Le jeune artiste peintre, Benbouta Sid Ali, s’est illustré au sein de la maison de Culture Dr Ahmed Aroua de Koléa (Tipasa) par l’exposition d’une installation triptyque.
Les jeunes filles de l’association ont travaillé d’arrache-pied pendant plusieurs jours pour transformer l’école primaire Terrad Hocine, en un centre d’animation culturelle qui a accueilli des centaines de personnes et plusieurs familles.
A Tlemcen ainsi qu’à Relizane, plusieurs festivités, officielles et non officielles, ont marqué, mercredi dernier, la célébration du Nouvel An amazigh 2972.
Des prestations artistiques ont été présentées, vendredi soir à Alger, en clôture des célébrations de Yennayer 2972, en présence de la ministre de la Culture et des Arts, Wafaa Chaalal, et de la présidente de l’APC d’Alger-Centre, Mahdia Benghalia, parmi un public nombreux.
Une profusion de couleurs, de senteurs mais aussi de rythmes pour garder vivante une tradition dont l’origine se perd dans la nuit des temps.
Cette fête reste bien ancrée essentiellement dans les zones rurales et les villages des Aurès où s’exprime la volonté de bien commencer l’année agraire.
Le Musée national des arts et traditions populaire (MNATP) a accueilli, mardi à Alger, les traditions et le patrimoine immatériel de la Vallée du M’zab à travers des expositions exclusivement dédiées aux enfants aux besoins spécifiques.
Comme chaque année depuis 2972 ans, Yennayer, ce qui signifie en berbère le premier mois de l’année, pointe son nez en cette période correspondant au 12 janvier. Une date pour interpeller, par essence, chaque individu sur son bilan annuel en vue d’améliorer ses performances à l’avenir, avant de chapeauter la fête par un dîner convivial autour d’un repas copieux et parfois réconciliateur.
La crainte d’une remise en cause des acquis liés à la langue amazighe est exprimée par les défenseurs de la langue et de la culture amazighes, d’autant que les pouvoirs publics n’engagent pas les réformes nécessaires (instauration de l’obligation de l’enseignement de la langue amazighe, réactivation de l’Académie de la langue amazighe, «amazighisation» de l’administration…)
Dans chaque famille dans la région de Jijel, on trouvera toujours quelqu’un qui se souvient des célébrations d’antan de Yennayer, connu ailleurs sous le nom de Yennayer. Les récits relatent que jusqu’après l’indépendance du pays, cette journée particulière du milieu du mois de janvier était l’occasion de retrouvailles familiales autour d’un repas traditionnel.
Malgré la pandémie de coronvirus qui sévit toujours, l’événement garde toujours sa place dans une société traversant une période très difficile.
L’opéra d’Alger «Boualem Bessaih» va célébrer le nouvel an amazigh (Yennayer), décrété officiellement fête nationale le 12 janvier de chaque année.
Un riche et dense programme est prévu à travers plusieurs localités et villages pour raviver des traditions culturelles authentiques et plusieurs fois millénaires liées à Yennayer.
La direction de la culture de la wilaya de Bouira a concocté un programme varié pour la célébration du nouvel an amazigh, Yennayer 2972. Les festivités s’étalent du 5 au 12 du mois courant.
Des associations, des comités de village et des institutions organisent des festivités pour marquer le Jour de l’an amazigh 2972.
La célébration du Nouvel An amazigh, Yennayer, est un «réceptacle rassembleur» du peuple algérien, à même de renforcer la cohésion nationale, a souligné, hier à Alger, le secrétaire général du Haut Commissariat à l’amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad. «Le but de la célébration de Yennayer, ce réceptacle rassembleur de notre unité nationale et de notre intelligence culturelle, est d’inculquer l’esprit du nationalisme et renforcer la cohésion du peuple algérien», a indiqué M. Assad, lors d’une conférence de presse tenue au siège de la Télévision nationale, à l’occasion de laquelle il a présenté le programme des festivités officielles de Yennayer de l’année 2022, qui auront lieu du 9 au 12 janvier dans la wilaya de Tamanrasset.
La célébration du nouvel An amazigh "Yennayer" est un "réceptacle rassembleur" du peuple algérien, à même de renforcer la cohésion nationale, a souligné, dimanche 2 janvier à Alger, le secrétaire général du Haut Commissariat à l'Amazighité (HCA), Si El Hachemi Assad.