La globalisation du monde est en marche, sans doute pas comme l'espéraient ses initiateurs. L'émergence du groupe des Brics, qui se veut un contrepoids à la puissance des Etats-Unis et de leurs alliés, se présente comme un espoir pour tous les pays qui ont souffert, pendant longtemps, d'un ordre international injuste, qui les maintenait dans la domination et la marginalisation
Un siècle d'Afrique coloniale et post-coloniale, un siècle d'Afrique française, commencé dans la conquête et la tutelle, poursuivi dans une décolonisation, sous forte influence. C'est le moins que l'on puisse penser, si l'on se réfère à l'attitude indigne du président ivoirien, très mal placé pour parler de démocratie, puisqu'il a trituré la Constitution de son pays pour rester au pouvoir. De plus, même s'il n'est pas partie prenante dans cette crise nigérienne, il s'est proclamé, malgré tout, porte-voix des va-t-en-guerre.
La nouvelle donne, qui a marqué ces dernières années, c'est que le grand public s'intéresse de plus en plus aux questions qui agitent la scène politique internationale.
Le titre, ci-dessus, pourrait bien s'accommoder à plusieurs pays africains, dont le Niger n'est pas des moindres. Et si on en parle, aujourd'hui, c'est que le Niger, pays parmi les plus pauvres de la planète, alors qu'il regorge de richesses, (or, uranium, fer, charbon et pétrole) est au cœur d'une crise de pouvoir dominant largement l'actualité internationale.
De la vie, Christiane aura beaucoup connu le spectacle affreux des inégalités et des injustices, l’oppression criante, l’engagement et le combat pour une cause juste, celle de l’Algérie en guerre.
«Un chemin étroit ne peut jamais avoir de proportions avec une conscience large.» Bourdaloue
Il a lutté avec bravoure contre toutes les adversités, y compris sur le tatamis où il s’est fait un nom et une réputation méritée. Il a mené un combat digne et valeureux contre la maladie, depuis des années.
«Il est de ces chênes qui ne tombent que foudroyés.»
«Nous aurons le destin que nous aurons mérité.» (Albert Einstein)
Le mal de la bureaucratie serait-il incurable ? Ce «mille-pattes à mille têtes, dont ni pattes ni têtes ne fonctionnent d'une manière synchrone, lorsqu'elles fonctionnent», va-t-il nous poursuivre et nous narguer jusqu'à la fin des temps, tant il semble que ce phénomène bureaucratique ait pour unique fonction de «ne rien faire et de tout empêcher».
Bien que le football national, tel qu'il est proposé, m'indiffère, depuis belle lurette, du fait de son incroyable indigence, choqué plus que de raison, je n'ai pu résister à la tentation de commenter le triste épisode, qui a marqué la rencontre opposant l'équipe du NRB Beni Oulbane et le Widad de Zighout Youcef, évoluant en Interrégions, groupe Est, qui bataillent tous deux pour se maintenir. Mais à quel prix !!!
China will never make economically ! (La Chine ne sera jamais dotée économiquement), avait prédit Richard Nixon en 1972, alors qu'il revenait de son voyage historique à Pékin.
Il est une phrase de Gandhi, qui survit au temps. «Un arbre qui tombe fait beaucoup de bruit, une forêt qui germe ne s'entend pas.» Partout, un monde se forme, mais l'intérêt et l'attention qu'on lui porte sont parasités par le fracas du vieux monde qui s'écroule…
Aujourd'hui, le football, plus qu'avant, suscite des passions, des polémiques et des débats à n'en plus finir, et l'on s'interroge sur sa véritable place dans la société, surtout, sous le triple effet de l'intrusion de l'argent, des retombées de la mondialisation et du recours légitime à ce sport populaire des nations pour mieux s'affirmer dans le concert international.
Un sentiment de doute et d’incompréhension est suscité par des chaînes françaises qui diffusent, ces derniers jours, entre deux flashs, sur le chaos provoqué, lors des manifestations périodiques liées à la retraite, des statistiques sur le taux de la population immigrée vivant en France, en hausse, puisque de 6,5%, il y a un demi-siècle, il est passé à 10,3%.
Depuis le début de ce millénaire, qui s'annonçait novateur et prometteur, après les péripéties guère enchantantes des systèmes qui avaient prévalu avant la chute du mur de Berlin, les oligarchies capitalistes, transcontinentales, se sont emparées du monde, y compris les nouveaux riches communistes reconvertis.