Ces sept dernières années (2015 - 2021) ont été les plus chaudes jamais enregistrées même si le phénomène météorologique de la Niña a temporairement fait baisser les températures l’année dernière, confirme mercredi l’Organisation météorologique mondiale.
Une «nouvelle orientation» des pouvoirs publics dans le domaine agricole. Ces derniers «misent sur l’agriculture saharienne pour relancer le secteur». Les décrets exécutifs portant création des écoles supérieures de l’agriculture saharienne dans les wilayas d’Adrar et d’El Oued, publiés au Journal officiel n°97 du 27 décembre 2021, sont là. En revanche, le Sahara est connu pour son climat aride, à cela s’ajoute un autre facteur qui n’est pas des moindres : le changement climatique. Dans cet entretien, Sofiane Benadjila, spécialiste de l’agriculture bio dans la région du Sud, explique les atouts et les contraintes de cette démarche.
De plus en plus d’entreprises sont sensibles à la cause environnementale et au développement durable. Conscientes qu’elles ont un rôle à jouer en tant qu’acteurs, elles se sont engagées à limiter au maximum les impacts sur la nature à travers plusieurs axes majeurs. Parmi les initiatives, figure la collecte des emballages des produits afin qu’ils ne finissent pas comme des déchets sauvages ou dans les mers.
L’actualisation du Plan directeur d’aménagement des ressources en eau du bassin Sahara (PDARE) a permis d’établir des scénarios de gestion à l’horizon 2030 et 2040.
Son brevet d’innovation vient d’être signé au niveau de l’INAPI. Il porte sur l’énergie écologique. Son auteure, le docteur Souheyr Méziane, chercheuse algérienne de l’université de Tlemcen. Portrait.
La récupération des eaux de pluie demeure, depuis la nuit de temps, un rempart contre les inondations. La conservation des eaux permet une économie très importante de la ressource qui pourra être utilisée dans le cadre de l’alimentation artificielle des nappes d’eau, d’où un gain très important en matière d’eau. Larbi Djabri, professeur en hydrogéologie et environnement à l’université de Annaba, insiste, dans cet entretien, sur la nécessité de se lancer d’avantage dans les formations des métiers de l’eau.
Des robinets secs dans une zone désertique qui cultivait un écosystème oasien ou chacun trouvait son compte avec une économie d’eau érigée en règle du groupe, la sonnette d’alarme a été lancée par le mouvement associatif local depuis quelques années, avec une prise de conscience remarquable des enjeux de la rareté de l’eau et de l’indispensable mise en place d’un système d’économie.
La 3e édition de la formation des ambassadeurs de l’environnement au profit de 20 jeunes acteurs associatifs à la responsabilité citoyenne en matière de l’environnement s’est clôturée le 31 décembre 2021.
Les avis des spécialistes divergent sur l’impact négatif du dessalement de l’eau de mer. On manque encore de recul et d’étude, mais les premières recherches révèlent d’ores et déjà des conséquences sur le sol et le milieu marin.
«A quelque chose malheur est bon», dit-on. C’est le cas du tri sélectif qui a trouvé dans l’informel la raison d’exister, faute d’une véritable mise en place d’une récupération intelligente des déchets.
La force d’attraction touristique de certains sites naturels peut devenir une menace pour les écosystèmes. Et bien souvent, le tourisme de masse a des répercussions négatives sur la population locale et l’environnement. A titre d’exemple : Taghit fait face chaque année à l’incivisme de certains touristes, venus passer le réveillon. Des sites naturels et préhistoriques sont alors défigurés.
La qualité de l’air à Pékin s’est nettement améliorée ces dernières années, selon des chiffres officiels, même si le niveau de pollution reste supérieur aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).