Des partis de l’opposition et des ONG, qui ont déploré la dégradation de la liberté de la presse en Algérie, ont appelé à la libération des journalistes emprisonnés. «En cette veille de la célébration de la Journée mondiale de la liberté de la presse, l’Algérie n’en finit pas de compter des professionnels de la corporation poursuivis en justice, détenus ou sous contrôle judiciaire», a déploré Athmane Mazouz, secrétaire national du RCD chargé de l’information, sur son compte Facebook.
Le militant politique et porte-parole de l’Union démocratique et sociale (UDS non agréé), Karim Tabbou, s’est présenté, hier matin, au commissariat de police de Châteauneuf, à Alger. Arrivé sur les lieux vers 10h, selon son avocat Toufik Belala, il a été auditionné pendant plusieurs heures avant d’être remis en liberté en fin de journée.
Un lourd réquisitoire a été fait hier par le procureur général, près la cour d’Alger, contre l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, son secrétaire général Tayeb Benhachem, et l’homme d’affaires Tarek Noah Kouninef, qui comparaissaient en appel, pour l’affaire des mandats d’arrêt, vidés par le tribunal de Mostaganem en 2016 «en violation de la loi».
Dans le commentaire, publié dans l’édition du mercredi 4 mai 2022,d’El Watan, sous le titre «Médicament : l’enjeu de la souveraineté», il a été rapporté que «des pharmaciens plaident singulièrement pour la mise en place d’un dispositif d’anticipation et de gestion des risques de rupture de stock.
Des pluies, parfois sous formes d'averses orageuses accompagnées localement de chutes de grêle, affecteront plusieurs wilayas de l'Ouest et du Centre du pays jusqu'à jeudi, indique mercredi un bulletin météorologique spécial (BMS) émis par l'Office national de la météorologie.
Une peine de 10 ans de prison ferme assortie d’une amende de 1 million de dinars a été requise aujourd’hui contre l’ancien ministre de la Justice, Tayeb Louh, son inspecteur général, Tayeb Benhachem et l’homme d’affaire, Tarek Noah Kouninef.
On en fait le constat tous les jours en faisant son marché : nos salaires sont de plus en plus dérisoires. Face à une spirale inflationniste que rien ne semble en mesure d’arrêter, le pouvoir d’achat des Algériens baisse de façon inexorable. Les retraites sont insignifiantes.
La prépondérance d’une culture de redistribution rentière héritée de la phase socialiste dans le secteur public a engendré des écarts indécents entre salariés de différents secteurs d’activité.
Dans un climat social tendu, marqué par une détérioration fulgurante du pouvoir d’achat, le président Abdelmadjid Tebboune a promis, dans un message adressé aux travailleurs algériens à l’occasion de la Journée internationale des travailleurs (1er Mai), lu en son nom par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, d’améliorer le pouvoir d’achat des Algériens.
Après sept mois de protestation, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) affirme être prêt à négocier la fin de ses actions.
Les décrets présidentiels portant nouvelle grille indiciaire des traitements et les modalités d’attribution de la bonification indiciaire continuent de faire des mécontents.
Il y a un peu plus de deux semaines, un journal lancé il y a 30 ans, au lendemain de l’ouverture politique qu’a connue le pays à la suite des événements d’Octobre 1988, a cessé de paraître.
Une étude est en cours pour la mise en place d’un poste d’urgences médicales au lieudit Ben Ouali, dans la commune de Larbaatache (ouest de Boumerdès), classé point noir de la circulation sur l’autoroute Est-Ouest, pour une intervention rapide en cas d’accident, a révélé cette semaine le wali de Boumerdès.
Ce Ramadhan 2022 tire déjà à sa fin, et il nous a paru qu’il ne serait pas totalement futile d’en dresser un petit bilan. Ce qu’il convient de noter d’emblée, c’est que depuis que nous sommes entrés dans «l’ère de la Covid», c’est le premier Ramadhan où le mot «corona» a presque disparu de l’actualité, du vocabulaire et du paysage social (même si les pictogrammes exhortant au port du masque et à la distanciation sociale sont encore placardés à l’entrée des boutiques).
Chaque jour, la ville de Constantine se libère difficilement de sa léthargie durant ce mois de Ramadhan. Aux premières heures de la matinée, les rues et les places publiques sont quasiment désertes et les magasins fermés.
Devant l’entrée, deux clowns font de l’animation en se prenant en photo avec les enfants. Ils sont recrutés par le gérant de ce qui apparaît comme un «supermarché du prêt-à-porter», un immense magasin occupant tout l’espace des deux premiers niveaux d’un immeuble flambant neuf de la catégorie haut standing situé à l’intérieur, côté ouest, du périmètre urbain de la commune d’Oran.
Plus de 1200 enseignants universitaires ayant atteint l’âge de 70 ans seront mis à la retraite. C’est ce qu’a indiqué, jeudi dernier, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique.
Me Mourad Khader relève «la gravité» de la situation en matière de respect de la présomption d’innocence et affirme que la détention préventive est devenue «une pratique courante» alors que la loi l’a consacrée comme une mesure exceptionnelle. Dans l’entretien qu’il nous a accordé, il appelle au «réveil des consciences» pour une refonte des textes afin de «mieux protéger» les libertés individuelles.
Si un jour vous avez traversé les Bibans par l’autoroute Est-Ouest, vous avez sûrement dû remarquer ces montagnes aux crêtes dentelées et aux pics bizarres qui rappellent vaguement le dos d’un stégosaure du jurassique.
Le Front des forces socialistes (FFS) s’est élevé, dans un communiqué publié à l’occasion du double anniversaire du Printemps amazigh et du Printemps noir, contre ce qu’il considère comme une «fermeture sans précédent du champ des libertés individuelles et collectives» ainsi que des tentatives qui viseraient à «attiser la discorde», pointant du doigt des «manœuvres sournoises pour semer la haine et la division dans les rangs d'un même peuple».