Confessions, rébellion silencieuse, résignation ou expressions spontanées tout simplement… Samira Bendris-Oulebsir, auteure et éditrice, raconte et se raconte, -peut-être sans le vouloir - une vie, la sienne, la nôtre, par procuration, peut-être… sans forfanterie, ni fioritures, dans un style simple, mais beau.
Mustapha Preure était cette figure, ce visage, cette bonne bouille, familière, rassérénante, cathodique et théâtrale. Cette force de l’âge… canonique, cet aîné, ce doyen, cet ancien, ce vieux de la vieille, ce vétéran imposant et forçant le respect chez les «enfants de la télé», grands et petits. C’était le père idéal, le papa «gâteau» – pour ne pas dire baba – pour eux.
Le grand comédien, le doyen des acteurs, Mustapha Preure, est décédé, ce matin, à l’hôpital d’Aïn Naâdja, à Alger, des suites du Covid-19. Il avait 86 ans.
Le communiqué, ne portant ni sceau, ni signature, ni en-tête, consignant un appel «d’éditeurs» -les signataires sont anonymes- pour le report de la date du Salon international du livre d’Alger. Raison invoquée : la crise sanitaire et l’impératif du sésame : le pass vaccinal, alors que la pandémie décélère.
Arrivé à l’âge adulte, chacun d’entre nous s’efforce de s’assurer un moyen de subsistance, en cherchant un travail, que ce soit à son propre compte où salarié. C’est cet emploi qui permet, certes entre autres, de s’affirmer, mais également de faire face aux dépenses de la vie au quotidien, aux exigences de la vie en société, à commercer au sens propre comme au figuré avec les autres membres de la société», explique-t-il. Dans le texte qu’il propose au lecteur, il est surtout question d’un jeune qui se confronte au monde du travail, et en amont, à la vie tout court, et qui, peu à peu, se décarcasse pour être à jour avec le monde qui s’ouvre devant lui et qui nécessite de lui, de chacun d’entre nous de faire œuvre utile. En voulant savoir si l’auteur est à son premier livre, sa réponse est oui et non !
Le chanteur britannique Sting a vendu la totalité de son catalogue d’auteurs de chansons, comprenant également son répertoire avec The Police, à une branche de Universal Music, a annoncé jeudi cette dernière.
En collaboration aussi avec l’Office national de la culture et de l’information (ONCI, la présidente de la Fondation aura le plaisir de présenter la composante nationale du jury de cette édition 2022 et annoncer officiellement les dates de déroulement des épreuves finales du concours dans l’enceinte du palais de la culture Moufdi Zakaria, ainsi que les soirées d’ouverture et de clôture avec proclamation du palmarès, à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïeh.
Le prix Cinéma Bouamari-Vautier sera attribué, lundi soir, à l’IMA, en présence de Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe, et d’Arnaud Montebourg, président de l’association France-Algérie. Cette cinquième édition du Cinéma Bouamari-Vautier se veut un soutien au cinéma algérien émergent.
En attendant la cérémonie de remise des Oscars, décalée cette année au 27 mars à cause de la pandémie, l’Académie américaine des arts et sciences du cinéma a annoncé mardi la liste des nominés dans les différentes catégories pour cette 94e édition.
A l’occasion du 27e anniversaire de la disparition du talentueux homme de théâtre, Azzedine Medjoubi, le Théâtre national d’Alger Mahieddine-Bachtarzi , présente un programme virtuel.
Accueillant plus de 100 exposants de 44 pays, dont plus de 30 nouveaux exposants, Art Dubai 2022 sera l’édition la plus complète de la foire à ce jour et l’un des rares grands événements artistiques internationaux à avoir lieu ce printemps.
Son rêve d’enfance s’est exaucé, puisqu’aujourd’hui, notre artiste est devenue un nom de référence dans l’univers de la danse et de la chorégraphie algériennes.
Le M’kadem Brahim Berrezoug, l’un des doyens de la musique et danse diwane dans le pays, décédé dimanche en milieu de journée, a été inhumé au cimetière Sidi El Bachir à Béchar.
La maison d’édition égyptienne Dar Al Ain a organisé au niveau de son pavillon à la Foire internationale du livre du Caire une vente-dédicace du dernier roman de l’écrivaine algérienne Fadhila Melhak Indama Tachtahika El Hayat (Quand la vie te désire), paru récemment aux mêmes éditions.
«La nature de l’Islam, la place des musulmans, deux thèmes qui taraudent – et souvent enflamment – les débats de la société française depuis plusieurs décennies. L’ambition de cet essai est de tenter de mettre en lumière l’ancienneté des regards français – car c’est évidemment au pluriel qu’il faut s’exprimer – sur cette religion et sur cette communauté», souligne l’éditeur de Regards français sur l’Islam. Des Croisades à l’ère coloniale, ouvrage (nouvellement paru aux Editions du Croquant, janvier 2022) dirigé par l’historien Alain Ruscio et qui rassemble des contributions de quatorze auteur-e-s, «spécialistes de périodes et d’aires géographiques différentes». Des contributions par lesquelles leurs auteur(e)s «ont cherché à historiciser cette question». «Et l’on découvrira, ou l’on aura confirmation, dans ces pages, que bien des jugements et attitudes d’aujourd’hui ont des racines multiséculaires, parfois venues du grand choc que furent les Croisades. Au fil des siècles, intérêt, adhésion et hostilité se croiseront».
A la faveur de la Foire internationale du livre du Caire (Egypte), dont c’est la 53e édition s’étant déroulée du 26 janvier au 7 février et dans le cadre des échanges permanents entre les pays arabes en matière d’édition et d’industrie du livre panarabe, la coopération est effective. L’assemblée générale ordinaire de l’Union des éditeurs arabes (Arab Publishers Association) s’est tenue le 30 janvier au Caire.
Surnommée «Le rossignol de l’Inde», Lata Mangeshkar, superstar de la chanson de playback décédée à l’âge de 92 ans, a régné sans égale sur la musique de Bollywood pendant des décennies.
Une porte-parole du ministère koweïtien de l’Information, Anouar Mourad, a confirmé à l’AFP une information de la presse locale selon laquelle le film réalisé par Kenneth Branagh, qui sort prochainement dans plusieurs pays, ne sera pas autorisé dans les salles du Koweït, sans expliquer la raison de l’interdiction.
Le journaliste et documentariste Nazim Souissi, producteur d’émissions pour la télévision et réalisateur de documentaires, est décédé hier en Espagne, suite à une crise cardiaque, à l’âge de 46 ans, a-t-on appris auprès de ses proches.
Né en 1961 à Saint-Denis (France), cet enfant d’émigrés a accompli son retour au pays pour s’installer à Maghnia, ville d’origine de sa famille.