Après une absence due à la crise sanitaire de la Covid-19, la compagnie aérienne Emirates est de nouveau dans le ciel algérien. Elle veut jouer les premiers rôles dans un secteur très concurrentiel en se mettant en position de décollage immédiat. Dans cet entretien, Omar Alhemeiri, Country Manager d’Emirates Algérie, nous livre son analyse sur le trafic aérien post-Covid-19 et ses missions prioritaires.
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a affirmé, jeudi dernier à Alger, que 23 wilayas du Sud et des Hauts-Plateaux avaient bénéficié de subventions partielles des factures d’électricité des clients à faible et moyenne consommation, à hauteur de 65% et 25% au profit les activités économiques.
Le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations a démenti l’arrivée de conteneurs de bananes renfermant 13 000 tonnes de ce fruit, soulignant qu’il recourra à la justice en vue de poursuivre les colporteurs de ces rumeurs.
La croissance économique de la Tunisie devrait se situer à 3% en 2022, contre des estimations qui tablent sur 3,5%, d’après des prévisions de la Banque mondiale, citées jeudi dernier par des médias tunisiens.
Les prix du pétrole ont terminé la semaine de cotation en hausse, affichant leur premier gain hebdomadaire depuis fin mars, dans le sillage d’informations relatives à l’éventuel arrêt progressif par l’Union européenne (UE) des importations de pétrole russe.
«Cette situation est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, puisque nous constatons que la soumission de Pedro Sanchez au Maroc a bloqué tout le marché algérien», fulmine un éleveur espagnol en s’interrogeant sur l’intérêt de la position du gouvernement qui n’a été convenue ni avec le PSOE ni avec le Parlement.
Les secteurs qui comptent le plus recruter ce premier semestre 2022 sont : l’industrie avec 42% des entreprises sondées qui prévoient d’augmenter leurs effectifs, contre 38% dans le secteur des services, 32% dans le BTP et enfin 29% dans le commerce et la distribution.
L’Allemagne plongerait dans la récession en 2023 en cas d’arrêt immédiat des approvisionnements en gaz russe, dans le sillage de la crise ukrainienne, ont prévenu hier les principaux instituts allemands de prévisions économiques.
La Banque mondiale prévoit un ralentissement de la croissance pour 2022 en Afrique subsaharienne, où de nombreux pays, à peine remis du choc économique dû à la Covid-19, sont confrontés aux conséquences de la guerre en Ukraine.
Le Portugal a revu en légère baisse sa prévision de croissance pour cette année à 4,9% et l’inflation en hausse à 4%, en raison de la crise en Ukraine, a indiqué hier son ministre des Finances.
L’Agence internationale de l’énergie (AIE) a revu en légère baisse la demande mondiale de pétrole en raison des confinements en Chine, se disant confiante sur l’équilibre du marché malgré la guerre en Ukraine, dans son rapport mensuel publié hier et cité par l’AFP.
L’inflation est partout, aux Etats-Unis, en Europe et dans beaucoup d’autres pays, à l’instar de l’Algérie. Le phénomène est spectaculaire et des dirigeants de ces pays semblent prendre très au sérieux la menace... Tous les pays, sans exception, connaissent une inflation galopante qui devient de plus en plus forte depuis une année déjà.
L’Algérie et l’Italie ont signé, hier à Alger, deux accords dans le secteur de l’énergie lors d’une cérémonie présidée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, et le président du Conseil des ministres italien, Mario Draghi, en visite en Algérie.
Les appels d’offres pour l’achat de blé sur le marché international se poursuivent en cette période de tension. L’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) a en effet lancé un appel d’offres international pour l’achat de 50 000 tonnes de blé tendre meunier à expédier vers les deux ports de Mostaganem et de Ténès.
Le panier de l’OPEP, constitué de prix de référence de 13 pétroles bruts, dont le Sahara Blend algérien, s’est maintenu à plus de 100 dollars au début de la semaine en cours.
Relocaliser certaines productions, comme souhaitent le faire les Etats-Unis ou la France depuis que la Covid-19 a désorganisé les chaînes d’approvisionnement mondiales, pourrait être contre-productif, a expliqué hier dans un rapport le Fonds monétaire international (FMI), qui appelle plutôt à diversifier les pays d’approvisionnement.
Les prix n’en finissent plus de grimper aux Etats-Unis, et l’inflation a atteint un nouveau plus haut en mars, premier mois pleinement touché par les répercussions de la guerre en Ukraine sur l’énergie notamment, poussant la Maison-Blanche à tenter d’en atténuer le coût. L’inflation a atteint en mars son plus haut niveau depuis décembre 1981.
Si une partie de l’accord entre Sonatrach et Eni porte sur l’augmentation des volumes de gaz, une seconde partie est liée à un partenariat visant à tirer le meilleur parti des contrats de production d’hydrocarbures en cours, mais aussi d’étendre la coopération à des projets communs dans le domaine de l’énergie renouvelable.
En plus de l’augmentation des prix d’achat des légumineuses auprès des agriculteurs et de la marge bénéficiaire des producteurs et distributeurs de lait, le dernier Conseil des ministres a pris comme décision phare d’accorder l’exclusivité en matière d’importation des céréales à l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC).
Le président de l’Association nationale des exportateurs, Ali Bey Nasri, a déploré, hier sur les ondes de la Chaïne 3, l’absence d’un comité de pilotage pour réguler l’activité d’exportation.