Une des femmes courage ayant marqué le cinéma algérien, la battante réalisatrice Yamina Bachir-Chouikh, autrice de Rachida, Louisa Sid Ammi ou encore Hier... aujourd’hui et demain, est décédée hier matin à l’âge de 68 ans des suites d’une longue maladie.
Succès, échecs, rebonds, addictions, vie en excès de vitesse permanent: loin des hagiographies habituelles, la série documentaire Johnny par Johnny de Netflix dresse un portrait captivant du rocker français Johnny Hallyday, surnommé l’ex-idole des jeunes.
Des centaines de femmes travaillant dans le cinéma en Iran, dont de célèbres actrices ont signé une pétition dénonçant des violences «systématiques» à leur encontre, un texte inédit dans ce pays ultraconservateur.
La Constitution des Etats-Unis limite à deux le nombre de mandats du président américain, mais elle n’empêchera pas Barack Obama de viser un troisième Grammy dans la toujours très éclectique catégorie du meilleur album parlé.
Une des femmes courage ayant marqué le cinéma algérien, la battante réalisatrice Yamina Bachir-Chouikh, autrice de «Rachida», «Louisa Sid Ammi» ou encore «Hier... aujourd'hui et demain», est décédée ce matin, à l’hôpital d’Aïn Naâdja, à Alger, des suites d’une longue maladie. Elle avait 68 ans.
Une conférence-débat, portant sur la traduction de l’arabe à l’italien et inversement, a été animée à l’espace dédié à l’Italie qui était l’invité d’honneur du Salon international du livre d’Alger s’étant déroulé du 24 mars au 1er avril 2022.
La grande fête valencienne occupe à nouveau les rues et, après le rendez-vous extraordinaire des festivités qui ont été reportées et célébrées en septembre de l’année dernière, la première Mascletà a eu lieu à sa date habituelle cette année.
Le groupe Iwal - qui peut être traduit par L’infini espoir - , composé de Fayçal et Nesrine, couple dans la vie comme dans la scène, sortira cette semaine son premier album intitulé Hamghart. Sur des rythmes folk, acoustiques ou rock, accompagnés d’harmonica, de bendir et de gasba, ils proposent un voyage dans un univers empreint de contes, d’adages et de légendes.
Diplômée en traduction à l’université d’Alger, la romancière a évoqué sa trilogie Sakarat Nedjma, composée de Fi el badê kanat al-kalima et Thabet edholma. Elle indique que sa trilogie traite des questions qui sont en relation directe avec la vie des Algériens et de la culture populaire, faisant partie du legs anthropologique. Elle est convaincue que chaque auteur qui ne s’appuie pas sur la culture populaire s’éloigne de ses lecteurs. «La littérature n’est pas une expression exclusive pour les élites, elle doit savoir exprimer les obsessions et les préoccupations communes.
Ait Mohand Mahfoudh est un bouquiniste hors pair. Durant sa jeunesse, il mordait les livres. À l’université, il faisait déjà le bouquiniste, en vendant ou échangeant des livres, même ceux qui étaient interdits.
Le commissaire de Salon international du livre d’Alger (SILA), Mohamed Iguerb, a animé, hier matin, une conférence, en compagnie d’Antonia Grande, directrice de l’Institut italien à Alger, à la Safex des Pins maritimes, pour donner un premier bilan exhaustif de ce 25e Sila.
Dans son dernier ouvrage intitulé L’Emir Abdelkader, adversaires et admirateurs, le journaliste et auteur Amar Belkhodja propose aux lecteurs de découvrir ou redécouvrir des centaines--- d’écrits, laissés par ses adversaires les plus virulents et par ses admirateurs, sur cette illustre personnalité de l’histoire de l’Algérie.
Pendant longtemps, on ne pensait pas traduire mais corriger : marginalisée pendant des années, la littérature québécoise s’épanouit enfin en France, dans sa langue, sans traduction ni «francisation» grâce au travail méticuleux d’éditeurs français et québécois. «On assiste à un vrai boom», s’enthousiasme auprès de l’AFP Anne-Isabelle Tremblay, responsable de la bibliothèque Gaston-Miron à Paris, spécialisée dans les études québécoises.
Il y aura pour tous les goûts à l’Opéra d’Alger pour les soirées ramadhanesques. Après deux ans d’absence imposée par les mesures de restriction prises contre la pandémie Covid-19, «les nuits de Ramadhan de l’Opéra d’Alger» Boualem Bessaih reviennent avec 17 spectacles.
Marc Cote, le géographe, le professeur émérite, fin connaisseur de l’Algérie et du Maghreb, est décédé dimanche en France, à l’âge de 88 ans. La nouvelle a jeté un voile de tristesse en Algérie, particulièrement dans les milieux universitaires constantinois.
Djillali Khellas, l’auteur algérien qu’on ne présente plus, après la trilogie successive intitulée Zaman El Ghirbane (Le temps des corbeaux), Leilat El Katala (La nuit des assassins) et Horath El Bahr (Les laboureurs de la mer), sort un nouveau roman Aradjoul aladi yaktoub ala rahatihi (L’Homme qui écrivait sur sa main).
La salle du Sila a reçu, lundi après-midi, les écrivains Amin Zaoui et Lounis Ben Ali, pour une rencontre, autour de la thématique «Le roman, plaisir d’écriture ou désir éditorial ?».
Avant-hier, l’espace dédié au Syndicat national du livre (SNEL) a accueilli une communication intéressante et surtout utile pour les exposants et les professionnels du livre en Algérie.
Des historiens italiens se sont relayés en animant une table ronde de haut niveau portant sur «La cause de l’indépendance algérienne en Italie». Une communication plurielle donnée au Salon international du livre d’Alger, dimanche matin.
Tout chercheur en matière de théâtre à propos des années 1970 est invariablement orienté, entre autres sources, vers le mémoire de magistère de M’hamed Djellid, sauf qu’elle demeurait introuvable, mise sous le boisseau pour de spécieuses considérations. Le CRASC vient de rendre justice à feu Djellid en éditant «ce trésor d’intelligence, de minutie, de patience et de persévérance, d’autant qu’il n’a pas perdu de son actualité».