Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Atmane Mazouz, s’exprime à nouveau sur l’annonce d’un dialogue national ouvert faite par le président Abdelmadjid Tebboune.
Depuis sa mise à la retraite, l’ancien ambassadeur de France à Alger ne rate aucune occasion pour tirer à boulet rouge sur l’Algérie.
L’intensité des frappes israéliennes sur le Liban a grimpé encore de plusieurs crans hier, précipitant le pays dans l’engrenage d’une guerre d’une plus grande ampleur.
La compagnie nationale, Air Algérie, a annoncé, hier, dans un communiqué, qu’un avion à destination d’Istanbul a fait demi-tour, dimanche soir, vers l’aéroport international d’Alger, en raison d’un problème technique, assurant la prise de toutes les mesures pour accompagner les passagers, en attendant la programmation d’un nouveau vol, prévu hier soir.
L’Assemblée générale des Nations unies a été hier le théâtre de la présentation du «Pacte pour l’avenir», un projet ambitieux destiné à répondre aux crises mondiales, qu’elles soient climatiques, sociales ou liées aux conflits armés.
Le président français, Emmanuel Macron, est «déterminé» à «poursuivre le travail de mémoire, de vérité et de réconciliation» avec l’Algérie sur la colonisation française, a indiqué, hier, la présidence française, citée par l’AFP.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, n’est pas content des pratiques de certains importateurs.
La scène politique nationale est dans l’expectative. Une semaine après l’annonce du président Abdelmadjid Tebboune de sa volonté d’organiser, durant son second mandat, un «dialogue national ouvert» pour «l’édification d’une véritable démocratie», rien n’est encore décidé sur la forme, la date et les objectifs de ce chantier politique.
De nouvelles dispositions seront introduites dans la circulaire ministérielle portant organisation des examens nationaux pour interdire aux élèves des classes de terminale de s'absenter. Le baccalauréat verra aussi, pour sa version 2025, quelques réformes d’ordre logistique et opérationnel.
Plus de 35 000 élèves aux besoins spécifiques sont scolarisés à l’échelle nationale, a affirmé la ministre de la Solidarité nationale et de la Condition de la femme lors de sa visite, hier, dans la wilaya de Boumerdès. Kaouter Krikou est intervenue à l’occasion du coup d’envoi de l’année scolaire de cette catégorie, donné à l’Ecole des non-voyants de Bordj Menaïel.
Au moins 23 941 élèves scolarisés, des trois paliers de l'enseignement, de la wilaya de Béchar ont bénéficié de la prime de scolarité, au titre de l'année scolaire 2024/2025, a indiqué à la presse la direction de l'éducation (DE).
Depuis la récente cyberattaque massive qui a fait au total 37 morts et 2931 blessés, l’armée israélienne n’a pas desserré l’étau sur le Liban.
Alors que la météo commence à se gâter depuis la fin «officielle» de l’été et l’entrée de l’automne, dans la bande de Ghaza, les intempéries et les pluies diluviennes qui s’abattent sur les camps de déplacés sont devenues un cauchemar pour les habitants de l’enclave assiégée.
L’interdiction d’introduction de la pâte à tartiner algérienne El Mordjene, sur le territoire européen, a remis au jour le différend commercial opposant l’Algérie et l’UE.
Analysant l’affaire El Mordjene dans cet entretien, le spécialiste en commerce international, Brahim Guendouzi, estime que la révision de l’accord d’association Algérie-UE est opportune pour explorer de nouveaux domaines de coopération et de partenariat. Il s’agit, dans le même sillage, d’apporter tous les correctifs aux insuffisances constatées après près de vingt-cinq ans d’application.
C’est la rentrée pour les parlementaires. Le coup d’envoi de cette quatrième session ordinaire parlementaire 2024-2025 de la neuvième législature est prévu demain.
Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) revient à nouveau sur la polémique autour des résultats de la dernière présidentielle. Cette formation islamiste, présidée par Abdelaali Hassani Cherfi, candidat malheureux à ce scrutin, appelle à une enquête parlementaire et à une autre judiciaire sur ce qui est qualifié de «crime ciblant la nation».
Le parti Talaie El Hourriyet a salué, hier, l’initiative annoncée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, concernant le lancement d’un dialogue national ouvert et la tenue de consultations avec toutes les forces vives du pays.
La nouvelle année scolaire 2024-2025 commence ! Les 30 000 établissements scolaires que compte le pays rouvrent aujourd’hui leurs portes. Tout est fin prêt pour accueillir les 12 millions d’élèves, tous paliers confondus, qui ont bénéficié de trois longs mois de vacances. Les 600 000 enseignants que compte le secteur ont, quant à eux, signé leur PV de reprise le 10 septembre.
C’est la rentrée des classes aujourd’hui. Que pensez-vous des nouveautés apportées cette année au plan de l’allégement des programmes pour les classes de première et deuxième années primaires ? L’une des décisions principales de cette rentrée est la suppression de deux matières, à savoir l’éducation civique et des sciences pour les élèves de première et deuxième années du cycle primaire. Cette mesure répond à une revendication de longue date des parents d’élèves. La surcharge des matières et le poids excessif du cartable ont longtemps été considérés comme des freins à l’épanouissement des jeunes apprenants. Alléger le programme scolaire est un pas vers une meilleure prise en charge des besoins pédagogiques et physiques des enfants. La réduction du programme s’appuie sur les recommandations de spécialistes, entre autres celles développées par le psychologue suisse Piaget, relatives au développement cognitif de l’enfant. A cet âge-là, les apprenants doivent consacrer plus de temps à des activités créatives, comme l’éducation artistique, la musique et le sport, plutôt que d’être surchargés par des matières théoriques, surtout au deuxième stade préopératoire de la théorie de Piaget.