Les autorités ont procédé à la mise en place de pistes d’atterrissage pour les avions de lutte contre les feux de forêt et réfléchissent à l’affrètement de bombardiers pour renforcer les capacités de lutte contre ces incendies.
Véritable problème de santé publique, le tabagisme passif tue 1,2 million de personnes annuellement dans le monde. Même si les chiffres ne sont pas connus en Algérie, son impact n’est plus à prouver lorsque l’on sait que le pourcentage de fumeurs est de 42%.
Le procès en appel opposant la Société de distribution de d’électricité et de gaz (Sadeg), une filiale de Sonelgaz, au groupement composé de la société émiratie AUIL, du fonds émirati Moubadala, et la SKH (Société Kahraba Hadjret Ennous), a été renvoyé hier par la cour d’Alger au 29 juin. Le juge a accordé un «dernier» délai aux représentants des trois sociétés, qui affirment «négocier un accord à l’amiable» avec les «hauts responsables» pour le «remboursement» d’une taxe «indûment» encaissée de 2009 à 2016.
Une série de mesures préventives et de lutte contre les feux de forêt et de palmeraie a été prise par les services de la Protection civile de la wilaya de Djanet en prévision de la saison estivale, a appris l’APS auprès de ce corps constitué.
Des spécialistes ont révélé que l’Algérie s’est lancée tardivement dans le dispositif de normalisation Iso, alors qu’à l’étranger, tous les secteurs sont normalisés et certifiés, y compris les universités, les centres de formation et autres.
Un budget de plus de 5,8 milliards de dinars a été consacré à la célébration du 60e anniversaire de la Fête de l’indépendance, réparti sur 11 secteurs, en vertu d’un décret présidentiel paru au Journal officiel (JO) numéro 36.
Le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, a reçu, mardi, l’envoyée spéciale de l’Union européenne (UE) pour le Sahel, Emanuela Claudia Del Re, qui a effectué une visite de travail en Algérie dans le cadre du dialogue politique sur les questions de paix et de sécurité en Afrique, indique un communiqué du ministère des Affaires étrangères.
Sale temps pour les partis démocratiques. C’est ainsi que peut être qualifiée la situation dans laquelle se trouve actuellement la classe politique de l’opposition, qui évolue, depuis un moment déjà, mais aujourd’hui plus encore, dans un contexte des plus défavorables.
L’instance présidentielle du Front des forces socialistes (FFS) a dévoilé, lundi, la composante du nouveau secrétariat. Le nouveau staff est composé d’une cinquantaine de membres, une première dans l’histoire du parti.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) tiendra les 3 et 4 juin son sixième congrès ordinaire. Des assises organiques qui verront l’élection d’un nouveau président à la tête du parti, puisque le président sortant, Mohcine Belabbas, a décidé de ne pas briguer un troisième mandat.
Depuis le samedi 28 mai, une importante délégation de l’Association Josette et Maurice Audin (AJMA), conduite par ses deux «Pierre», en l’occurrence son président, Pierre Mansat, et Pierre Audin, le fils du chahid
Après le lourd réquisitoire du parquet du pôle financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger, la défense de Saïd Bouteflika, frère conseiller du défunt président déchu, et Ali Haddad, patron du groupe ETRHB, a plaidé la relaxe en tentant, lundi en fin de journée, de faire tomber les griefs de «blanchiment d’argent», «trafic d’influence», «abus de fonction», «enrichissement illicite», «non-déclaration de patrimoine», «dissipation de biens considérés comme produit de la corruption» et «financement occulte de parti politique», en ce qui concerne Saïd Bouteflika, et «blanchiment d’argent», «dissipation de produit de la corruption» et «financement occulte de parti politique», pour Ali Haddad.
Le Digital African Summit (Sommet africain du digital) a débuté hier au Centre international des conférences (CIC) à Alger, avec la participation de plus de 1200 décideurs et une centaine d’entreprises et start-up exposantes, issus d’une vingtaine de pays d’Afrique et du monde.
L’ancien ministre conseiller à la Communication, porte-parole officiel de la présidence de la République, Belaïd Mohand Oussaïd, est décédé hier à l’âge de 75 ans des suites d’une longue maladie, a appris l’APS auprès de ses proches.
Ambassadeur pour la Méditerranée, l’écrivain franco-algérien Karim Amellal effectue depuis quelques jours une visite à Alger qui rentre dans le cadre de la mise en œuvre des décisions du Forum des mondes méditerranéens, tenu à Marseille en février dernier. Il explique ici l’objectif des décisions prises lors de ce rendez-vous par le président français, Emmanuel Macron. Ami et proche du chef de l’Etat français, Karim Amellal est revenu aussi sur la situation des relations politiques entre l’Algérie et la France, qu’il qualifie de «bonnes», comme il exprime son avis sur la question de la mémoire, qui a tant miné les rapports entre les deux pays.
Maitre Yacine Khelifi, avocat de Rachid Nekkaz, maître Abdelkader Chohra et Hamza Djabri, les trois ayant été placé en détention provisoire le 15 mai dernier, a été interpellé, dans la soirée du lundi 30 mai à Alger, a indiqué le Comité national pour la libération des détenus (CNLD).
Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Abderrachid Tabi, a affirmé que la bataille principale pour le secteur de la justice en Algérie demeurait «la lutte contre la corruption, la restitution des fonds pillés et l'instauration d'une justice crédible permettant de recouvrer la confiance du citoyen», indique lundi un communiqué du ministère.
Face à la montée au créneau des détenteurs de doctorat et de magistère, qui se plaignent du chômage des élites universitaires, le ministre de l’Enseignement supérieur a annoncé, samedi à Batna, le lancement d’une plateforme pour recueillir les dossiers des candidats aux postes de maîtres-assistants de classe B, via le système Progres. Cela sera-t-il suffisant pour apaiser leur colère ?
Le ministre de l’Education nationale a annoncé la suppression définitive de l’examen du premier palier, une épreuve qui a montré son inutilité dans le système d’évaluation du secteur de l’éducation.
Une peine de 10 ans de prison ferme a été, hier, requise contre Saïd Bouteflika et Ali Haddad, qui comparaissaient devant le pôle financier d’Alger pour l’affaire de financement de la chaîne de télévision privée Istimraria.