La contrebande du patrimoine culturel algérien, notamment des antiquités, a atteint des niveaux inquiétants. Ses conséquences sont incommensurables. Des pages entières de notre histoire sont en train de se perdre à tout jamais.
La Direction de la santé et de la population (DSP) de la wilaya de Constantine vient de lancer sa première plateforme numérique. Il s’agit d’un réseau des urgences médicales et chirurgicales (RUMC), dédié à l’orientation et la prise en charge du malade.
Des spécialistes revendiquent l’application de mesures plus répressives à l’encontre de ceux qui osent ériger des constructions illicites sur les espaces verts.
Une faible coordination entre les différentes institutions chargées de la protection des antiquités et l’absence d’une base de données unifiée ont permis aux contrebandiers de profiter de cette brèche. La légèreté des peines appliquées contre les trafiquants demeure inadmissible face au «crime» commis contre le patrimoine algérien.
Ne pas se contenter des études des Français sur nos sites archéologiques et notre histoire, et qui peuvent être incomplètes ou subjectives, a été le plaidoyer des intervenants, lors d’une conférence sur le Sanctuaire punique d’El Hofra, dans la ville de Constantine, animée récemment au musée national Cirta par le Dr Zineb Belabed, spécialiste de l’histoire ancienne à l’université Abdelhamid Mehri.
Le ministre des Affaires religieuses, Youcef Belmehdi, n’a pas manqué de rappeler que la formation de l’imam ou de l’homme de religion est fondée sur l’approche de modération, focalisée sur l’histoire et la pédagogie de nos ancêtres.
Le problème risque de se compliquer puisqu’il s’agit d’une responsabilité en cas de la survenue d’une catastrophe.
Suivant le même processus de la numérisation de l’administration locale déclenché il y a deux ans, la wilaya de Constantine vient de lancer un nouveau système de gestion et de suivi des programmes du développement local (SGSPDL).
Le marché couvert Boumezzou de la place du 1er Novembre, au centre-ville de Constantine sera, enfin, fermé à partir de l'après-midi d'aujourd'hui pour des travaux de réhabilitation.
Un drame a été évité de justesse, hier, vers midi, quand le parapet de la terrasse du marché Boumezzou situé à la place du 1er Novembre au centre-ville de Constantine s’est effondré sur une longueur de plus de 20 mètres.
Vu la diversification des filières à proposer et tant demandées dans le domaine économique, le secteur de la formation et de l’enseignement professionnels devient plus convoité par les jeunes qui cherchent la pratique plus que la théorie.
A l’occasion du mois du patrimoine, la direction du Musée national Cirta, situé au quartier Coudiat Ati, au centre-ville de Constantine, a concocté un riche programme avec une entrée gratuite pour toutes les catégories d’âge de la population.
Le projet de renforcement et de sécurisation de la wilaya de Constantine en matière d’alimentation en eau potable (AEP) touche à sa fin, avec un taux d’avancement de 95%. C’était l’affirmation de la directrice des ressources en eau, Amina Bougoffa, en marge d’une récente visite du wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda, aux différents projets du secteur de l’hydraulique.
La situation hydrique à Constantine a atteint un point critique. Sans céder à l’alarmisme et parler de stress et pour sauver certaines cultures, les autorités de la wilaya viennent d’opter pour un palliatif face à la très faible pluviométrie enregistrée dans la région
Les technologies développées autour de l’intelligence artificielle (IA) concernent aujourd’hui différents domaines, poussant de nombreux Etats à prendre en considération les enjeux de ce système et accompagner cette nouvelle transformation.
A fin d’offrir plus d’opportunités aux investisseurs, promouvoir les start-up et créer de nouveaux postes d’emploi, la wilaya de Constantine a procédé à l’aménagement des zones d’activités (ZAC) et de nouvelles micros-zones d’activités.
Entamés en 2018, les travaux menés à la zone d’activité de Zighoud Youcef, dans la wilaya de Constantine trainent toujours. Une situation décevante a été constatée, lors de la récente visite sur les lieux du wali Abdelkhalek Sayouda. S’étalant sur 34 ha, cette zone avait fait l’objet d’une opération d’aménagement répartie sur quatre lots (assainissement, alimentation en eau potable, éclairage public et voirie) pour un budget de plus de 484 millions de dinars.
Lancé depuis un bon moment, l’assainissement du foncier industriel commence à donner ses fruits. Plus de 100 assiettes ont été récupérées, selon le wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda. «Il y a eu des jugements et des décisions administratives qui ont permis de récupérer le foncier inexploité. L’opération est toujours en cours menée par des commissions qui sortent régulièrement sur le terrain», a-t-il déclaré lors sa visite, jeudi, à des zones industrielles de la wilaya.
Ce sujet épineux, qui continue de marquer l’actualité, a été le thème d’une journée d’étude organisée à l’Université Salah Boubnider de Constantine, intitulé «Les métiers de la communication en Algérie dans un environnement numérique : tendances récentes dans un monde mutant».
Attribué il y a plus de deux ans sans la moindre commodité, que devient le site des 6000 Logements AADL à Retba, dans la commune de Didouche Mourad, wilaya de Constantine ? Il n’y a pas grand-chose à remarquer sur place, en dépit des multiples réclamations des habitants.