La régularisation des constructions non conformes au permis de construire délivré, était au centre de la journée d’étude organisé mercredi 18 mai par les services de la wilaya à la salle des conférences de la cité administrative de Jijel.
Un gigantesque incendie s'est déclaré hier, vendredi 20 mai, vers 11h30, dans un dépôt de cartons et de plastique de l'ancienne usine Cherokee, longeant l'avenue Houari Boumediène, au centre-ville de Bordj Bou Arréridj, laissant échapper sur des centaines de mètres d'altitude un énorme nuage de fumée noire.
Les communes éprouvent des difficultés à entretenir ces espaces faute de budget de gestion, mais aussi par manque de main-d’œuvre qualifiée.
En évoquant, lors de sa dernière rencontre avec les membres de l’exécutif, le phénomène des espaces forestiers clôturés par des particuliers, le wali de Souk Ahras a exprimé toute sa colère et rappelé la détermination des pouvoirs publics à ne point lésiner sur les moyens dissuasifs à ce sujet.
Sous le slogan «Concilions rejets industriels et fonctionnement optimisé de nos stations d’épuration pour aller vers une entreprise écolo-économique», la direction de l’environnement de Bordj Bou Arréridj a organisé, récemment, à l’université d’El Annasser un séminaire sur la gestion et le traitement des rejets industriels, et les moyens à mettre en œuvre pour minimiser l’impact sur la santé des citoyens.
En marge du séminaire sur la gestion et le traitement des rejets industriels tenu à Bordj Bou Arréridj, nous avons abordé Mohamed Kessoul, l’un des experts qui a pris part à cette rencontre scientifique, sur les enjeux, à court et long termes, qui attendent l’Algérie pour faire face aux torts infligés à l’environnement.
La chaîne des milliers de recalés agglutinés devant le complexe du 8 Mai 1945 à Sétif attendant leur tour pour y déposer un recours dépasse le kilomètre.
Des intellectuels ont soulevé la question de la réhabilitation de l’ancien siège de l’hôtel de ville et sa transformation en espace culturel, surtout que ce joyau architectural est dans un état de délabrement avancé.
Il n’est pas uniquement un bastion du savoir et de la connaissance, il est avant tout le berceau du nationalisme. Construit en 1873 au coeur de l’antique Sitifis, le célèbre lycée (ex-Eugène Albertini) a été l’une des plus grandes écoles du militantisme.
Des experts et des chercheurs universitaires de l’Institut du patrimoine de l’université Abdelhamid Mehri ont été sollicités pour encadrer des jeunes recrutés.
Des études ont révélé que la wilaya la plus touchée par cette maladie en Algérie est Sétif, où de 10 à 20% de la population présente des signes de calculs biliaires.
L’objectif de ce programme est d’augmenter la production nationale de safran afin d’arriver à en exporter une bonne part, de générer des revenus pour les fellahs et de créer des dizaines de postes d’emploi.
Cela fait plusieurs mois que le petit Anouar Berkaoui, âgé aujourd’hui de 5 ans, attend de subir une intervention chirurgicale d’une importance capitale pour lui et sa famille.
L’auditorium de la faculté centrale de l’université Chadli Bendjedid d’El Tarf (UCBET) a abrité récemment une journée scientifique sur la situation d’épidémiologique de la Covid-19 et son évolution en Algérie organisée par le Laboratoire de recherche sur la biodiversité et la pollution des écosystèmes (LRBDPE). Quatre très intéressantes communications parmi lesquelles celles du Pr Djenouhat Kamel, chef du service d’immunologie de l’hôpital central de Rouiba et président de la Société algérienne d’immunologie, venu spécialement pour la rencontre.
Un enfant de 12 ans a trouvé la mort, jeudi, par noyade dans un gigantesque bassin situé au niveau d’un chantier abandonné dans la nouvelle ville de Ben Mostepha Ben Aouda (ex-Draa Erriche).
Ils étaient plusieurs centaines de médecins spécialistes en orthopédie et traumatologie dont plusieurs professeurs tunisiens à assister, hier, à l’ouverture des Journées inter-congrès de la Société algérienne de chirurgie orthopédique et traumatologique «SACOT» à Annaba.
Ouvert au grand public, en 2021, après une opération de réhabilitation engagée aux frais de l’ONDT, le jardin citadin méditerranéen de Aïn Achir dans la commune de Annaba a été baptisé la semaine dernière au nom du défunt grand moudjahid Aziz Damèche.
Nous nous trouvons dans la wilaya frontalière d’El Tarf et l’une des préoccupations de la population résidente aux portes de l’été est la réouverture de la frontière avec la Tunisie. Est-ce que les conditions sanitaires le permettent ? La décision de réouverture appartient aux hautes autorités du pays, car elle dépend de plusieurs facteurs, politiques, économiques, logistiques et scientifiques. Je peux répondre sur l’aspect scientifique. Actuellement la situation épidémiologique est rassurante dans tous les pays du monde y compris en Tunisie. D’ailleurs pour notre continent, tous les pays africains sont au même niveau, seule l’Afrique du Sud a donné quelques signes d’inquiétude avec l’apparition d’un petite variant, mais la courbe s’est aplatie depuis quelques jours.
Il était porté disparu au mois de décembre dernier. Son épouse avait alerté la police du 2e arrondissement de la ville de Tébessa de sa disparition jugée inquiétante. Un homme, la quarantaine répondant aux initiales K. K., habitant au quartier El Djorf a été découvert mort la semaine écoulée par les éléments de la police.
La contrebande est entrée dans les mœurs des frontaliers dans la wilaya de Tébessa. Ce fléau qui ne cesse de prendre de l’ampleur constitue, outre qu’il soit une véritable saignée pour l’économie nationale, est à l’origine d’une forte pénurie de certains produits alimentaires, notamment dans les localités jouxtant les frontières algéro-tunisiennes à Bir El Ater, Houidjbet, Negrine, Mérij et autres, où la population est livrée à elle-même.