Actualité
Confondue par certains de ses cadres lors de son procès : 10 ans de prison requis contre l’ex-ministre de l’Industrie Djamila Tamazirt
Après deux reports successifs, le procès de l’ancienne ministre de l’Industrie, Djamila Tamazirt, en tant que PDG du groupe agro-alimentaire Eriad, s’est tenu jeudi dernier devant pôle pénal financier près le tribunal de Sidi M’hamed, à Alger.
Départ des médecins à l’étranger : Des professeurs en sciences médicales répondent à Benbouzid
En réaction aux déclarations du ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, relatives au départ de 1200 médecins spécialistes algériens à l’étranger, lauréats de l’examen d’aptitude, en vue d’exercer en France, le collectif des professeurs en sciences médicales estime que « la réponse» du ministre de la Santé au journaliste est «ahurissante et laisse perplexes les professionnels de santé».
Alors que les avocats alertent sur l’état de santé des détenus grévistes : Silence assourdissant des autorités judiciaires
La situation des détenus d’opinion ayant entamé, depuis plus de 15 jours, une grève de la faim inquiète. Les avocats de la défense donnent l’alerte et dénoncent le silence des autorités judiciaires depuis le début de cette action et le transfert de certains d’entre eux vers les prisons de Bouira et de Berrouaghia.
Production de la pomme de terre : Des mesures «rigoureuses» contre les agriculteurs qui refusent le ramassage de leurs récoltes
Le ministère du Commerce et de la Promotion des exportations envisage de prendre des mesures «rigoureuses» à l’encontre des producteurs de pomme de terre qui refusent de procéder au ramassage de leurs récoltes, et ce, pour augmenter les prix du produit sur le marché, a indiqué un responsable du ministère.
Les extraditions objet de négociations plus politiques que judiciaires : Une trentaine de mandats d’arrêt internationaux lancés pour corruption
Plus d’une trentaine d’anciens ministres, hauts cadres de l’Etat et officiers de l’armée poursuivis ou condamnés par la justice pour corruption, trouvent refuge dans des pays où l’extradition est souvent le fruit de négociations politiques.
Une trentaine de mandats d’arrêt internationaux lancés pour corruption
Plus d’une trentaine d’anciens ministres, hauts cadres de l’Etat et officiers de l’armée poursuivis ou condamnés par la justice pour corruption, trouvent refuge dans des pays où l’extradition est souvent le fruit de négociations politiques. Aussi bien pour Chakib Khelil, Farid Bedjaoui ou encore Réda Hamech, Abdessalem Bouchouareb, Omar Habour ou le général Ghali Beleksir, le choix des pays d’asile n’est pas fortuit. Il répond à des garanties souvent assurées, par ces Etats aux criminels au col blanc.
La peine de trois ans de prison ferme confirmée contre Houda Feraoun
La cour d’Alger a confirmé, hier, le verdict de première instance prononcé à l’encontre de l’ancienne ministre de la Poste et des Télécommunications, Houda Imane Feraoun, soit une peine de trois ans de prison ferme, assortie d’une amende d’un million de dinars pour son implication dans une affaire de corruption alors qu’elle était ministre du secteur.
Cour de Boumerdès : Le procès de Abdelghani Hamel reporté au 2 mars
La chambre pénale près la cour de justice de Boumerdès a reporté, hier, au 2 mars 2022, le procès en appel de l’ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, de son fils, d’anciens walis ainsi que d’ex-cadres de la wilaya de Tipasa, poursuivis pour plusieurs chefs d’accusation, dont «détournement de foncier agricole» et «abus de fonction».
Les forces du pacte de l’alternative démocratique alertent : «La politique de la fuite en avant est porteuse de tous les dangers»
Les membres du PAD ont exprimé leurs préoccupations devant la réaction des autorités à la grève de la faim de dizaines de détenus politiques et d’opinion dans plusieurs prisons du pays.
Le collectif des chirurgiens du chu de Annaba en grève à partir du 20 février
Le collectif des praticiens de chirurgie générale et digestive de l’hôpital Ibn Rochd, relevant du CHU de Annaba, sont en colère contre leur direction générale. Dans une lettre adressée avant-hier au directeur général de ce CHU, Naceur Nacer, plusieurs médecins, spécialistes en chirurgie générale, vasculaire et digestive, ont annoncé une grève générale à partir du 20 février courant.
