Cette histoire aurait pu sortir tout droit de l’imagination de l’une des plus grandes artisanes de romans policiers. Pourtant, les faits sont bien réels et n’ont rien à voir avec l’un des scénarios rocambolesques et rondement bien menés auxquels nous a habitués Agatha Christie. Car, cette fois-ci, c’est elle le protagoniste.
Un des grands poètes vivants de ce siècle, de celui qui précède, vient de s’en aller retrouver «la mer allée / avec le soleil ».
Un livre inédit du défunt chercheur en linguistique, Mohand Akli Haddadou, vient de paraître aux éditions Berti : Dictionnaire encyclopédique des Berbères.
Le président Abdelmadjid Tebboune a décidé d’exonérer et d’exempter toutes les maisons d’édition, nationales et étrangères, participant au Salon international du livre d’Alger des frais de location des stands, afin de leur permettre de participer à ce salon en toute sérénité.
Suite à la décision présidentielle portant sur la gratuité des stands au Salon international du livre d’Alger, en exonérant toutes les maisons d’édition, nationales et étrangères des frais de location, le Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL) s’est fendu d’un communiqué signé de son président, Ahmed Madi, en accueillant cette bonne nouvelle pour les éditeurs avec enthousiasme et respect : «Le Syndicat national des éditeurs du livre (SNEL) formule sa haute considération et ses remerciements quant à la décision du président de la République Abdelmadjid Tebboune portant sur l’exonération et d’exemption de toutes les maisons d’édition participant à la 25e édition du SILA 2022, Salon du livre international du d’Alger- se tenant 24 au 31 mars- des frais de location des stands, afin de leur permettre de participer à ce salon en toute sérénité. Le SNEL salue cette mesure de gratuité des stands au SILA œuvrant pour une participation efficiente lors de cette édition imminente. Laquelle fut reportée à maintes reprises à cause des conditions sanitaires ayant impacté le monde entier.
Menacée de mort puis placée sous protection judiciaire, la journaliste Ophélie Meunier s’est exprimée sur le plateau de « Quotidien », mercredi 16 février 2022, après avoir été prise à partie pour la diffusion en janvier dernier d’un reportage sur l’islam radical dans l’émission « Zone interdite », sur M6.
La série diffusée par la chaîne franco-allemande Arte a entraîné de multiples réactions critiques, jusqu’aux autorités officielles. Plus que d’habitude, cette fiction télévisée donne une fausse image de l’Algérie
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a décidé d’exonérer toutes les maisons d’édition des frais de location pour le prochain Salon international du livre d’Alger. Une décision qui a été bien saluée par l’ensemble des éditeurs algériens.
Le long métrage de fiction La vie d’après d’Anis Djaâd et le documentaire Ne nous racontez plus d’histoire ! coréalisé par Ferhat Mouhali et Carole Filiu Mouhali, ont obtenu lundi le Prix Bouamari-Vautier, lors d’une cérémonie organisée à l’Institut du monde arabe à Paris, annoncent les organisateurs.
La 4e édition de la rencontre «Joussour Tawassel Li Tourath Al Haouadir», organisée par le musée public national des arts et des expressions culturelles traditionnelles-Palais Ahmed-Bey de Constantine, sera ouverte dimanche prochain avec la participation de 12 musées nationaux, a-t-on appris mardi auprès de sa directrice.
Une nouvelle version du roman Morituri, une oeuvre sur l’Algérie de la décennie du terrorisme, de Yasmina Khadra et adaptée au cinéma, paraîtra prochainement en Algérie, 26 ans après sa parution en France, a annoncé son auteur sur sa page Facebook.
Mme Wahiba Dali, présidente de la Fondation Cheikh El Hadj Abdelkrim Dali, a animé, hier matin, à la salle Atlas, à Alger, une conférence de presse portant sur la 3e édition du concours de belle voix et chant andalou, récompensé par le Prix Cheikh Abdelkrim Dali, du 21 au 25 février 2022, à l’Opéra d’Alger Boualem Bessaïeh, et au palais de la culture Moufdi Zakaria.
Le livre est composé de six nouvelles : Taddart yeǧǧlen (Le village des martyrs), Imru n unekruf (La plume du prisonnier), Arraw n tefsut (Les enfants du printemps), Acivan, ameddakel n Warrac (L’ami de l’enfant), Rrezg n umengur et Kenza.
La fondation qui porte son nom a été créée le 22 mai 2008 par les mélomanes, professeurs de musique, amateurs et admirateurs du répertoire du maître Abdelkrim Dali, dans le but de sauvegarder son lègue et promouvoir la musique classique algérienne.
Dès le rétablissement des sanctions américaines en 2018, le prix du papier a grimpé, de sorte que l’édition subit une crise majeure qui peut devenir existentielle», explique à l’AFP Emily Amraï, directrice de collection de Houpa, maison spécialisée dans les livres pour la jeunesse à Téhéran.
L’artiste peintre palestinien Sulaiman Shaheen expose, jusqu’au 15 février, ses toiles au niveau du Centre culturel universitaire, à Alger.
«Regard sur l’Algérie de nos vingt ans. Des séquences fortes de notre histoire contemporaine… Des événements relatés minutieusement avec, en miroir, les opinions et les émotions qu’ils suscitent...
Dans la perspective d’une éventuelle tenue du sommet des pays de la ligue arabe à Alger, en ce premier trimestre 2022, déjà reporté officiellement à une date ultérieure, sans aucun doute, les responsables de la wilaya de Tipasa sont déjà harcelés par le gouvernement pour se préparer l’environnement culturel à cet important événement politique.
L’artiste peintre de la nature, Eugène Deshayes est né à l’hôpital Mustapha Bacha (Alger) le 12 juillet 1862. Décédé, le dimanche 26 novembre 1939, a été enterré comme il l’avait souhaité, au cimetière chrétien de Tipasa.
Après une première édition expérimentale des plus réussies en mars 2021, les organisateurs de cette manifestation cinématographique reviennent avec une nouvelle édition, riche en projections et en activités variées.