des massacres sanglants et barbares à Ghaza au nom de la présumée guerre contre le Hamas, l’Etat sioniste réédite son sinistre scénario au Liban.
A l’occasion du Sommet de l’avenir qui tenu les 22 et 23 septembre à New York, l’Algérie, par la voix de son ministre des Affaires étrangères et de la Communauté nationale à l’étranger, Ahmed Attaf, a adressé un message aux Nations unies et à la communauté internationale, appelant au rétablissement de la confiance entre l’ONU et les peuples du monde, en particulier ceux qui, colonisés et opprimés, placent encore leurs espoirs dans cette organisation créée pour défendre les droits universels et préserver la paix.
L’Assemblée générale des Nations unies a été hier le théâtre de la présentation du «Pacte pour l’avenir», un projet ambitieux destiné à répondre aux crises mondiales, qu’elles soient climatiques, sociales ou liées aux conflits armés.
Du 18 au 21 septembre 2024, le pavillon U du Palais des Expositions d’Alger accueille la troisième édition du Salon de l’éducation, de la formation professionnelle, de l’enseignement supérieur et des technologies de la connaissance, plus connu sous le nom d’Educteck.
Dans un discours prononcé depuis le Palais des Nations, le président Abdelmadjid Tebboune, réélu pour un second mandat, a tracé les grandes lignes de son nouveau quinquennat, mettant en avant une série de mesures censées améliorer les conditions de vie des Algériens.