Yasmina Sellam a présenté, samedi dernier, son ouvrage intitulé Mémoire culinaire de l’Algérie, histoire de recettes à la librairie l’Arbre à dire à Alger.
La Journée d’étude consacrée par la direction de la culture de Boumerdès pour des lectures averties sur l’œuvre de Rachid Mimouni a mis en lumière sa dimension d’être un lieu du «Dire son pays : variation autour d’un artefact esthétique».
Les artistes du jazz Andrea Fraenzel et Erja Lyytinen ont ébloui, jeudi soir, le public constantinois, durant la 2e soirée de la 17e édition du Festival Dimajazz après avoir réussi à interagir avec les présents dans la salle de spectacles Ahmed Bey, en interprétant des chansons de grandes stars internationales de ce genre musical.
La première édition du Sahara Fashion Show se déroulera du 16 au 17 mai à l’hôtel Bladi Palace à Taghit dans la wilaya de Béchar. Placé sous le patronage du ministère de la Culture et des Arts, la première édition de Sahara Fashion Whow est unique en son genre.
Des manuscrits perdus de l’écrivain français Louis-Ferdinand Céline, réapparus dans des circonstances mystérieuses, sont exposés à Paris et donnent lieu à la publication jeudi d’un inédit, Guerre, qui enthousiasme la critique littéraire.
En hommage à la romancière et poétesse algérienne, Amina Mekahli, décédée le 07 mai 2022, El Watan publie en deux parties, le texte qui suit écrit en 2018 par Lakhdar Barka Sidi Mohamed, Professeur de Littérature comparée. La première partie a été publiée dans notre précédente édition. Voici la deuxième partie: «Le secret de la girelle se déroule du vendredi au vendredi, tel une chronique de l’être. Il se structure en chapitres et en sections sans affecter la régularité, le rythme ou l’harmonie de la lecture.
Le romancier algérien Yasmina Khadra s’est livré en toute transparence, dernièrement, via une rencontre digitale au Hope Buds Club, créé par les étudiants en écologie de l’université de Bab Ezzouar à Alger.
Ce choix est certainement à mettre au compte de la nécessité de rendre l’œuvre accessible aux bourses les moins garnies, un choix amplement justifié s’agissant d’une œuvre manifestement voulue de salubrité publique tant les mémoires de Lakhdar Bentobbal vont contribuer à dépolluer la mémoire et l’histoire d’un segment historique essentiel dont sa/ses vérité(s) ont été altérées à des fins politiciennes.
L’écrivaine Lydia Haddag signera son ouvrage La génération du Môme d’Alger paru aux éditions Casbah, aujourd’hui, samedi 14 mai, à 14h, à la librairie du Tiers-Monde, place Emir Abdelkader, à Alger.
La 17e édition de Dimajazz, le festival international de jazz de Constantine qui revient après plus de deux ans d’éclipse, a été ouverte mercredi soir à la salle de spectacles Ahmed Bey, avec de la soul, du blues et de la pop et la voix envoûtante de la britannique Joe Harman, dans un spectacle à l’émotion brute.
En hommage à la romancière et poétesse algérienne, Amina Mekahli, décédée le 7 mai 2022, El Watan publie en deux parties le texte qui suit écrit en 2018 par Lakhdar Barka Sidi Mohamed, Professeur de littérature comparée.
Plus petit qu’une carte à jouer mais d’une valeur exceptionnelle, un livre miniature de poèmes confectionné au XIXe siècle par la romancière anglaise Charlotte Brontë quand elle avait 13 ans a été dévoilé à New York. Intitulé A Book of Ryhmes (sic) by Charlotte Bronte, Sold by Nobody, and Printed by Herself («Un livre de rimes par Charlotte Bronte, vendu par personne et imprimé par elle-même»), ce manuscrit en papier brun de 15 pages daté de 1829, cousu à la main, comprend une collection de dix poèmes jamais publiés.
Une très belle exposition se tient en ce moment aux Ateliers Sauvages : « Alger, Autoportrait(s) ». Une véritable expo-événement qui réunit six œuvres de l’artiste Amina Menia ,dont une réplique de sa dernière pièce, «Material For a Landscape» (Variation pour un paysage) qui est exposée actuellement au Mucem, dans le cadre de l’exposition «Abd El Kader». Immersion sensible dans l’univers visuel d’une artiste au langage singulier, et dont les créations ont sillonné le monde, de New York à Lahore.
Les 72 heures du livre de Conakry se sont déroulées les 23, 24 et 25 avril 2022. Le thème des 72 heures cette année porta sur la sauvegarde du patrimoine et la paix sociale.
Comment ne pas donner libre cours à la fièvre de sa créativité lorsque le fleuve de cette fièvre justement soulage le cœur de l’artiste chanteur et guérit l’âme de son admirateur ?
Le long métrage de fiction Soula du réalisateur algérien Salah Issaad a été primé au Festival du film arabe de Malmo en Suède (4-9 mai), a annoncé l’équipe du film. En compétition pour le «Prix du meilleur long métrage», aux côtés de 11 autres œuvres de plusieurs pays arabes, Soula raconte en 93 mn l’histoire dramatique d’une jeune mère chassée de sa maison familiale, avec son enfant en bas âge, et rejetée par ses parents.
A Constantine, l’art scénique n’en finit pas de perdre ses hommes qui ont écrit les plus belles pages de son histoire. Le dernier en date est Torki Abdelmadjid, dit Abdelhamid.
Lors du Salon international du livre d’Alger(SILA), s’étant déroulé du 24 mars au 1er avril derniers, à la Safex, aux Pins Maritimes. Une rencontre-débat intitulée «Algérie-Italie, passerelles littéraires», avait été animée et où le verbe intervenir s’était conjugué au féminin pluriel.
Mama Binette, harraga françaises naufragées au cap Ténès, un opus de Mahdi Boukhalfa, revient sur une vraie fausse légende : celle des femmes, des religieuses bataves, parties sur un navire de guerre de la flotte napoléonienne vers les Amériques, la Louisiane plus précisément, qui ne termineront jamais leur long périple.
«Dieu le fracas que fait une poétesse qui meurt», serions-nous tentés d’écrire en paraphrasant maladroitement Louis Aragon. Amina Mekahli, cette immense écrivaine algérienne, vient de nous quitter au grand désarroi de toutes celles et ceux, famille, ami(e)s et allié(e)s, qui la chérissaient et l’appréciaient.