La vente d’eau potable, du moins présentée comme telle, a pris un essor sans précédent au cours de ces dernières années dans la vallée de la Soummam. A l’évidence, le filon fait de plus en plus d’émule. Les vendeurs d’eau ont conquis toutes les localités.
La biodiversité fait face à mille périls dans la vallée de la Soummam. La richesse faunistique et floristique s’appauvrit à vue d’œil. Les atteintes sont multiples et multiformes.
La commune de Mcisna traîne un déficit important en matière d’assainissement. De l’aveu-même de l’administrateur communal, le retard est d’une telle ampleur qu’il nécessitera de gros efforts financiers pour le résorber.
La polyclinique d’El Kseur, sise à hauteur du chef-lieu de la commune, est submergée par le flux des patients, en quête de soins.
Le transport public de voyageurs se pose avec acuité dans la commune de Bouhamza. A telle enseigne que rejoindre une ville de la vallée de la Soummam comme Akbou ou Seddouk, à partir du chef lieu de la commune, relève bien souvent de la croix et la bannière.
La RN26 qui, déjà en temps normal, a souvent du mal à absorber le flux pendulaire, s’est retrouvée congestionnée de bout en bout depuis le début de cet été, qui a vu un afflux massif d’estivants.
«Le niveau d’eau des puits a enregistré une baisse effarante. Même les ouvrages qui ont été approfondis, durant l’été dernier, ont connu un déclin considérable dès la 2e moitié du mois de juillet», indique-t-on.
La démarche alerte, le teint basané, la silhouette décharnée, Laid, la cinquantaine bien consommée, vit de la vente de matériaux recyclables qu’il récupère des dépotoirs de la ville d’Akbou.
Les habitants du village Tala Abdellah, dans la commune de Bouhamza, sont confrontés à une sévère crise d’eau potable, qui dure depuis plusieurs semaines. Selon des témoignages recoupés de citoyens, cette panne «sèche» serait due au colmatage de la conduite principale desservant le village.
A l’image de la plupart des communes déshéritées de l’arrière-pays, Béni Maouche est aux prises avec un exode massif de sa population, un mouvement qui semble s’amplifier au fil des ans et qui se traduit par la fermeture de nombre d’établissements scolaires.
Les agriculteurs engagés dans la culture de colza sont assurés que toute leur production sera écoulée, dans la mesure où une convention a été signée entre la DSA et un transformateur, lequel s’est engagé à acheter la totalité de la récolte.
Un parc immobilier de 24 logements de types publics locatif (LPL), est affecté au profit de la commune d’Ighil Ali, avons-nous appris auprès d’un responsable local de l’OPGI. «Ce projet vient de faire l’objet de la procédure de consultation, laquelle a été menée à son terme. Nous avons même procédé à la désignation d’une entreprise pour prendre en charge la maîtrise d’œuvre de la réalisation», a indiqué le responsable du promoteur public de l’immobilier, en laissant entendre que l’ouverture du chantier ne saurait tarder.
Les responsables de la municipalité de Souk Oufella préparent un colloque sur l’investissement dans la localité de Takariets, a annoncé Taleb Nabil, le premier magistrat de la commune. «Le rendez-vous est prévu pour la fin du mois de septembre 2022.
Créée il y a un peu plus de deux ans, l’unité d’oncologie pédiatrique relevant du CHU de Béjaïa prend en charge 30 enfants atteints de la pathologie cancéreuse, à différents stades d’évolution.
Le raccordement de la commune d’Ighram à l’eau du barrage Tichi Haf, dont on escompte qu’il contribuera au règlement au problème d’approvisionnement en eau, n’est semble-t-il, pas pour demain. En effet, les travaux piétinent encore, plusieurs années après l’ouverture du chantier.
Les élèves du village Tala Ntinzer, dans la commune de Béni Maouche, ne peuvent compter que sur leurs jambes pour rejoindre les bancs de l’école le matin, et regagner leurs domiciles à la fin des classes. « Depuis la fermeture de l’école primaire de notre village, voilà plusieurs années, nos enfants sont soumis à un rythme intenable.
Le barrage hydraulique Tichi Haf, dont l’étendue aquifère chevauche sur le territoire des communes de Tamokra et de Bouhamza, a été quelque peu renfloué à la faveur des pluies enregistrées au cours de ces derniers mois (mars et avril).
La circonscription agricole d’Amizour, qui renferme six communes, à savoir Amizour, Barbacha, Kendira, Feraoun, Ath Djellil et Semaoun, a bénéficié de l’octroi de 44 modules de caprins, avons-nous appris auprès du premier responsable de la subdivision de l’agriculture. «La distribution de ces modules au profit des agriculteurs et éleveurs s’est déroulée en deux étapes.
En réaction à l’apparition de trois foyers de fièvre aphteuse, une campagne de vaccination contre cette zoonose vient d’être lancée à travers l’ensemble des localités de la wilaya de Béjaïa a informé un responsable des services de l’inspection vétérinaire de la DSA.
La distribution d’eau potable est loin de répondre aux besoins des villages de la commune de Taourirt Ighil, lesquels villages subissent tous, peu ou proue, l’étreinte de la soif.