Des rapports dénonçant les exactions israéliennes, tels que celui présenté il y a deux semaines par le coordinateur spécial des Nations unies pour le processus de paix, s’empilent sur les bureaux des instances onusiennes sans que des suites ne soient données à leur contenu.
Les capitales occidentales découvrent, avec stupeur, que les Palestiniens restent encore capables de réactions guerrières en portant l’action militaire sur des terroirs censément pacifiés par la toute puissance israélienne. L’offensive spectaculaire, conduite à l’aube de ce 7 octobre par les troupes d’élite du mouvement Hamas et baptisée le «Déluge d’Al Aqsa», a ébranlé, en profondeur, énormément de certitudes et de faits accomplis.
C’est une véritable guerre qui est menée contre la société et ses fondements. Le fléau de la drogue n’est plus un phénomène marginal, fait de bandes de délinquants et de trafiquants, dont la traque est du ressort classique des services policiers.
Le 10 septembre dernier, le Grand barrage de la Renaissance éthiopienne a connu sa quatrième et dernière phase de remplissage et devient donc un fait accompli qui met les autorités égyptiennes face à des réalités redoutées depuis plus de 12 années.
L’Europe intensifie sa politique d’enfermement face à la persistance du phénomène migratoire, à l’intérieur de l’espace Schengen, mais aussi face à la grande bande maritime de la Méditerranée.
L’ouverture de la 78e Assemblée générale de l’ONU a ressemblé à de nombreuses sessions qui l’ont précédée : le constat d’un monde marqué par les inégalités, la persistance de foyers de conflits armés, le statu quo et la controverse sur les dernières colonies, l’accumulation des défis qui s’imposent à la communauté humaine et des appels à réagir solidairement pour y faire face.
La cheffe du gouvernement italien, qui vient de passer une sale semaine après le déferlement record de migrants sur l’île de Lampedusa, appelle la communauté internationale à mener «une guerre sans merci» contre les réseaux de passeurs.
Elle s’est fait un peu attendre, mais elle est enfin là avec son ambiance, ses défis, ses contraintes. La rentrée scolaire, moment phare de la rentrée sociale, s’annonce encore une fois exceptionnelle au regard de ses exigences logistiques, administratives et pédagogiques.
Entre 8500 et 10 000 migrants clandestins, selon les sources, ont débarqué sur l’île italienne de Lampedusa entre lundi et mercredi derniers en provenance des côtes nord-africaines. Un «record absolu» qui fait paniquer le gouvernement italien alors que la solidarité européenne tarde à se manifester.
Il semble que les pays producteurs de pétrole vont bénéficier de vents favorables durant les prochaines années. Factuellement, après une année 2022 marquée par une hausse des prix sur le marché mondial, sous les effets conjugués de la crise en Ukraine et la dynamique de rattrapage économiques, après près de trois années de la pandémie Covid-19, les cotations se sont, certes, un peu tassées en 2023, réduisant les recettes des pays de l’OPEP et autres.
Un décret présidentiel datant du 3 septembre dernier et publié dans la dernière édition du journal officiel (JO), attribue de nouvelles missions à la Gendarmerie nationale. Le décret vient en modification et en complément du décret présidentiel n°09-143 du 27 avril 2009 définissant les missions et l’organisation de ce corps constitué.
La Libye n’en finit pas de compter ses morts depuis deux jours, suite au passage dévastateur et inédit de la tempête Daniel. Le bilan des victimes, qui commence à se préciser, plus de 48 heures après la catastrophe, est terrifiant. Les images cataclysmiques qui ont circulé, montrant des quartiers sous les eaux et des villes à moitié rasées par les crues, ont, dès le départ, donné du crédit aux craintes de certaines ONG sur place et qui, elles, redoutaient des milliers de morts et de disparus.
Il est fort à craindre que la dynamique de développement enclenchée dans le secteur de la production agricole, depuis plusieurs années, ne soit contrariée, et lourdement, par les hostilités du nouveau contexte climatique.
Le 18e Sommet du G20, groupement des plus grandes économies mondiales, est finalement parvenu à dégager un consensus sur une déclaration finale. La chose était loin d’être évidente, au vu de la persistance des divergences sur le dossier ukrainien notamment, mais aussi sur la teneur des engagements à prendre sur la problématique climatique.
Le forum, pour tout économique qu’il soit, offre la même cartographie des divisions qui opposent les puissances mondiales et leurs alliés diplomatiques au sein des autres regroupements internationaux. Ce n’est pourtant pas les urgences mondiales qui manquent.
Cimetière VIP des éléphants du football, terre de jouvence pour les stars mondiales, tapageuse opération de marketing géopolitique par le sport… La boulimie de l’Arabie Saoudite pour les têtes d’affiche du sport roi continue d’étonner et de susciter des commentaires. Et pour sûr, elle a bousculé, en quelques semaines d’accélération, les fondamentaux du marché des transferts.
La violence et le lourd bilan de la série de feux de forêt meurtriers qui ont frappé certaines wilayas du pays la semaine dernière confirment, une nouvelle fois, que l’on a affaire désormais à un palier de risque supérieur à celui redouté auparavant.
Le deuil et la désolation. Les feux ont de nouveau frappé et violemment là où on les craignait et devait les attendre. Dans ces massifs et contreforts forestiers vulnérabilisés par une sévère sécheresse et martelé pendant des mois par des épisodes caniculaire sans précédent.
La Conférence internationale sur la migration et le développement tenue avant-hier à Rome, la capitale italienne, lance-t-elle vraiment les bases d’une réelle coopération sur le phénomène migratoire ?
Les experts de la question migratoire ainsi que de nombreux gouvernements africains continuent à plaider pour des politiques et des réseaux de solidarité internationaux qui privilégient des solutions économiques à même de fixer les populations les plus vulnérables, en Afrique subsaharienne notamment.