Le verdict est tombé dimanche en début de soirée. Le juge près le tribunal criminel de première instance de Dar El Beïda, à Alger, a prononcé l’acquittement en faveur du militant des droits de l’homme et universitaire Kadour Chouicha, de son épouse la journaliste Djamila Loukil et de leurs coaccusés.
Le débat sur l’accord algéro-français de 1968 régissant l’immigration algérienne revient au-devant de la scène en France. Parallèlement à la préparation du projet de loi «immigration», dont la mouture finale a été adoptée par la commission des lois de l’Assemblée française, l’idée de la révision de ce texte, posée déjà depuis l’été dernier par des acteurs de la droite et de l’extrême droite, est relancée depuis quelques jours.
Les perturbations du marché et la hausse des prix font réagir le gouvernement. Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, mobilise son staff, en vue de renforcer l’approvisionnement en produits de large consommation et de tenter de renforcer le pouvoir d’achat, toujours en berne, des Algériens.
La rapporteuse spéciale des Nations unies sur la situation des défenseurs des droits de l’homme, Mary Lowlor, entame sa mission en Algérie. Devant préparer son rapport sur la situation dans le pays, l’experte onusienne commence sa visite par des rencontres avec des représentants des organisations officielles.
Le processus d’amendement du code pénal est relancé depuis jeudi dernier. Très contesté par les avocats, dont l’Ordre national a même exigé son retrait pour son enrichissement, le projet est finalement présenté devant la commission des affaires juridiques, administratives et des libertés de l’Assemblée populaire nationale (APN). Une étape préparatoire en prévision de sa programmation en plénière pour examen et adoption.
La Confédération des syndicats autonomes algériens (CSA) dénonce l’attitude du ministère de Travail refusant de donner suite à sa demande d’agrément déposée depuis plusieurs mois.
Destructions massives et catastrophe humanitaire. Le monde découvre depuis hier, premier jour de la trêve temporaire entrée en vigueur à 7h, heure locale (5h GMT), l’ampleur des dégâts causés par l’agression barbare israélienne à Ghaza.
L’annonce a fait le tour du monde dès mardi soir. Un accord entre le Hamas palestinien et l’occupant israélien, sous l’égide du tandem Qatar-Egypte, a été conclu après de longues semaines de tractations.
La commission mixte d’historiens algériens et français, chargée de travailler sur la colonisation française de l’Algérie (1830-1962), tiendra sa première réunion aujourd’hui et demain à Constantine. C’est ce que nous avons appris d’une source proche du dossier.
Il n’entend rien, tant qu’il a le soutien des puissants, ou plutôt le puissant du monde, les Etats-Unis d’Amérique. L’occupant israélien, qui fignole sa besogne consistant à massacrer les Palestiniens de Ghaza et forcer les survivants à l’exode, n’écoute aucun appel de la communauté internationale l’invitant à mettre un terme à sa sauvagerie.
Les crimes commis par l’occupant israélien dans la Bande de Ghaza continuent de susciter l’indignation de la communauté internationale. En effet, le haut-commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, affirme que «les événements horribles» survenus ces dernières 48 heures à Ghaza «dépassent l’entendement».
Le Premier ministre, Nadir Larbaoui, fraîchement désigné à la tête du gouvernement, connaît, depuis mardi, la mission qui lui est confiée par le président Tebboune. En effet, tout en maintenant le même staff gouvernemental – du moins aucune nomination d’un nouveau gouvernement n’est évoquée pour l’instant – le chef de l’Etat lui a tracé une feuille de route assez précise.
Le président Abdelmadjid Tebboune détaille la feuille de route du Premier ministre, Nadir Larbaoui. Désigné à ce poste, samedi dernier, en remplacement de Aïmene Benabderrahmane, M. Larbaoui a assisté, hier, au premier Conseil des ministres en tant que premier responsable du gouvernement, où il a reçu les instructions sur sa mission.
Encore une provocation. En plus des massacres des civils dans la Bande de Ghaza, l’occupant israélien et ses colons multiplient les provocations contre les Palestiniens, particulièrement dans la ville d’El Qods, en Cisjordanie.
Quelle mission pour le nouveau Premier ministre ? C’est la question que se sont posés de nombreux observateurs de la scène nationale après le changement surprise effectué, samedi, par le chef de l’Etat à la tête du gouvernement, avec la nomination de Nadir Larbaoui en remplacement de Aïmene Benabderrahmane, remercié.
Changement à la tête du gouvernement ! Le président, Abdelmadjid Tebboune a mis fin aux fonctions du Premier ministre Aïmene Benabderrahmane. La nouvelle a été annoncée, hier en fin de matinée, par la présidence de la République dans un communiqué, précisant que Nadir Larbaoui le remplace à la tête du gouvernement. «Vu la Constitution, notamment son article 91 (alinéas 5 et 7), et en vertu du décret présidentiel 21-275 du 30 juin 2021, portant nomination du Premier ministre, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a nommé Nadir Larbaoui Premier ministre, en remplacement de Aïmene Benabderrahmane, dont il a été mis fin aux fonctions», a indiqué le communiqué.
Le génocide israélien se poursuit à Ghaza. Trente-cinq jours depuis le début de la nouvelle agression, le nombre de victimes civiles est effarant. Et il ne cesse d’augmenter.
La dénonciation du génocide en cours à Ghaza et de la nouvelle agression israélienne contre cette partie du territoire palestinien prend plusieurs formes. Outre les réactions des ONG internationales activant sur le terrain humanitaire et des agences de l’ONU, la condamnation et le rejet de la barbarie de l’occupant israélien s’étend au domaine économique et militaire.
La énième agression de Ghaza par l’occupant israélien n’est visiblement pas un simple acte de vengeance en réaction à l’opération «Toofan Al Aqsa», menée le 7 octobre dernier par des combattants du Hamas palestinien. L’opération vise un autre objectif : la réoccupation de la Bande de Ghaza, placée sous l’autorité palestinienne, suite aux Accords d’Oslo en 1993 et abandonnée par Israël et ses colons depuis la seconde Intifada en 2005.
L’armée d’occupation israélienne sort, depuis le début de sa nouvelle agression contre la Bande de Ghaza, son arsenal militaire sophistiqué fourni particulièrement par les Etats-Unis.