Contrôle judiciaire confirmé pour Mohcine Belabbas
La chambre d’accusation près la cour d’Alger confirme le placement sous contrôle judiciaire du président du RCD, Mohcine Belabbas. C’est ce qu’a annoncé, hier, l’avocate et cadre du parti, Fetta Sadat, sur sa page Facebook.
Amnesty international dénonce la répression des partis politiques : «L’Algérie doit en finir avec ces pratiques»
L’ONG Amnesty International appelle les autorités algériennes à cesser «leur répression implacable contre toutes formes de dissidence». «Le droit international relatif aux droits humains et la Constitution algérienne garantissent les droits à la liberté d’expression et de réunion pacifique pour les partis politiques. Les autorités doivent cesser immédiatement leurs attaques contre les libertés fondamentales en Algérie», lance l’organisation dans un communiqué rendu public, hier, sous le titre de «Algérie : dans le cadre de la répression, les partis politiques se retrouvent dans le collimateur des autorités».
Les boulangers dans l’expectative
Des boulangers n’ont pas attendu une quelconque décision du gouvernement pour vendre la baguette de pain à 15 DA, soit le double du prix fixé par la loi.
Service civil : Un dispositif fortement décrié par les médecins spécialistes
Conçu pour remédier aux déserts médicaux dans les régions isolées du pays, le service civil continue de nourrir la grogne des médecins praticiens de santé publique, lesquels réclament son abrogation. Les autorités, quant à elles, reconnaissaient les limites de ce dispositif et promettaient une révision de la loi, qui contraint les jeunes médecins, à la fin des six années de spécialisation, à exercer entre un et quatre ans dans des régions reculées du pays.
Violence contre le personnel de santé : Un phénomène social récurrent
Un mouvement de protestation a été observé par tous les médecins de l’hôpital de Timimoun suite à l’agression, à la violence et à l’injure contre un médecin de garde du service des urgences par l’agent de sécurité de l’établissement, selon la page Fecebook «Timimoun news» du 6 février. Le site a accompagné cette information par des images prises sur le lieu de la protestation.
Bilan : Mise en échec de tentatives d'introduction de 7 quintaux de kif traité par les frontières avec le Maroc
Des tentatives d'introduction de grandes quantités de drogues à travers les frontières avec le Maroc, s'élevant à plus de 7 quintaux, ont été déjouées par des détachements combinés de l'Armée nationale populaire (ANP) au cours de la période du 2 au 8 février, indique mercredi 9 février un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
Cour de Boumerdes : Le procès de Hamel reporté au 2 mars
La Chambre pénale près la Cour de justice de Boumerdes a reporté, mercredi 9 février, au 2 mars 2022 le procès en appel de l'ancien Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel, de son fils et d'anciens walis ainsi que d'ex-cadres de la wilaya de Tipasa, poursuivis pour plusieurs chefs d'accusation dont "détournement de fonciers agricoles" et "abus de fonctions".
Cour d'Alger : Confirmation du verdict prononcé à l'encontre de Houda Feraoun
La Cour d’Alger a confirmé, mercredi 9 février, le verdict de première instance prononcé à l’encontre de l’ancienne ministre de la Poste et des Télécommunications, Houda Imane Feraoun, soit une peine de trois (03) ans de prison ferme, assortie d’une amende d'un (01) million de dinars pour son implication dans une affaire de corruption alors qu’elle était ministre du secteur.
La Covid-19 complique la vie dans les cités «U»
Le manque de rigueur de la part de l’administration et l’inconscience regrettable des résidents ont provoqué une hausse des cas de contamination à la Covid-19.
Brahim Bendaïra, directeur des oeuvres universitaires de Aïn El Bey à Constantine : «Les étudiants ne respectent pas toujours le protocole sanitaire»
Brahim Bendaïra, directeur des œuvres universitaires de Aïn El Bey, à Constantine, l’un des établissements qui veille sur le respect du protocole sanitaire, affirme qu’il ne s’agit pas uniquement d’un problème «organisationnel», mais il est question de «civisme» et de «conscience» de l’étudiant.
