Face à l’accélération des événements, certaines voix ont mis en garde contre un chaos similaire à celui observé après la chute des régimes en Irak ou en Libye, exprimant les craintes d’un vide de pouvoir et appelant plutôt à la prudence.
Un des fondateurs du parti Baas – un mouvement panarabe qui rêvait d’instaurer la Nation arabe englobant plusieurs pays et qui a pris les commandes en Syrie depuis 1963 – le père de Bachar Al Assad, Hafez, est arrivé au pouvoir après un coup d’Etat en 1970.
Sous l’appellation «Hayat Tahrir Al Sham» (HTS), l’organisation islamiste qui a initié et mené l’offensive contre Bachar Al Assad existe sous cette appellation depuis 2017, mais son histoire remonte à bien des années plus tôt et a connu beaucoup de soubresauts et de changements de cap avérés ou feints et c’est selon.
La Syrie a franchi, hier, un point de basculement historique, avec la chute de Damas. Les conséquences de nouveaux affrontements armés intercommunautaires sont difficiles à prédire. Déjà que le territoire syrien est, aujourd’hui, un ensemble de territoires «autonomes», du Sud au Nord.
Depuis le début de la guerre civile syrienne en 2011, qui a fait plus de 500 000 morts et a provoqué le déplacement de la moitié de la population, la Syrie est devenue un terrain de rivalité entre grandes puissances mondiales, chacune soutenant des factions opposées au régime d’Al Assad.
Dimanche matin, les médias télévisuels français ont dû changer de braquet de toute urgence pour s’intéresser à la chute de Bachar Al Assad en Syrie.
La Russie a annoncé dimanche avoir demandé pour aujourd’hui une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la situation en Syrie, où une offensive éclair de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux ont fait chuter le pouvoir de Bachar al-Assad.
Amnesty International a souligné hier que les auteurs des crimes perpétrés sous le pouvoir de Bachar Al Assad devaient être jugés lors de «procès équitables» excluant la peine de mort, saluant une «opportunité historique» de rompre la spirale de violence.
Le 6 octobre, le président Tebboune avait ordonné l’augmentation «substantielle» des montants des allocations touristiques et du hadj.
Les présidents et représentants des groupes parlementaires à l’Assemblée populaire nationale (APN), ont tenu, dimanche, une réunion de coordination, en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Kaouter Krikou, en vue de renforcer la coopération institutionnelle entre les pouvoirs législatif et exécutif, indique un communiqué de la chambre basse du Parlement.
Poursuite samedi 7 décembre de la série de rencontres bilatérales ministre de l’Education nationale-syndicats. Le ministre, Mohamed Seghir Saâdaoui, a reçu les représentants de Syndicat national autonome des professeurs de l’enseignement secondaire et technique (Snapest).
L’Algérienne des autoroutes (ADA) a lancé des opérations de maintenance sur les tronçons endommagés de l’autoroute Est-Ouest, notamment dans les wilayas de Constantine, Bordj Bou Arréridj, Bouira, Aïn Defla et Sidi Bel Abbès, a indiqué le directeur général de l’entreprise, Said Si Chouaib.
Rachid Sekak a débuté sa carrière en 1983 en qualité d’enseignant avant de rejoindre en 1990 la Banque d’Algérie en tant que secrétaire général du Conseil de la monnaie et du crédit puis comme directeur de la dette extérieure.
Le président de la République d’Afrique du Sud, Cyril Ramaphosa, a réaffirmé, vendredi, à la faveur d’un discours prononcé lors de la session extraordinaire des deux chambres du Parlement réunies au Palais des nations (Alger), le soutien inconditionnel de son pays au droit à l’autodétermination du peuple sahraoui.
Voilà près d’un mois que la colère de la société civile marocaine, et même du peuple marocain dans son ensemble, ne s’est pas déridée. La raison ? L’accostage, la première semaine de novembre dernier, d’un navire de guerre israélien au port de Tanger en vue de son ravitaillement.
Le représentant de l’Agence de développement de l’Union africaine (AUDA-NEPAD), George Murumba, a relevé l’importance de la coopération entre les pays africains, plus particulièrement ceux qui sont leaders dans le domaine des start-up.
Bentaleb a souligné les efforts déployés par l’Algérie dans le domaine de la promotion de l’emploi et de la lutte contre le chômage.
Une stratégie nationale de protection des marques commerciales algériennes, à l’intérieur et à l’extérieur du pays, est en cours d’élaboration, a déclaré, hier à Sétif, le directeur des Affaires civiles et du Sceau de l’Etat au ministère de la Justice, Ahmed Ali Salah.
Les groupes armés qui mènent une avancée fulgurante à travers la Syrie ont affirmé, hier, avoir «commencé à encercler» la capitale, alors que l’armée a démenti avoir fui ses positions près de Damas.
Un réseau du Centre d’appui à la technologie et à l’innovation (CATI) spécialisé dans les sciences pharmaceutiques (CATI Pharma) a été lancé hier depuis l’université Salah Boubnider (Constantine3) à l’occasion de l’ouverture du 14e Salon national de l’innovation.