Il est de notoriété publique et particulièrement des scientifiques que notre pays est situé sur une faille sismique non négligeable.
La problématique de la subvention des produits de première nécessité n’est pas près d’être résolue. Son dossier reste ouvert sur les bureaux des ministres en charge de définir les critères de sélection des personnes en droit de bénéficier de l’aide de l’Etat.
L’université algérienne revient sur la scène de la vie politique. C’est le chef de l’Etat qui a ouvert ce dossier lors du dernier Conseil des ministres.
Le développement social de tout pays passe par la relance de son économie. Pour y arriver, plusieurs leviers sont à enclencher simultanément.
La question de l’exportation hors hydrocarbures anime les débats sur la scène politique nationale.
La société civile, d’une manière générale, et la jeunesse sont la cheville ouvrière dans le programme du chef de l’Etat.
Le rappel des walis devant le président de la République répond à une logique du suivi sur le terrain des engagements pris lors des précédentes rencontres. C’est bien la méthode Tebboune de s’assurer de la concrétisation de ses orientations au grand bénéfice du citoyen de l’intérieur du pays.
Tout récemment l’Algérie a fêté, à travers ces quatre coins, l’An amazigh. Les rituels ont été assez riches et diversifiés.
La pluie se fait rare depuis au moins trois ans. C’est plus que suffisant pour que la plupart des barrages à travers le territoire national se retrouvent presque à sec.
Un horrible accident de la circulation a décimé toute une famille à l’est du pays. Parmi les victimes se trouvaient des jeunes enfants prêts à rejoindre les bancs de l’école après les jours de vacances.
Le logement est sans nul doute la préoccupation majeure du citoyen. Tous les moyens sont entrepris pour en acquérir. La ruse emboîte souvent le pas à la violence dans la quête de la clé de sésame.
Faut-il attendre, à chaque fois, le mois de Ramadhan pour renouer avec les activités culturelles ? Tout au long de l’année, le pays plonge dans une léthargie profonde. Pourtant, les diversités régionales et les animateurs, aussi bien professionnels qu’amateurs, ne manquent pas.
La souveraineté nationale ne se décrète pas mais se construit. Elle se consolide grâce à l’adhésion de son peuple autour d’un projet de société soutenu par tous.
Les préoccupations du citoyen sont multiples et diversifiées. Elles touchent à tous les domaines d’une vie décente et harmonieuse. Il se trouve que certains besoins prennent, conjoncturellement, le pas sur d’autres.
Un intérêt particulier vient d’être accordé par les pouvoirs publics aux zones, autrefois, en marge de tout développement. Les conséquences sur les populations locales sont dramatiques à plus d’un titre.
Eclipsée durant les années de la pandémie Covid, la Ligue arabe renaît en Algérie. Son 31e Sommet se tient dans une quasi-similitude conjoncturelle avec sa première tenue dans notre pays en 1973.