La polyclinique d’Ighil Ali, sise à hauteur du chef-lieu communal, vient d’être dotée d’une radio. C’est ce que nous a confié un élu à l’APC, informant que cet équipement médical est déjà opérationnel.
Les villages de la commune de Tamokra endurent le martyre au quotidien, en raison de l’absence de navettes de transport public. Les habitants fustigent à l’unisson cette situation, ô combien préjudiciable et qui perdure depuis de longues année, sans qu’aucune esquisse de solution ne leur soit proposée pour abréger leurs souffrances.
Les bénéficiaires de logements sociaux de la commune de Seddouk piaffent d’impatience de prendre possession de leurs clefs. En effet, plus de 6 mois après l’affichage de la liste des pré-bénéficiaires de ces appartements et l’examen des recours, c’est toujours le statu quo.
La production de fourrage accuse un net recul dans la vallée de la Soummam. Le changement climatique est passé par là. La sécheresse endémique, qui étend son emprise même sur la saison hivernale, a eu raison de tous les parcours de jachère, lesquels sont étroitement dépendants de l’aléa climatique.
Le marché de Tazmelt, à 70 km au sud de Béjaïa. Il est considéré comme l’un des plus importants points de vente de bétail de la vallée de la Soummam. Le tarif minimum tourne autour de 70 mille da.
Jamais la population de la commune de Tamokra, sur la rive droite de la Soummam, n’a été si durement éprouvée par la pénurie d’eau potable. Une pénurie aiguë, qui ne laisse pas d’autre alternative à la régie communale que d’opérer une restriction drastique dans la distribution.
Nous avons recensé en 2022, 373 cas de tuberculose à travers la wilaya, dont 90 cas comptabilisés au niveau des unités spécialisées de la ville de Béjaïa, selon un responsable de la DSP.
Lutter contre l’usage abusif et la dilapidation de l’eau potable. Telle est la volonté affichée par les responsables de Barbacha, une commune rurale au relief tourmenté, et où l’alimentation en eau potable laisse souvent à désirer.
La commune de Taourirt Ighil vit sous perfusion, grâce aux maigres subventions que lui verse l’Etat. Elle n’arrive même pas à couvrir les dépenses courantes de fonctionnement. Chaque exercice budgétaire est bouclé par la subvention d’équilibre.
L’APC de Souk Oufella dans la daïra de Chemini, veut céder la gestion de l’eau potable au profit de l’Algérienne des eaux (ADE). C’est ce que nous a confié un responsable de la municipalité, indiquant que ce secteur névralgique représente un lourd fardeau pour la collectivité locale.
La station d’épuration (STEP), en cours de réalisation à proximité de la ZAC de Taharacht, dans la commune d’Akbou, enregistre un taux d’avancement de près de 80%. C’est ce que nous avons appris ces derniers jours d’un responsable de l’Office national d’assainissement (ONA), l’organisme en charge du management de ce projet. «Le chantier a connu plusieurs interruptions dues à certains aléas, mais surtout à la défaillance des entreprises en charge des travaux.
Le niveau du barrage Tichy Haf, érigé en travers d’Oued Boussellam dans la commune de Bouhamza, n’a jamais été aussi bas depuis sa mise en service voilà près de 18 ans.
Des fuites fréquentes sont enregistrées à travers cette commune qui ne dispose pas de moyens adéquats pour engager des réparations.
L’opération de délimitation et de bornage du foncier par les services du cadastre progresse à un rythme très lent à Tamokra. C’est du moins le constat dressé par les responsables de cette circonscription rurale déshéritée. «L’opération a été entamée depuis près de sept ans.
Le projet de la bibliothèque d’Ighram, implanté à hauteur du centre urbain du chef-lieu de la commune, est toujours en chantier, une quinzaine d’années après son inscription. «Cet équipement public est inscrit depuis l’année 2006.
Les règles sanitaires relatives aux conditions de commercialisation de la volaille sont foulées au pied à Tazmalt. Les pratiques pernicieuses sont récurrentes au marché hebdomadaire de la ville.
Les habitants du lotissement social du centre urbain du chef-lieu communal de Taourirt Ighil, à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest de Béjaïa, endurent des conditions de vie difficiles, en raison du non raccordement de leurs demeures au réseau électrique.
L’espace public de la ville de Sidi Aïch est livré au squat et à l’anarchie. L’activité informelle, qui semble avoir la peau dure et le souffle long, s’est accaparée tous les espaces.
La commune d’Akbou a dégagé une cagnotte de 14,26 millions de dinars pour l’allocation de la prime de solidarité au profit des nécessiteux de la circonscription, a-t-on appris auprès d’un membre du staff municipal.
Une demande sociale explosive et une contrepartie en logements au ras des pâquerettes. C’est, en substance, les termes de l’insoluble équation de l’habitat rural dans la commune d’Ait Rzine.